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Ce qu'en disent les médias en ligne

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Siouplaît ! Nicolas Sarkozy: "...La notion de secret d'État n'existe plus... Nicolas Sarkozy 20/06/2009 à 09h25 - mis à jour le 20/06/2009 à 12h45 | vues | réactions Coup de tonnerre, jeudi dernier... Les avocats des familles des victimes (14 morts) de l'attentat de Karachi (2002) lâchent une bombe... Après avoir rencontré les juges antiterroristes, ils affirment que "la piste d'Al-Qaeda est totalement abandonnée".

D'après eux l'enquête s'orienterait désormais vers une "affaire d'Etat(s)". Avec ou sans "s", d'ailleurs.... En substance, l'attentat n'aurait pas été commis, comme on l'a affirmé, par Al Qaida mais par l'État pakistanais. Il aurait eu lieu, en guise de représailles, après l'interruption par Jacques Chirac, du versement de commissions sur des ventes d'armes aux pakistanais! Ces commissions auraient donné lieu à des rétro-commissions. Et c'est donc pour cette raison que son adversaire élu, Jacques Chirac, aurait alors cessé de les verser, provoquant l'attentat... Je ne sais pas si "on est dans un monde où tout se sait"... À suivre, donc... Affaire Karachi: un nouveau rire très déplacé de Nicolas Sarkozy.

Sarkozy et Karachi: l'injure faite aux victimes et leurs famille. Nicolas Sarkozy 20/06/2009 à 10h41 - mis à jour le 20/06/2009 à 16h04 | vues | réactions Quel étrange pays que le notre. Que sommes nous devenus? Plus rien ne nous indigne, même l'insupportable. Depuis hier, je suis sidéré par la bande vidéo montrant la réaction de l'actuel président de la République répondant à une question relative aux causes de l'attentat de Karachi, attentat commis en 2002 et qui coûta la vie à quatorze personnes. Pour rappel, l'attentat aurait été commis par l'État pakistanais (et non Al-Qaïda) en guise de représailles, après l'interruption par le président Chirac, du versement de commissions sur des ventes d'armes opérées avant son élection. Ces commissions auraient donné lieu à des rétro-commissions qui auraient servi à financer la campagne présidentielle d'Édouard Balladur en 1995.

(Vidéo: Elysée.fr) Étrange sensation que celle éprouvée au visionnage de ce document. Et le final, éblouissant, confondant, ahurissant, atterrant. Karachi en fait karachier quelques uns ? - CyCee sur LePost.fr. Karachi 27/06/2009 à 10h39 - mis à jour le 27/06/2009 à 16h50 | vues | réactions J'ai posté mon article sur LePost.fr, il y a deux jours, à propos de Karachi, des supposées tractations financières, potentielles des magouilles de Balladur et Sarkozy.

Parmi les commentaires globalement positifs, un "ami sarkozyste" a écrit : "allé encore un article pour critiquer sarko cela devient hilarant à force ...euh au fait le ps y propose toujours rien à part remanier avec les mêmes incompetents . ya des orages dans l'est prévu pour ce soir et demain mais oui c'est sarko qui les déclenche !! " (L'orthographe est conservée) J'aimerais juste répondre, poliment, que dans cette histoire, il y a eu 11 morts français. Plus qu'une histoire de politique bassement politicienne, une histoire de justice... D'ailleurs, ces familles ont un blog, que je vous invite à visiter. Monsieur Sarkozy, nous sommes nombreux à désirer la vérité. Retrouvez-moi sur mon blog... [Bakchich : informations, enquêtes et mauvais esprit] Réactions. Ça danse devant le buffet de la droite !

A coups de crocs acérés sur un des vieux os de la Chiraquie des années 90. Bakchich avait déjà révélé en juin 2008, avant les récents aveux de Claude Thévenet (un ancien de la DST), le blocage de versements de commissions aux intermédiaires balladuriens, dans le cadre de la vente de sous-marins au Pakistan. Un chat resté en travers de la gorge de Chichi lorsqu’en 95 « le grand tout mou » jouait les chevaliers blancs en voulant briguer la Présidence de la République. Attentat l’honneur de la droite ? La coupe du robinet des commissions aux autorités pakistanaises par Chirac en 95 laisse présager à plo qu’ « Il faut prendre conscience que tout cela ce n’est que de l’écume qui remonte.

