Ds065-b. Cinéchronique. Plan : Introduction I.
La représentation du réel dans le film Aspects autobiographiques Points communs Guido/Fellini Fellini a dit Aspects du film rappelant l’Italie II. Analyse des désirs Définition du désir Quelques aspirations de Guido III. La création dans le film La création pour Fellini La création à travers Guido : échecs Succès de Fellini à travers les échecs de Guido Conclusion I La représentation du réel dans le film Aspects autobiographiques Points communs Guido/Fellini Fellini a dit Aspects du film rappelant l’Italie II Analyse des désirs Définition du désir Quelques aspirations de Guido III La création dans le film La création pour Fellini La création à travers Guido : échecs Succès de Fellini à travers les échecs de Guido Conclusion Préambule Né en 1920, Federico Fellini passe une enfance insouciante dans un milieu petit bourgeois. Nous avons d’abord été intriguées par le titre du film : Huit et demi. Haut 1. Fellini est le cinéaste de l’autobiographie vécue ou rêvée.
Self-reference. Self-reference is studied and has applications in mathematics, philosophy, computer programming, and linguistics.
Self-referential statements are sometimes paradoxical. Usage[edit] An example of a self-referential situation is the one of self-creation, as the logical organization produces itself the physical structure which creates itself. [citation needed] Self-reference also occurs in literature and film when an author refers to his work in the context of the work itself. The surrealist painter René Magritte is famous for his self-referential works.
Examples[edit] In language[edit] A word that describes itself is called an autological word (or autonym). A sentence which inventories its own letters and punctuation marks is called an autogram. There is a special case of meta-sentence in which the content of the sentence in the metalanguage and the content of the sentence in the object language are the same. In mathematics[edit] In literature, film, and popular culture[edit] Literature Notes. 42-43/1999-Bibliographie. Hommage à Niklas Luhmann. Deus tenebra est in anima post omnem lucem relicta.
Le Livre des XXIV Philosophes, sentence XXI [1] . Quiconque inscrit son activité au sein d’une discipline scientifique ne peut ne pas être frappé d’une certaine naïveté du savoir : derrière les discours les plus méthodiquement construits ne cessent de se profiler des archétypes eschatologiques. Le scientifique prétend plus ou moins secrètement œuvrer dans le contexte d’un acheminement de l’humanité. Cela est également vrai des sciences humaines, comme la science politique, la sociologie ou le droit. L’exemple du juriste restera le plus frappant : qui davantage que celui-ci veut avoir pour vocation une forme de Salut de l’humanité ? L’œuvre de Niklas Luhmann peut être envisagée sous des angles divers : pensée du droit, de la communication, de l’histoire des sociétés, etc. Sujet (le scientifique) la transcendant dans sa situation d’observateur.
I. II. Cette perspective est-elle révolutionnaire ? À propos de Niklas Luhmann, Systèmes sociaux. Esquisse d'une théorie générale. La méthode au fondement de la sociologie, ou plus précisément de la théorie sociale, de Niklas Luhmann, consiste à rendre les éléments observés méconnaissables ; un processus de construction et de reconstruction désintègre l’image de départ.
Dans Systèmes sociaux, ce n’est rien moins que la société dans son entier qui est assujettie à ce procédé. Publié en 1984, une vingtaine d’années après l’entrée – fort tardive sur le plan biographique – de Luhmann en sociologie, cet ouvrage est probablement, avec Die Gesellschaft der Gesellschaft (1997), le plus ambitieux.
Il illustre, tout autant que la quarantaine d’autres ouvrages dont Luhmann est l’auteur, un projet théorique qui peut se résumer par la volonté de faire perdre son évidence au monde tel qu’il est. Comme eux, il s’efforce de révéler le hasard, la contingence et la place du désordre dans les mécanismes sociaux. Toutefois, dans cet écrit plus que dans le reste de l’œuvre, se perçoit la jouissance que tire Luhmann de l’abstraction.