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Un site pour décrypter les CGU (conditions générales d’utilisation) Comment se faire oublier sur Internet ? Communication Credit_triocean_Fotolia « Plutôt que de parler de droit à l’oubli sur Internet, on devrait plutôt parler du droit au contrôle », explique Claude Castelluccia, de l’équipe de recherche Planete (Protocoles et applications pour l'Internet), à Inria (Grenoble et Sophia Antipolis).

Comment se faire oublier sur Internet ?

De ce point de vue, toute personne amenée à publier des données sur Internet devrait avoir la possibilité ultérieure de les modifier ou de les effacer. Est-ce possible ? Pas si simple, répond Claude Castelluccia lors de son interview à Interstices : « les données peuvent être sauvegardées dans différents endroits et différents pays. Dans de nombreux pays, les législateurs et les associations se mobilisent pour que des cadres juridiques satisfaisants soient imposés, à terme. « En attendant, un rôle important peut être joué par l’éducation et la formation du public. Il existe trois solutions techniques intéressantes pour gérer ces données éphémères. La troisième approche est celle d’Inria.

Étude : l'usage d'Internet dans le monde en 2012. De nombreuses études sont publiées chaque année sur les usages d’Internet.

Étude : l'usage d'Internet dans le monde en 2012

Malheureusement, dans beaucoup de cas, la population étudiée est exclusivement américaine et ne permet pas d’avoir une vision globale de l’utilisation du réseau. L’enquête mondiale sur l’utilisation de l’Internet proposée par Internet Society va plus loin, en élargissant son analyse à 20 pays, dont la France. Au total, pas moins de 10 000 personnes ont été interrogées. Les thèmes abordés vont de la liberté d’expression à l’impact d’Internet sur l’économie et plus globalement la société. La "curation" en question(s) 10 fiches pratiques enjeux de l’économie numérique (réseaux sociaux, droit, e-réputation…) par les élèves du lycée du Granier à La Ravoire (Savoie)

S'informer à l'ère numérique. Comment s’informer sur Internet (au sens : acquérir des connaissances vraies et pertinentes) ?

S'informer à l'ère numérique

La question devrait être résolue depuis longtemps tant il existe de sociétés, consultants, logiciels, qui proposent de nous initier aux délices de la veille sociétale ou stratégique, avec bases de données, cartographie sémantique, knowledge management, crawling, data mining, curation et autres techniques qui mériteraient un bon benchmarking… Ou une bonne explication pour le commun des mortels Par ailleurs, qui n’a un jour suivi une formation sur l’emploi des métamoteurs et des agents intelligents, qui n’a au moins lu un texte sur les opérateurs booléens (qui relient plusieurs des mots d’une requête par des termes comme et, ou, sauf, etc) ?

Parmi ceux qui liront ces lignes, il y a sans doute quelques uns des milliers de professionnels de la quête d’information, et au minimum des lecteurs qui passent plusieurs heures par semaine à veiller face à un écran. - Soit vous suivez un trajet familier. Les Français manquent de précaution lorsqu'ils partagent des photos sur le web. Plus de la moitié des Français (58%) publient des photos sur internet, même si la majorité d'entre eux jugent insuffisant le niveau de confidentialité proposé par les réseaux sociaux ou les sites de partage, selon une étude de TNS Sofres pour la Cnil rendue publique mercredi.

Les Français manquent de précaution lorsqu'ils partagent des photos sur le web

"Les photos et les vidéos jouent un rôle important dans la construction de l'identité en ligne, mais les internautes ont des attitudes relativement ambivalentes", a résumé Isabelle Falque-Pierrotin, présidente de la Commission nationale de l'informatique et des libertés, lors d'une conférence de presse. Ce site sait ce que vous faites, grâce aux données Facebook et Foursquare. C’est bien connu, on poste des informations plus ou moins personnelles sur les réseaux sociaux – que ce soit Facebook ou Twitter.

Ce site sait ce que vous faites, grâce aux données Facebook et Foursquare

Un jour, elles peuvent être révélées publiquement pour porter préjudice… Le site appelé « We Know What You’re Doing » tente de sensibiliser les utilisateurs à propos des données sensibles qu’ils postent sur les réseaux sociaux. En combinant les données publiques de Facebook avec celles de Foursquare, le site affiche des messages qui répondent aux questions suivantes : « Qui veut se faire virer ? », « Qui a la gueule de bois ? », « Qui prend des drogues ? Plus qu’un vrai outil digne de ce nom, il s’agit surtout d’une expérimentation pour montrer que certains messages sont un peu trop personnels et que les paramètres de confidentialité de Facebook sont parfois trop souples. Le site propose aussi de découvrir l’emplacement exact des résidences des utilisateurs de Foursquare qui font régulièrement des check-ins « My home ».

Voir le site We Know What You’re Doing. La police allemande surveille les conversations sur Facebook, Gmail, et Skype. Crédit D.R.

La police allemande surveille les conversations sur Facebook, Gmail, et Skype

Les comptes du Ministère Fédéral de l'Intérieur montrent que, depuis des années, la police allemande dispose d'un budget pour surveiller les médias sociaux et les services de courrier électronique. Interrogé par le Parti de Gauche sur un outil d'écoute qui a servi en 2011 à intercepter des appels Skype, le Ministère de l'Intéreur allemand a donné le détail des dépenses qu'il a payées à des prestataires de services privés pour surveiller des messageries en ligne et des réseaux sociaux.

La liste incluse dans le document du Ministère révèle que des prestataires externes ont été rémunérés pour surveiller les appels Skype et voir les contenus des chats sur Facebook. En 2009, par exemple, la police allemande a loué à la société allemande DigiTask du matériel et des logiciels pour surveiller Skype. Coût : 30 400 euros. Les adolescents et les jeunes adultes sont accros à leur téléphone portable.