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Marine Le Pen

Cash investigation : Paradis fiscaux : le casse du siècle - Affaire "Panama Papers" / intégrale. Panama papers : le Sénat ne transmet pas à la justice le cas du patron de Société générale, Frédéric Oudéa. Frédéric Oudéa passe au travers des gouttes.

Panama papers : le Sénat ne transmet pas à la justice le cas du patron de Société générale, Frédéric Oudéa

« Panama papers » : les non-dits de la Société générale sur son activité offshore. Deux heures pour convaincre que la Société générale n’a rien, ou presque, à se reprocher.

« Panama papers » : les non-dits de la Société générale sur son activité offshore

Un mois après la parution des « Panama papers », qui désignent la banque comme l’un des plus gros clients du cabinet panaméen Mossack Fonseca pour l’immatriculation de sociétés offshore, avec 1 005 entités créées depuis 1977, l’audition de son directeur général, Frédéric Oudéa, devant la commission des finances du Sénat, mercredi 11 mai, est attendue. Elle doit éclairer les sénateurs sur la responsabilité de la banque dans l’évasion et la fraude fiscales internationales, et pointer d’éventuelles failles de la loi. M. Oudéa devrait faire valoir trois arguments forts : la banque n’exerce plus d’activité au Panama, conformément à l’engagement pris en avril 2012 devant une commission d’enquête sénatoriale ; les « Panama papers » sont de l’histoire ancienne ; son activité offshore est légale et transparente.

Une ligne de défense qu’expertise Le Monde, sur la base de nouvelles informations.

Arnaud Claude Associe de Nicolas Sarkozy

« Panama papers » : les non-dits de la Société générale sur son activité offshore. Deux heures pour convaincre que la Société générale n’a rien, ou presque, à se reprocher.

« Panama papers » : les non-dits de la Société générale sur son activité offshore

Un mois après la parution des « Panama papers », qui désignent la banque comme l’un des plus gros clients du cabinet panaméen Mossack Fonseca pour l’immatriculation de sociétés offshore, avec 1 005 entités créées depuis 1977, l’audition de son directeur général, Frédéric Oudéa, devant la commission des finances du Sénat, mercredi 11 mai, est attendue. Elle doit éclairer les sénateurs sur la responsabilité de la banque dans l’évasion et la fraude fiscales internationales, et pointer d’éventuelles failles de la loi. M. Oudéa devrait faire valoir trois arguments forts : la banque n’exerce plus d’activité au Panama, conformément à l’engagement pris en avril 2012 devant une commission d’enquête sénatoriale ; les « Panama papers » sont de l’histoire ancienne ; son activité offshore est légale et transparente.

Une ligne de défense qu’expertise Le Monde, sur la base de nouvelles informations. M. « Panama papers » : la CIA aurait bénéficié des services de Mossack Fonseca. Des agents secrets de plusieurs pays ont eu recours aux services du cabinet panaméen Mossack Fonseca, au cœur du scandale des « Panama papers », afin de « dissimuler » leurs activités, rapporte mardi 12 avril le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung. « Des agents secrets et leurs indicateurs ont utilisé dans une large mesure les services du cabinet » panaméen, écrit le quotidien de Munich. « Des agents ont fait ouvrir des sociétés écran pour dissimuler leurs actions (…) Parmi eux figurent également des intermédiaires proches de la CIA », l’agence centrale de renseignement américaine.

« Panama papers » : la CIA aurait bénéficié des services de Mossack Fonseca

Lire aussi : Ce qu’il faut retenir des « Panama papers » « D’actuels ou d’anciens responsables de haut rang » Après les « Panama papers », Bruxelles veut renforcer les obligations de transparence des entreprises. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Cécile Ducourtieux (Bruxelles, bureau européen) Les révélations « Panama papers » et le scandale planétaire qu’elles ont déclenché bousculent aussi l’agenda européen en matière de lutte contre la fraude et l’évasion fiscales.

Après les « Panama papers », Bruxelles veut renforcer les obligations de transparence des entreprises

Comme nous l’annoncions vendredi, la Commission européenne, a modifié sa proposition de directive afin d’obliger les multinationales à rendre publics leurs profits pays par pays, pour aller bien plus loin dans l’exercice de transparence. Ces mesures ont été annoncées mardi 12 avril à Strasbourg. « Panama papers » : le directeur général de la Société générale entendu au Sénat. La présidente de la commission des finances du Sénat, Michèle André (PS), va rencontrer mardi 12 avril le directeur général de la Société générale, Frédéric Oudéa, dont le témoignage devant des sénateurs est sujet à caution.