Sarkozy passe l’arme à droite Notre sérénissime Sarkozy a-t-il à faire de près ou de loin dans cette histoire, lui qui était directeur de campagne de Balla’ The Hard pendant la présidentielle de 1995 ? Lire ou relire sur Bakchich : [Bakchich : informations, enquêtes et mauvais esprit] Le contrat. Depuis le vendredi 19 juin et la sortie de Me Olivier Morice en fait, avocat des victimes de l’attentat de Karachi, le 8 mai 2002, les contrats passés avec le Pakistan sont à la une de l’actualité. En affirmant urbi et orbi que les onze ingénieurs de la DCN ont été tués en raison d’une guerre politico-financière, remontant à la présidentielle de 1995 entre le clan Chirac et le clan Balladur-Sarkozy, l’avocat a mis le feu aux poudres.

Et des documents, signés par un ancien de la DST à la réputation mitigée, ont été publiés dans Libération selon lesquels la DGSE française aurait « brisé des genoux » de quelques gradés militaires. Autant de révélations à prendre avec prudence. Selon nos informations, cette campagne de presse soudaine est à prendre avec des pincettes. Jusqu’à présent, ce vieux contrat de 1994, trois sous-marins fournis par la direction des chantiers navals (alors établissement public) au Pakistan contre 826 millions d’euros –n’intéressait pas grand monde. © Pier. [Bakchich : informations, enquêtes et mauvais esprit] Le contrat. Attentat de Karachi: Millon a bien bloqué des commissions | Rue8. Chirac a bien demandé à son ministre de la Défense de bloquer des commissions liées à des ventes d’armes au Pakistan. Charles Millon à Lyon le 13 mars 2001 (Robert Pratta/Reuters) Charles Millon confirme la piste évoquée par les juges chargés de l’enquête sur l’attentat de Karachi.

Oui, dit en substance l’ancien ministre de la Défense, Jacques Chirac m’a demandé de bloquer le versement de certaines commissions sur des contrats de ventes d’armes. Notamment sur celui des trois sous-marins Agosta vendus au Pakistan. Nicolas Sarkozy peut-il continuer à parler de « fable grotesque » ? Chirac me demande de « stopper » le versement des commissions Paris-Match lève un nouveau coin du voile épais qui entoure l’affaire de l’attentat de Karachi. Comme Rue89 le racontait par le menu jeudi dernier, les deux juges chargés de cette enquête se sont rendus à Cherbourg. En revanche, Charles Millon dit n’avoir jamais fait l’objet de menaces liées à ce contrat. « Mais qu’est-ce que vous voulez que je vous dise ?! »

Karachi : les révélations de l’homme qui a bloqué les commission. Karachi : du sang sur les mains au plus haut niveau de l’Etat. Karachi : les sites sont en pointe. Le Karachigate, ou la twitterisation français. Karachi, un Watergate français ? Karachi : silence, affaire d'Etat ! Vers l'inéluctable étouffement ? Après avoir, dans une première partie, expliqué comment un système de corruption croisée entre la France et le Pakistan, au bénéfice chez nous d’Édouard Balladur, avait causé la mort des 14 victimes de l’attentat de Karachi en 2002, puis établi dans une deuxième l’implication au moins probable de Nicolas Sarkozy, voici notre troisième et dernière partie sur ce scandale d’État. Troisième partie : vers l’inéluctable étouffement ?

Le héros de la conférence de presse de Nicolas Sarkozy, accordée à Bruxelles le 19 juin dernier, se nomme Philippe Alfroy, confrère de l’AFP qui ose la question suivante : "Selon les informations qui ont été rapportées hier à la suite d’une réunion entre les parties civiles dans l’attentat de Karachi et les juges d’instruction, il semblerait que l’origine de l’attentat ne soit pas due à un acte terroriste mais plutôt à des représailles de l’Etat pakistanais après le non versement de commissions.

Ce soit. Secret défense étendu et suppression du juge d’instruction. Karachi, c'est loin d'être fini. Sur leur blog, les familles des victimes de l’attentat de Karachi ont mis en ligne un article de Mediapart. Voici cet article de Mediapart, publié le jeudi 2 juillet 2009 : Affaire Karachi : Edouard Balladur est directement impliqué. Par Fabrice Alfi et Fabrice Lhomme. Il a été l’un des principaux intermédiaires payés par la France dans le cadre de plusieurs grands contrats d’armement internationaux, dont le contrat avec le Pakistan susceptible d’être à l’origine de l’attentat de Karachi.

Ces éléments sont notamment confortés par des notes de la Direction générale des services extérieurs (DGSE), un rapport secret d’un ancien agent de la Direction de la surveillance du territoire (DST), Claude Thévenet, et par le témoignage de l’ancien directeur financier de la Direction des constructions navales (DCN). Le juge considère désormais cette piste « cruellement logique », comme il l’a confié le 18 juin dernier aux familles des victimes réunies à Cherbourg. Attentat de Karachi: les révélations d'un ancien des services se. Karachi: dès 2002, la DGSE a mené une opération de «représailles.