Consignes. Activites maltraitance 1. Maltraitance des personnes âgées : les différents types. La maltraitance des personnes âgées, à domicile ou en maisons de retraite, est un fléau qui touche 600 000 individus en France, soit 5 % des plus de 65 ans et 15 % des plus de 75 ans.
Il est important d’en connaître les facteurs de risque et les signes sur la santé. Maltraitance dans une maison de retraite d'Arcueil. Châtillon : la nounou jugée pour la mort d’un bébé - Le Parisien. « Non. » D'un ton ferme et sans hésiter, Naoual l'annonce clairement devant la cour d'assises des Hauts-de-Seine.
Elle nie avoir maltraité le bébé dont elle avait la garde et n'est donc pas responsable de sa mort. L'enfant, âgé de 3 mois et demi, a succombé au syndrome du bébé secoué en octobre 2014 à Châtillon. Depuis mardi et jusqu'à jeudi, Naoual, nourrice sans agrément, est donc jugée pour violences volontaires ayant entraîné la mort, et risque vingt ans de réclusion. Charpentée, de longs cheveux noirs noués en queue-de-cheval, cette femme de 35 ans aux traits épais se tient bien droite sur la chaise de l'accusé. C'est l'interprète qui se penche vers elle pour traduire les débats en direct. Mais les premières années, lorsqu'elle a rejoint son mari, épousé après un mariage arrangé au Maroc, elle n'avait pas le droit de sortir de chez elle, a-t-elle raconté à l'enquêtrice de personnalité qui témoignait ce mardi devant la cour.
Procès Marina : les personnalités des parents passées au crible. "Avec Marina, c'était spécial".
Eric Sabatier, le père de la fillette, l'avait confié à la psychiatre qui l'a examiné deux fois et est intervenue, jeudi 21 juin au matin, au huitième jour du procès des parents de la fillette décédée en 2009, à l'âge de 8 ans, sous leurs coups. La veille, une experte en anatomopathologie a révélé que l'enfant avait succombé à un coup à la tête et plusieurs asphyxies. Depuis le 11 juin, Eric Sabatier et Virginie Darras, 40 et 33 ans, sont jugés par la cour d'assises du Mans pour tortures et actes de barbarie ayant entraîné la mort de leur fille.
La cour s'intéressait particulièrement, jeudi matin, à la personnalité du père, et parole a été donnée à plusieurs psychiatres et psychologues. Il se définit lui-même "comme un lâche, soumis à son épouse", selon le psychologue Jean Plessis. Le père "se décrit comme victime de façon permanente" Nîmes : deux personnes âgées frappées et une aide-soignante poursuivie.
Suite à une enquête des policiers de la Sûreté départementale, une aide-soignante a été entendue.
Celle-ci nie les faits et devra s'expliquer en mars prochain devant le tribunal correctionnel de Nîmes (Gard). Maltraitance d'une personne âgée : que faire ? Maltraitance : l’obligation de signalement s’impose à tous les établissements. Depuis le 1er janvier, la loi oblige les établissements ainsi que les services sociaux et médico-sociaux à signaler tout événement susceptible de mettre en danger les personnes qu’ils prennent en charge.
Une avancée dans la lutte contre la maltraitance institutionnelle. Promise dans une circulaire de février 2014, puis inscrite dans la loi d’adaptation de la société au vieillissement, l’obligation de signalement faite aux établissement accueillant des personnes âgées, handicapées ou des enfants de l’aide sociale a été précisée par le décret n°2016-1813 du 21 décembre 2016.
Les structures sociales et médico-sociales doivent désormais déclarer « tout dysfonctionnement grave dans leur gestion ou organisation susceptible d’affecter la prise en charge des usagers et tout événement ayant pour effet de menacer ou de compromettre la santé, la sécurité ou le bien-être des personnes prises en charge. » « Sans délai et par tout moyen » Aucune sanction prévue Faire appliquer les lois existantes. Le 3977 - Ministère des Solidarités et de la Santé. Article 222-14 - Code pénal. Les violences habituelles sur un mineur de quinze ans ou sur une personne dont la particulière vulnérabilité, due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficience physique ou psychique ou à un état de grossesse, est apparente ou connue de leur auteur sont punies : 1° De trente ans de réclusion criminelle lorsqu'elles ont entraîné la mort de la victime ; 2° De vingt ans de réclusion criminelle lorsqu'elles ont entraîné une mutilation ou une infirmité permanente ; 3° De dix ans d'emprisonnement et de 150 000 euros d'amende lorsqu'elles ont entraîné une incapacité totale de travail pendant plus de huit jours ; 4° De cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende lorsqu'elles n'ont pas entraîné une incapacité totale de travail pendant plus de huit jours.
Les peines prévues par le présent article sont également applicables aux violences habituelles commises par le conjoint ou le concubin de la victime ou par le partenaire lié à celle-ci par un pacte civil de solidarité.