background preloader

Politique

Facebook Twitter

Pourquoi les pauvres votent-ils contre leurs intérêts ? « Si l’on aide les plus pauvres, alors c’est moi qui vais me retrouver tout en bas » : selon des chercheurs américains, la « peur de la dernière place » expliquerait l’opposition des citoyens modestes aux politiques de redistribution. Depuis au moins une décennie, la politique américaine se caractérise par un double paradoxe : bien que les inégalités et la pauvreté augmentent, la politique fiscale n’a jamais autant favorisé les plus riches. Et le Parti républicain, la force politique derrière ces réductions d’impôts, a bénéficié d’un soutien populaire considérable. Garder son statut d’« avant-dernier » Deux économistes ont récemment proposé une explication insolite à ce paradoxe (1). Les raisons que l’on avance habituellement pour expliquer cette tendance à voter contre son propre intérêt économique sont, selon Ilyana Kuziemko (Princeton) et Michael I. Pour prouver leur thèse, I. Sortir de la honte d’être dernier Ce modèle n’explique pas à lui seul, selon I.

Michael C.Behrent. Loi de Godwin. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Illustration (décrite en anglais) du moment où une discussion enflammée va inévitablement passer le point de non-retour, souvent facilement reconnaissable. La loi de Godwin est une règle empirique provenant d'un énoncé fait en 1990 par Mike Godwin relatif au réseau Usenet, et popularisée depuis sur Internet : Dans un débat, atteindre le point Godwin revient à signifier à son interlocuteur qu'il vient de se discréditer en vérifiant la loi de Godwin.

Par extension, du fait de la polysémie du mot « point » (signifiant à la fois argument et point en anglais), des « points Godwin » sont parfois attribués à cet interlocuteur (on notera que Godwin lui même n'a jamais parlé de « point » proprement dit)[1]. Concept[modifier | modifier le code] Cette « loi » s'appuie sur l'hypothèse selon laquelle une discussion qui dure peut amener à remplacer des arguments par des analogies extrêmes. Le point Godwin[modifier | modifier le code] Point Godwin. Définition, traduction, prononciation, anagramme et synonyme sur le dictionnaire libre Wiktionnaire. Français[modifier | modifier le wikicode] Étymologie[modifier | modifier le wikicode] (1990) De la loi de Godwin, du nom de Mike Godwin, et de point. Cette loi énonce que « plus une discussion en ligne dure longtemps, plus la probabilité d'y trouver une comparaison impliquant les nazis ou Adolf Hitler s'approche de 1 ».

Mike Godwin ne parlant que de « loi » et jamais de « point », c'est le langage courant qui, de cette loi, a tiré par extension le « point » Godwin : moment où, dans un débat, les adversaires s'injurient ou caricaturent grossièrement les positions de l'autre, toute discussion constructive devenant alors impossible. Locution nominale[modifier | modifier le wikicode] point Godwin /pwɛ̃ gɔd.win/ masculin (Internet) (Propre) Instant d’une conversation où les esprits sont assez échauffés pour qu’une référence au nazisme intervienne. Traductions[modifier | modifier le wikicode]

Hitlériser — Wiktionnaire. Définition, traduction, prononciation, anagramme et synonyme sur le dictionnaire libre Wiktionnaire. Français[modifier | modifier le wikitexte] Étymologie[modifier | modifier le wikitexte] De Hitler avec le suffixe -iser. Verbe[modifier | modifier le wikitexte] hitlériser (h muet)/it.le.ʁi.ze/ transitif 1er groupe (conjugaison) Apparentés étymologiques[modifier | modifier le wikitexte] hitlérisme Vocabulaire apparenté par le sens[modifier | modifier le wikitexte] Caroline Fourest. Les petits calculs d'Eric Zemmour, par Caroline Fourest.

LE MONDE | • Mis à jour le | Par Caroline Fourest Eric Zemmour vient d'expérimenter une loi cardinale en matière de dérapages : l'accumulation. Comme pour Georges Frêche, le tollé soulevé par ses propos n'est pas dû à la pire de ses déclarations, mais à celle de trop : "Les Français issus de l'immigration (sont) plus contrôlés que les autres parce que la plupart des trafiquants sont noirs et arabes...

C'est un fait. " Cette phrase n'est pas sans rappeler la polémique soulevée par Renaud Camus. A l'époque, le goût douteux pour la comptabilité ethnique consistait à compter les journalistes juifs sur une station de radio. Dans les trois cas, plus l'émotion est grande, plus nos valeureux statisticiens sont sûrs d'engranger des soutiens parmi les amateurs d'évidences chiffrées et de francs-parlers. On peut. Oui, il y a de nombreux joueurs noirs en équipe de France. Enfin, oui, Eric Zemmour, la plupart des petits trafiquants sont noirs et arabes.