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Les plus belles bibliothèques du monde. La bibliothèque, miroir de notre intimité. On pensait le concept de bibliothèque de salon devenu désuet à l’ère du tout-numérique.

La bibliothèque, miroir de notre intimité

Avec la multiplication du télétravail et des visioconférences, les arrière-plans d’étagères de livres au cachet intello ne cessent de fleurir sur les écrans d’ordinateurs. Sur Instagram, les images de bibliothèques personnelles se sont même mises à concurrencer les habituelles orgies chromatiques de couchers de soleil, confinement oblige. Comme si les livres, ces bouées de sauvetage en temps de sevrage social et culturel, composaient un paysage fantasmatique, capable de satisfaire nos imaginaires et nos désirs d’évasion. Afficher sa bibliothèque, c’est aussi dévoiler une partie de soi. Chaque propriétaire possède un rapport singulier à ses livres et à la place qu’ils occupent dans son espace domestique. . « Le principe alphabétique réunit artificiellement des auteurs ou des univers qui n’ont rien à voir les uns avec les autres. » Olivier Gabet, directeur du Musée des arts décoratifs.

Salon International du Livre Rare & de l'Autographe. Rebecca Dautremer. Edition : lignes d’horizon au sortir du confinement. Tous les éditeurs sont sonnés, après deux mois de chiffre d’affaires en lambeaux, mais à la question « Quel sera le monde d’après ?

Edition : lignes d’horizon au sortir du confinement

», chacun apporte une réponse singulière, selon son importance, son appartenance à un groupe, son histoire. Et tente de voir comment la politique éditoriale, sa vie quotidienne, les relations avec les libraires et les auteurs pourront ou devront être modifiées. La récession économique annoncée n’a aucune raison d’épargner l’édition. Vincent Montagne, PDG de Média-Participations et président du Syndicat national de l’édition (SNE), broyait du noir dans Livres Hebdo du 23 avril en affirmant sans ambages qu’« il faut s’attendre à des faillites et des vagues de licenciements ». A ses yeux, « les maisons dont les fonds propres sont solides pourront s’en sortir », mais il redoute le pire pour les éditeurs les plus fragiles. « Tant de choses à savoir », d’Ann Blair : tenir tout le connu dans une seule main, un rêve ancien. « Tant de choses à savoir.

« Tant de choses à savoir », d’Ann Blair : tenir tout le connu dans une seule main, un rêve ancien

Comment maîtriser l’information à l’époque moderne » (Too Much to Know. Managing Scholarly Information Before the Modern Age), d’Ann Blair, traduction de l’anglais (Etats-Unis) par Bernard Krespine, revue par Ann Blair, préface de Roger Chartier, Seuil, « L’univers historique », 496 p., 25 € ; numérique 18 €. Chacun, enfermé chez soi, cloué comme jamais devant son ordinateur, se retrouve seul face à la cohorte infinie des savoirs, et n’en mène pas large. Tout est là, disponible, facile, immédiat. Mais par où commencer ? Article réservé à nos abonnés Lire aussi Bruno Strasser : « Une grande part de la connaissance numérique produite n’est pas rendue visible »

Tribune. A quoi sert l’éditeur ? L’histoire de l’édition donne le sentiment d’une ritournelle.

Tribune. A quoi sert l’éditeur ?

Ainsi, l’affirmation que « s’il y a trop d’éditeurs, il y a aussi trop de livres, et surtout trop de livres insignifiants et sans valeur, sans originalité, qui se tuent les uns les autres », est énoncée dès 1903 par Henri Baillière, dans La Crise du livre. Doit-on conclure, bien hâtivement, que l’édition est secouée régulièrement par les mêmes maux ? Cependant, les évolutions tendancielles observées aujourd’hui sont d’une nature différente. Les prophéties annonçant la mort du livre tué par la technologie numérique semblent joyeusement démenties par l’extraordinaire floraison d’une industrie du livre d’un type particulier : il n’est plus d’hommes ni de femmes politiques, de vedettes de cinéma, de grand chef étoilé ni d’actrices de telenovelas dont le parcours de carrière, comme au jeu de l’oie, ne doivent impérativement passer par la case « signer et publier un livre ».

Tel est le problème. La librairie tiers livre. Livres rares Archives - Artazart. The Shelf Journal. Atelier de reliure de Catherine Chauvel. CONFÉRENCES Les à-côtés plaisants du livre et de la typographie Une série de 6 conférences de Christian Laucou, dans l'atelier de reliure de Catherine Chauvel.

Atelier de reliure de Catherine Chauvel

Elles sont proposées au rythme de une par mois, le 3e mercredi à 19 h. D'une durée de une heure environ, suivies de questions-réponses et d'une petite collation. Il est demandé une participation de 15 euros par personne. Le lieu, limitant le nombre d'auditeurs à 30, en cas d'inscriptions supplémentaires, une seconde séance sera proposée à une date intermédiaire. 1. 2. 3. 4. 5. 6. ···oOo··· [N. Si vous êtes intéressé(e) par une ou plusieurs de ces conférences, veuillez nous le faire savoir en nous prévenant par simple courriel à l'adresse citée dans le haut de la page d'accueil de ce site, ou à celle du conférencier : cls[at]fornax[point]fr, en nous précisant vos nom et prénom (les adresses mail sont parfois sibyllines), et les numéros des conférences qui vous intéressent. RELIEFS. Paysageur. Yggdrasil Magazine. Orbs.