« Panama papers » : le directeur général de la Société générale entendu au Sénat

Après les révélations des « Panama papers », le rapporteur de la commission d’enquête sur l’évasion fiscale, Eric Bocquet (CRC), avait annoncé mercredi que son groupe allait « saisir le bureau du Sénat » en vue de poursuivre en justice M. Oudéa pour faux témoignage. Un délit passif d’une peine allant jusqu’à cinq ans de prison et 75 000 euros d’amende. Paul Jorion, économiste : “Les fuites des 'Panama Papers' ne surviennent pas par hasard” - Idées. Depuis la crise de 2008, les Etats courent après l'argent.

Paul Jorion, économiste : “Les fuites des 'Panama Papers' ne surviennent pas par hasard” - Idées

Pour l'économiste et anthropologue Paul Jorion, l'accent mis aujourd'hui sur la fraude fiscale résulte aussi d'une volonté politique. C'était il y a bientôt dix ans. Six mois avant la crise des subprimes et un an et demi avant le krach du 14 septembre 2008, l'économiste Paul Jorion, ancien trader, était presque seul à prévoir l'effondrement du système financier (Vers la crise du capitalisme américain ? La Découverte, janvier 2007). Il a depuis enchaîné les avertissements : Le capitalisme à l'agonie, L'implosion. #panamapapers #CEVIPOF Les français ont plus confiance dans les banques que dans les partis politiques #Sachezle. Panama Papers : l'Autorité palestinienne dans la tourmente. "Panama Papers" : sur la piste d'un Modigliani spolié pendant la guerre. « Panama papers » : perquisition au siège de l’UEFA et démission de Juan Pedro Damiani. La police fédérale suisse a perquisitionné, mercredi 6 avril, le siège de l’Union des associations européennes de football (UEFA) à Nyon, en Suisse, pour obtenir les contrats concernant l’attribution des droits audiovisuels en Equateur à la société Cross Trading, citée mardi dans le scandale « Panama papers ».

« Panama papers » : perquisition au siège de l’UEFA et démission de Juan Pedro Damiani

Dans un communiqué, l’UEFA indique qu’elle a « fourni à la police fédérale tous les documents en sa possession et va coopérer pleinement ». La veille, le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung affirmait que le nouveau président de la FIFA, Gianni Infantino, avait signé en 2006 et 2007 des contrats commerciaux, au nom de l’UEFA, avec une entreprise offshore détenue par Hugo et Mariano Jinkis, deux hommes d’affaires argentins actuellement poursuivis par la justice américaine dans le cadre de l’enquête sur le scandale de la FIFA.

En septembre 2006, la société Cross Trading a acheté à l’UEFA les droits télévisés de la Ligue des champions de la période 2006-2009 pour 111 000 dollars. #PanamaPapers : la piste d'un piratage informatique évoquée.

Mossac Fonesca Porte plainte

LeMonde RECAP. #PanamaPapers : Mossack Fonseca une incroyable bourde. Un internaute vient de nous mettre sous le nez quelque un élément très, très … dur de trouver un qualificatif adapté.

#PanamaPapers : Mossack Fonseca une incroyable bourde

On se doutait bien en jetant un bref coup d’œil que le cabinet d’avocats panaméens avait une fâcheuse tendance à faire n’importe quoi, n’importe comment. On peut également toujours spéculer sur l’origine de la fuite mais là n’est pas le problème, pour tout vous dire, l’origine de la fuite, on s’en fout, c’est la masse de données qui parle, et ce sont ces données qui sont importantes. Nous ne sommes évidemment toujours pas en mesure d’affirmer d’où vient la cette énorme fuite, mais comme nous le sentions, en collectionnant de si mauvaises pratiques, Mossack Fonseca s’assurait à plus ou moins long terme un drame. Aujourd’hui… la sauvegarde d’une application interne et d’un jeu de données, probablement sensibles, sauvegardés dans un répertoire public du site web vitrine de la société : Et l’adresse IP internet du serveur de stockage des documents … et évidemment.

#PanamaPapers : le mail de panique de Mossack Fonseca. Mossack Fonseca aurait alerté ses collaborateurs le 1er avril 2016 d’une intrusion et leur aurait fait part de ses inquiétudes.

