background preloader

Blogs divers

Facebook Twitter

Sarko Karachi dans la colle | ruminances. Exclusif : la note oubliée sur l'attentat de Karachi - Désirs d' En exclusivité, Jeune Afrique publie le verbatim intégral de la note de la Direction des constructions navales (DCN) qui attribue à la branche « afghane » des services secrets pakistanais l'attentat de Karachi commis le le 8 mai 2002. Attribuée dans un premier temps à Al Quaïda, cette action, qui a coûté la vie à 11 ingénieurs français, aurait été perpétrée pour punir la France d'avoir suspendu le versement de commissions à des intermédiaires, en marge d'un marché d'armement portant sur trois sous-marins. Le document de la DCN affirme que les commissions versées en marge du contrat d'armement bénéficiaient à des militaires pakistanais mais devaient également revenir en France pour financer la campagne présidentielle d'Edouard Balladur.

Rappel des faits: le 8 mai 2002, le traumatisme du 11 septembre est dans tous les esprits quand 11 ingénieurs français sont tués dans un attentat à la voiture kamikaze à Karachi au Pakistan. Lire la suite : Monsieur Poireau, le blog qui donne la patate: Les raisons [dans. Hommage aux victimes de l'attentat de Karachi par Jacques Chirac, président de la République [photo Ouest-France] Nous savons bien que cela peut toujours arriver. Nous l'imaginons tous à un moment ou à un autre ; c'est une pensée qui survient et qu'on tente aussitôt de chasser d'un geste de la main. Mais c'est lorsque cela prend forme dans la réalité, que nous comprenons combien on s'y attendait peu. Que votre enfant meurt avant vous est tellement contre nature. Je suis resté sur place, cloué sur place, avec cette soudaine conscience de tout le chemin déjà parcouru et finalement le vide à l'arrivée.

Pour le reste des événements, je ne me souviens pas trop. Je n'ai presque pas pleuré, j'ai très peu démontré ma peine, rien n'est sorti de moi. J'ai revu la cérémonie d'hommage un peu plus tard. Mais je n'ai pas aimé retrouver ces images. Si j'ai fini par accepter sa mort, c'est qu'il fallait bien m'y résoudre. Il avait choisi ce métier par passion et il en connaissait les risques. Karachi, partout dans les blogs, mais dans. On l'avait un peu oubliée, cette histoire ! C'était environ 6 mois après le 11 septembre 2001. 11 ingénieurs Français mourraient dans un attentat à Karachi, au Pakistan. On avait versé une larme pour les familles, mis ça sur le dos d'Al-Qaida et on avait repris des moules. Comme d'habitude, on y comprend rien... Moi j'ai vaguement compris que Jacques Chirac avait refusé en 1996 de verser des commissions pour je ne sais quels dossiers qu'avaient en charge Nicolas Sarkozy alors qu'il était le ministre du budget d'Edouard Balladur, commission promise pendant la campagne électorale pour les présidentielles de 1995... et destinées à payer la campagne de son excellence Edouard 1er.

Si c'est pas ça, n'hésitez pas à me raconter votre version. Paf ! En 2002, nos amis Pakistanais en ont marre : boum, les ingénieurs. Edit : Hop ! Karachi dans le Monde - Le blog de fleche. Mercredi 24 juin 3 24 /06 /Juin 19:50 Eh oui c'est du journal Le Monde dont je parle. Voilà l'article sur le Monde.fr Les autres journaux se sont emparés du sujet, et Rachida Dati de dire que "tout sera mis en oeuvre pour que la vérité soit obtenue", oui mais voilà, elle n'est plus ministre, quel pouvoir a-t-elle ? Elle n'a peut-être plus beaucoup de pouvoir mais a une revanche à prendre. La pression est plus forte sur la Toile que dans les quotidiens. En allant plus loin dans l'article, Charles Millon semble dire avoir agi sur demande de Jacques Chirac. Vous allez voir que ça va lui retomber sur le nez cette histoire. Petit rappel concernant Charles Millon, c'est lui qui sur la région Rhône Alpes s'est allié avec le Front National pour remporter la présidence de la Région.

En attendant que Nicolas Sarkozy réagisse et que peut-être l'enquête des journalistes aille un peu plus loin, le président déclare vouloir de l'audace et des réformes. De l'attentat de Karachi à Nicolas Sarkozy | Ethique, Internatio. Karachi, c'est chaud - Le blog de Rébus. Jeudi 25 juin 4 25 /06 /Juin 14:25 Le Karachigate, c'est le nom de cette affaire dans laquelle la sarkozie est bien empêtrée. Une affaire classique pour notre ripoublique où se mélangent clans politiques, pognons pas clairs, barbouzeries sur fond de langue de plomb côté politique et de d'évocations prudentes coé presse.

