La situation énergétique du Maroc analysée par l’AIE. Les politiques énergétique et climatique du Maroc ont connu « des développements majeurs » au cours des dernières années selon un rapport(1) publié le 7 mai par l’Agence internationale de l’énergie (AIE). État des lieux. Une consommation d’énergie reposant à près de 90% sur les énergies fossiles L’AIE avait consacré un premier « rapport approfondi » au Maroc en 2014 et souligne dans sa nouvelle publication les efforts entrepris depuis lors par ce pays pour stimuler les investissements dans les énergies renouvelables, donner accès à l’électricité à la quasi-intégralité de sa population rurale et mettre fin à la plupart des subventions aux énergies fossiles(2).
Le Maroc, énergie. Energie: L’hydraulique relégué au second plan. L’énergie hydraulique a démarré depuis les années 1960.
Le parc actuel est suffisamment exploité dans la production de l’électricité. Energie: Le Maroc produira le kWh le moins cher au monde! La transition énergétique décortiquée par les élèves ingénieurs de l’EMI. Gaz à Tendrara: Sound Energy suspend ses opérations. Après l'annonce de réserves insuffisantes au puits TE-10, Sound Energy suspend son activité et met en vente une partie de son portefeuille de Tendrara avant de continuer à l’explorer.
Selon une source proche de ce dossier, l'entreprise ne devrait avoir aucun mal à mobiliser des investisseurs grâce notamment aux réserves du puits TE-5. Installée au Maroc depuis 2016, la société anglaise d’exploration énergétique assure qu’elle ne pliera pas bagage malgré deux échecs successifs dont celui du puits TE-9 jugé sec puis du TE-10 au débit gazier insuffisant. Une décision annoncée ce mercredi 22 mai dans un communiqué affirmant que les mauvais résultats du TE-10 ne diminuent en rien son évaluation très optimiste du potentiel gazier du bassin de Tendrara. Ainsi, elle explique son maintien par l’existence de réserves exploitables commercialement au puits TE-5 estimées (fourchette moyenne) à 66 millions de pieds-cubes par jour (1,9 million de mètres-cubes/jour).
Pétrole et Gaz: « Le tour du Maroc viendra », selon Amina Benkhadra. Quel est le réel potentiel de l’exploration gazière et pétrolière au Maroc ?
C’est pour répondre à cette question que la Chambre de commerce britannique a organisé, mardi 13 novembre, une conférence-débat en présence notamment de la DG de l’ONHYM Amina Benkhadra, ainsi que des directeurs de Sound Energy Maroc et de Clarke Energy. Après des années de prospection, le Maroc demeure sous-exploré par les compagnies pétrolières: « le nombre total de puits forés à fin juin 2017 est de 340, dont 43 en offshore. Soit une densité moyenne de 4 forages par 1.000 km², contre 10 par 100 km² à l’échelle mondiale » précise d’emblée Amina Benkhadra, directrice de l’ONHYM. Au total, le Maroc dénombre également 800 sites à fort potentiel, qui mériteraient d’être sondés.
Malgré la modestie des forages, des résultats prometteurs ont été enregistrés. Morocco. Energy and climate policy in Morocco has seen major developments since the first International Energy Agency (IEA) in-depth review (IDR) of the country in 2014 and the IEA Clean Energy Technology Assessment of Morocco in 2016.
Since 2014, the government of Morocco has proceeded with energy reforms based on the priorities outlined in its 2009 National Energy Strategy to enhance energy supply diversification: foster the development of Morocco’s industry and economy in the sectors of renewable energy and energy efficiency; integrate with regional and international markets; make energy efficiency a national priority; and encourage the development of indigenousresources. The government has stepped up its role in international action on climate change, ratifying the Paris Agreement, setting a new national climate policy and hosting the United Nations Conference of Parties (COP22) summit in Marrakesh in 2016.
La situation énergétique du Maroc analysée par l’AIE. Investir au Maroc - Energies Renouvelables. Présentation du secteur Le Maroc est doté de réels atouts, notamment de par sa position stratégique au cœur d’un carrefour énergétique (connexion au réseau électrique espagnol par deux lignes de 400kV/700 MW).
Les perspectives de développement du secteur des énergies renouvelables au Maroc sont très favorables grâce notamment à : Un potentiel éolien estimé à 25 000 MW dont près de 6000 MW sont réalisables d’ici 2030 Un potentiel solaire illustré par 3000 heures d’ensoleillement par an et 5 KWh/m2/jour d’irradiation Un potentiel hydraulique significatif pour les microcentrales hydrauliques : plus de 200 sites exploitables Un potentiel biomasse important Des infrastructures énergétiques de transit très développées Un cadre législatif et institutionnel attractif permettant d’accélérer la réalisation des projets de développement des énergies renouvelables Offre Maroc Objectifs Impact Puissance solaire installée : 2000 MW à l’horizon 2020 (38% de la puissance installée actuelle). Transition énergétique : Le Maroc compte rehausser ses ambitions, annonce El Ouafi. Nezha El Ouafi, la secrétaire d'État chargée du Développement durable Le Maroc compte accélérer davantage la transition énergétique, en révisant à la hausse ses ambitions initialement projetées en matière d’énergies renouvelables, a assuré, dimanche à Abou Dhabi, la Secrétaire d’Etat chargée du Développement durable, Mme Nezha El Ouafi.
Intervenant lors d’une table ronde de haut niveau au tour du thème « Transition énergétique », présidée par la secrétaire exécutive de la convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques, en marge de la réunion préparatoire du Sommet de l’ONU sur le climat, Mme El Ouafi a indiqué que le Maroc s’est doté d’une nouvelle approche consistant en l’adoption d’un programme additionnel visant à adosser à toutes les stations de dessalement d’eau de mer programmées, des unités de production d’énergies renouvelables permettant de leur assurer une autonomie et des économies énergétiques. LNT avec MAP.