#PanamaPapers : le mail de panique de Mossack Fonseca

Par delà le fait que certains noteront que le 1er avril est une date très bien sentie pour ce genre de mail, c’est quand on sait que 370 journalistes travaillent depuis un an sur le « leak » que cela prête à sourire. Ci-dessous le mail en question (source non authentifiée et traduit par nos soins) Anuncio a Clientes Información ImportanteNote aux clients Information importanteAbril 1, 2016Le 1er avril 2016Estimados Clientes:Chers clients:Les dirigimos la presente para informarles que estamos en medio de un proceso de investigación exhaustiva con expertos que nos confirman que hemos sido objeto de una intromisión no autorizada a nuestro servidor de correo electrónico. Si no han recibido mensajes de nosotros hasta el momento, significa que tenemos motivos para pensar que su información no ha sido comprometida.

Quand Sarkozy sortait le Panama de la liste noire des paradis fiscaux. Ce dimanche 3 avril, le journal Le Monde, associé au Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ) de Washington et au quotidien allemand Süddeutsche Zeitung, a révélé l'affaire des "Panama Papers". Hommes politiques, sportifs, patrons d'industrie... celle-ci met au jour les pratiques d'évasion fiscale de personnalités du monde entier, dans lesquelles les Français ne sont pas en reste. Au coeur de ce système, on retrouve donc le Panama, une petite république d'Amérique latine qui avait pourtant été rayée de la liste noire des paradis fiscaux par un certain Nicolas Sarkozy, en 2012... A l'époque, le traité de coopération fiscale avec le Panama, qu'avait rapporté Marianne, avait fait peu de bruit dans la presse. PanamaPapers. Tout le monde savait, depuis longtemps. Coup de gueule de Denis Robert. - Bondamanjak Bondamanjak. Panama Papers : les aveux de David Cameron.

INFOGRAPHIE. "Panama papers" : qui sont les hommes de pouvoir qui utilisent des sociétés offshore ? Quel est le point commun entre Jérôme Cahuzac, le Premier ministre islandais, et le président ukrainien ? Tous ont créé ou utilisé des sociétés-écrans basées dans des paradis fiscaux en faisant appel à un grand cabinet d'avocats au Panama.

Ils figurent dans la même base de données, aux côtés de criminels, de millionnaires et de chefs d’entreprises que nous dévoilons aujourd'hui. Près de 380 journalistes du monde entier, dont la rédaction de Cash Investigation, Le Monde, la BBC, ou encore le Süddeutsche Zeitung ont analysé 11,5 millions de données confidentielles pour remonter les circuits d’évasion fiscale et de blanchiment d’argent. Découvrez les premiers extraits du film Paradis fiscaux : le casse du siècle diffusé mardi 5 avril dans Cash Investigation. Onze chefs d'états, 14 de leurs proches et 38 hommes politique et hauts fonctionnaires figurent dans notre base de donnése. Panama Papers : Jérôme Kerviel accuse la Société générale de mentir. « Panama papers » : le patron de la Société générale peut-il être poursuivi pour faux témoignage ?

LE MONDE | • Mis à jour le | Par Gary Dagorn et Adrien Sénécat La Société générale est l’un des plus gros clients du cabinet panaméen Mossack Fonseca, dont les données internes ont donné naissance aux « Panama papers ». Or son patron, Frédéric Oudéa, affirmait en 2012, face aux sénateurs, que la banque française n’avait plus aucune activité dans le pays.

S’expose-t-il à d’éventuelles poursuites pour faux témoignage, comme se le demande Jérôme Kerviel ? Ce qu’a dit Frédéric Oudéa devant les sénateurs en 2012. "Panama Papers" : Mélenchon réclame "la mise sous tutelle" de la Société générale. "La Société générale est une industrie de la triche, de la fraude et de la combine". La voix calme de Jean-Luc Mélenchon tranche avec la fermeté du propos. Ce jeudi 7 avril sur France Info, l'eurodéputé a réagi aux révélations sur les sociétés offshore de la Société générale au Panama. Avec ce scandale des "Panama Papers", un boulevard s'offre à lui. Doublement d'ailleurs puisque l'ancien PDG de la banque française, Frédéric Oudéa, est accusé de mensonge pour avoir affirmé sans sourciller le mardi 17 avril 2012, lors d'une audition devant les sénateurs sur l'évasion fiscale, que sa banque avait quitté le Panama et autres "paradis fiscaux" : "La Société générale a fermé ses implantations dans les pays qui figuraient sur cette liste grise, mais aussi dans ceux que désignait la liste des États non-coopératifs, c'est-à-dire en pratique, pour nous, à Panama".