À la base du karachigate, le système Balladur, à l'époque ou le Grand Mammamouchi se voyait Président. Au coeur de ce système on trouve celui que certains, qui ne l'aimaient, guère surnommaient alors Petite Crotte. Depuis, Petite Crotte est devenu président, et son implication passée en balladurie lui revient en pleine poire. Bizarrement, si on interroge le petit Nicolas sur ces années Balladur, il sera très heureux d'évoquer son action dans l'affaire de la maternelle de Neuilly, affaire qui lui permit de se rendre populaire, mais il semble beaucoup moins à l'aise avec cette affaire de Karachi. Répêtez après moi, il ne s'est rien passé à Karachi. Karachi : une vente d'armes hors normes : République bananière.

Attentat de Karachi : cet étrange monsieur Théve. L'affaire de l'attentat de Karachi du 8 mai 2002, au cours duquel 14 personnes dont 11 salariés de DCN ont été tués, a resurgi dans l'actualité. Selon l'avocat des familles des victimes, la cause de cet attentat n'est pas à rechercher du côté d'Al Qaida, mais plutôt dans le non-versement par la France de commissions à certains Pakistanais.

Une opération du Service Action de la DGSE contre des militaires pakistanais est également évoquée. "Ubuesque ! " estime-t-on dans les milieux du renseignement sur ce dernier scénario. Nous pouvons en revanche apporter quelques précisions sur l'homme qui est à l'origine de cette hypothèse, reprise dans le dossier judicaire. Il s'agit de Claude Thévenet, 59 ans, directeur de plusieurs sociétés d'"intelligence économique", comme il est poli de dire. Dans ces activités professionnelles, Claude Thévenet a eu des sérieux ennuis avec la justice.

C'est ce même Gérard-Philippe Menayas qui lui aurait commandé le rapport baptisé Nautilus. Karachi et les rétrocommissions bis. Nous voulons. Devoir de réserve : la France sur la ligne dure. Les fonctionnaires peuvent-ils encore critiquer la politique du gouvernement ? Les procès se multiplient. Chut ! (Sarah G/Flickr) Une riveraine de Rue89, magistrate administrative, nous le confirme : de plus en plus d’agents publics font appel, devant une juridiction administrative, de sanctions prises en interne.

Mais aucune statistique n’est publiée sur la question. Ces agents sanctionnés par leur hiérarchie ces derniers mois, vous en connaissez certains : C’est Bastien Cazals, professeur des écoles à Montpellier, réfractaire comme trois mille autres aux réformes de Xavier Darcos jusqu’au départ de ce dernier. Pichon a d’abord agacé sa hiérarchie en publiant coup sur coup un livre très médiatisé, ‘Journal d’un flic’, et une étude universitaire critique. ‘Où se situe la limite entre liberté d’expression et obéissance ?’ Ces trois cas montrent que l’administration durcit le ton face à ses agents, au point de dessiner de nouveaux contours au devoir de réserve.

Réforme du lycée : les coulisses des expérimentations de la rent. Les 16 000 suppressions de postes et la masterisation ne sont pas les seuls dossiers épineux dont hérite Luc Chatel en prenant les rênes de l’Education nationale. A la rentrée 2009, le successeur de Xavier Darcos devra aussi se pencher sur les expérimentations dans les lycées. Petit retour en arrière… Moins de deux mois après le report de sa réforme, en décembre 2008, Xavier Darcos lance un appel d’offres, via les recteurs, auprès des établissements.

S’ils le souhaitent, ceux-ci pourront expérimenter dès septembre 2009 des points du projet repoussé : la semestrialisation, la semaine de bilan et d’orientation de milieu d’année, la mise en place d’un accompagnement individualisé pour les élèves en difficulté, etc. Il suffisait pour cela d’envoyer un dossier à son académie. Des débuts polémiques Comme appât, Xavier Darcos promettait - aux établissements qui expérimenteront - une dotation de 500 ETP (équivalents temps-plein), réservée dans son budget annuel. …ou politique. LES JOURS ET L'ENNUI DE SEB MUSSET: [video] Ne pas lâcher Karach.

Karachigate: Jeuneafrique.com publie la note de la DCN - Dazibao.