"C'est très grave de mentir sous serment. Panama Papers : l'insupportable tolérance face à la Société générale. « Panama papers » : l’incroyable histoire de Mossack Fonseca. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Anne Michel Il faut prononcer son nom pour voir, dans la seconde, se fermer les visages et s’éteindre les voix. Au Panama, Mossack Fonseca est une de ces firmes toutes-puissantes, dont l’activité est intimement liée à l’histoire du pays. Une histoire gangrenée par la corruption et l’argent sale depuis les années de dictature de Manuel Noriega (1984-1990), dont Mossack Fonseca a pris toute sa part. Panama papers: Société Générale contre-attaque. La Société générale a annoncé jeudi 7 avril qu'elle allait poursuivre en diffamation le dirigeant du Parti de gauche Jean-Luc Mélenchon, ainsi que son ex-trader Jérôme Kerviel et l'avocat de celui-ci, Me David Koubbi, jugeant qu'ils avaient tenu des propos "calomnieux" à son encontre dans l'affaire Panama Papers.

« Panama papers » : les 979 sociétés offshore créées par la Société générale via Mossack Fonseca. Lire-panama-papers�-comment-a-eu-lieu-le-vol-massif-de-donnees�-le-monde-informatique-64426. La pénétration du serveur de messagerie du cabinet d'avocats panaméenne Mossack Fonseca serait la plus grande violation de données jamais réalisée avec 2,6 To de données. (Crédit D.R.) Le piratage du serveur de messagerie du cabinet panaméen Mossack Fonseca a permis à des hackers inconnus d'extraire 2,6 To de données, dont 4,8 millions de messages électroniques et 2,2 millions de fichiers PDF. « Panama Papers » : les coulisses de l'enquête. Mercredi dans les « Panama papers » : anonymes, grandes fortunes et grandes entreprises françaises. En direct : la France et les « Panama papers » Offshore : ce qui est légal, ce qui ne l’est pas. « Panama papers » : comprendre le système offshore en 3 minutes.

Ces Français moyens qui ont un pied dans les paradis fiscaux. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Mathilde Damgé Des chefs d’Etat, des milliardaires, de grands noms du sport ou des célébrités figurent parmi les 11 millions de fichiers du cabinet Mossack Fonseca, spécialisé dans la création de sociétés offshore. « Panama Papers » : comment des proches de Marine Le Pen ont exfiltré de l’argent de France.

Les « Panama papers » montrent comment Frédéric Chatillon et Nicolas Crochet ont monté un circuit complexe de sociétés offshore pour sortir 316 000 euros de la société Riwal. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Simon Piel et Anne Michel L’enquête conduite par Le Monde en partenariat avec le Consortium international de journalistes d’investigation (ICIJ) a permis de mettre au jour un système de dissimulation d’avoirs financiers, organisé dans des centres offshore d’Asie et des Caraïbes par le premier cercle de fidèles de la présidente du Front national (FN), au premier rang desquels l’homme d’affaires Frédéric Chatillon et l’expert-comptable Nicolas Crochet.

Tous les deux sont aujourd’hui mis en examen dans le cadre de l’enquête sur le micro-parti de Marine Le Pen et le financement des campagnes présidentielle et législatives de 2012. « Panama papers » : sur la piste du trésor de Jean-Marie Le Pen. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Anne Michel et Simon Piel Une société cachée aux îles Vierges britanniques, un compte secret à Guernesey et, à la clé, 2,2 millions d’euros en billets de banque, lingots et pièces d’or sonnantes et trébuchantes. Depuis juin 2015, la justice s’est lancée sur la piste d’un trésor susceptible de conduire à Jean-Marie Le Pen et à sa femme, Jany Le Pen, et a ouvert une enquête pour « blanchiment de fraude fiscale ». Le parquet national financier soupçonne l’ancien président du Front national de s’être servi de son ancien majordome et homme de confiance, Gérald Gérin, ayant droit officiel de la société offshore Balerton Marketing Limited, pour y dissimuler une partie de sa fortune.

Créée dans le secret des Caraïbes en 2000, Balerton Marketing Ltd apparaît bel et bien sur les fichiers de la firme panaméenne de domiciliation de sociétés offshore Mossack Fonseca, et les données auxquelles Le Monde a eu accès révèlent ainsi une opacité parfaitement organisée. « Panama papers » : pourquoi y a-t-il si peu d’Américains ? « Panama papers » : Stairway to tax heaven, le jeu. Les grandes banques, carburant et actrices du système offshore. Evasion fiscale : si vous n’avez rien suivi des « Panama papers » « Panama Papers » : en Islande, le chef du gouvernement et deux ministres sur la sellette. Panama Papers : Michel Platini et la Fifa (encore) rattrapés par le scandale. « Panama Papers »  : une plongée inédite dans la « boîte noire » des paradis fiscaux.

Panama Papers : un système offshore mondial dévoilé. Le tournis, le vertige et la nausée. « Panama papers » : le lexique pour tout comprendre.