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Martial arts

Da cheng chuan. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Da cheng chuan (大成拳) ou Boxe du Grand Accomplissement ou Da cheng quan, est un art martial contemporain fondé dans les années 1940 par le maître Wang Xiang Zhai (王薌齋). Celui-ci aurait étudié le Xing yi quan (形意拳) auprès du légendaire maître Guo Yunshen (郭雲深) avant de se perfectionner auprès de nombreux maîtres de cette école ainsi que de sa forme plus ancienne (le Xin yi quan) lors d'un voyage à travers toute la Chine qui dura plusieurs années. Le Da Cheng Quan met en avant l'entraînement de l'esprit et de l'intention à travers l'exercice du Zhan zhuang ou "se tenir immobile comme un pieu". Les techniques sont peu nombreuses et se travaillent en lenteur lors de l'exercice du Shi li (essayer la force). Le but de l'entraînement au Da cheng quan est de développer la force dite « hun yuan li », une force multidirectionnelle permettant des réactions spontanées lors du combat. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7.

Aïkijutsu. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Aikijutsu (合気術, Aikijutsu?) , aussi écrit "aiki-jutsu", "aiki-jitsu", "aiki-ju-jitsu", "aiki-jujitsu", "aiki-ju-jutsu", "aiki-jujutsu", "aikijutsu" et "aiki-no-jutsu" — Aïki-no-jutsu étant l’ancien terme (dont la première apparition daterait de 1873 selon certains, du milieu du XVIe siècle selon d’autres) est un art (Technique) de l’harmonisation des énergies.

Cet art de combat est basé sur le principe de coordination entre l’attaque et la défense : rassembler (aï) son énergie (ki) puis l’harmoniser (aï) avec les forces (ki) contraires ou opposées, afin d’acquérir la possibilité de contrôler toute situation conflictuelle. Historique[modifier | modifier le code] Issu de la doctrine In-Yo-Ho, qui recherchait l’harmonie entre l’homme le ciel et la terre, le principe de base aïki-ho mettra l’accent sur la non-résistance à l’action ou à la réaction d’un adversaire. Spécification[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code]

Self défense

Aïkibudo. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'aïkibudo (合気武道, aikibudō?) Est un art martial traditionnel d'origine japonaise (budō) essentiellement basé sur des techniques de défense. Il est très proche de l'aïkido qui hérite des mêmes enseignements issus des pratiques martiales des samouraïs. Histoire[modifier | modifier le code] Morihei Ueshiba, fondateur de l'Aïkidō, a fait évoluer sa vision de l'art martial tout au long de sa vie. L’aïkido moderne correspond à la forme la plus récente de son enseignement. Avant d'arriver à cette forme épurée, la forme de sa pratique et le nom de son école ont connu des changements. Certains de ses élèves créeront à leur tour leur propre style; l'un d'eux, Minoru Mochizuki viendra en France promouvoir l'aïkido d'alors.

L'un d'eux, Alain Floquet, initié à l'aiki jūjutsu, et pratiquant lui-même d'autres arts martiaux, décide de l'enseigner en France. . — Pensée en mouvement, Alain Floquet, édition Budo Description[modifier | modifier le code] Niveau. Aïkido. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'aïkido (合気道, aikidō?) Est un art martial japonais (budo), fondé par Morihei Ueshiba O sensei entre 1925 et 1969[réf. nécessaire]. L'aïkido a été officiellement reconnu par le gouvernement japonais en 1940 sous le nom d’aikibudō[1] et sous le nom Aikido en 1942 donné par la Dai Nippon Butoku Kai organisme officiel. Il a été créé à partir de l'expérience que son fondateur avait de l'enseignement des koryu (écoles d'arts martiaux anciennes), essentiellement le ju-jitsu de l'école daitō ryū, le kenjutsu[2] (art du sabre japonais) et l'aikijutsu. L'aïkido est né de la rencontre entre ces techniques de combat et une réflexion métaphysique de Morihei Ueshiba sur le sens de la pratique martiale à l'ère moderne.

L'aïkido se compose de techniques avec armes et à mains nues utilisant la force de l'adversaire, ou plutôt son agressivité et sa volonté de nuire. De plus l'Aïkido est aussi intimement lié à la religion Shinto. Aïkidoka (合気道家, aikidōka?) Kajukenbo. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le kajukenbo est un style de kenpo orienté vers la self défense. Sa création est due à une réflexion commune ayant pour origine l’insécurité et la violence qui régnaient sur l’archipel d’Hawaï à la fin des années 1940. Issu de l’étude et de la comparaison de différents arts martiaux, il a été créé par un collège de cinq experts en arts martiaux dont Adriano Emperado. Les cinq styles ayant servi de base à la création du kajukenbo ont aussi servi à former son nom (kajukenbo = ka : karate + ju : judo et jujutsu + ken : kenpo + bo : boxe).

Histoire[modifier | modifier le code] Vagues d’immigration, violence et mixité des styles[modifier | modifier le code] À l’origine, l’économie de l’île d’Hawaï dépendait de la culture de la canne à sucre. Ce sont les Chinois qui arrivèrent en premier lieu sur l’île. À partir de 1920, on organisa des « compétitions » entre arts martiaux différents, un boxeur contre un judoka, par exemple. Capoeira. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La capoeira est un art martial afro-brésilien qui puiserait ses racines dans les méthodes de combat et les danses des peuples africains du temps de l'esclavage au Brésil.

Elle se distingue des autres arts martiaux par son côté ludique et souvent acrobatique. Les pieds sont très largement mis à contribution durant le combat bien que d'autres parties du corps puissent être employées telles que, principalement, les mains, la tête, les genoux et les coudes. Les « joueurs » peuvent prendre position en appui ou en équilibre sur les mains pour effectuer des coups de pieds ou des acrobaties. Des formes très analogues à la capoeira, aussi bien dans les gestes que dans les rythmes, sont connues et pratiquées dans la plupart des pays concernés par la colonisation et la traite négrière. Étymologie[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] Genèse de la capoeira[modifier | modifier le code] Roda[modifier | modifier le code]

Récents

Gracie jiu-jitsu. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Histoire[modifier | modifier le code] Sensei Mitsuyo Maeda (1904) Maître Hélio Gracie (2004) Mitsuyo Maéda, né au Japon en 1879, pratiqua d'abord le sumo, avant d'entrer au Kodokan (école de judo de Jigoro Kano créée en 1882) en 1897. Helio Gracie était un autre frère de Carlos, mais le médecin lui avait déconseillé de pratiquer, en raison de sa santé fragile et il se contentait donc de regarder et d'écouter l'enseignement de son frère. Aujourd'hui, des Académies de jiu-jitsu brésilien se sont créées un peu partout, chaque membre de la famille Gracie dirigeant sa propre académie (ou presque), même si le nombre de pratiquants reste restreint en Europe. Technique[modifier | modifier le code] Contrairement à la majorité des arts martiaux, qui privilégient le combat debout, pieds et poings, le jiu-jitsu brésilien se focalise sur le combat au sol, domaine extrêmement technique et où le gabarit joue moins.

Ceintures[modifier | modifier le code]

Orientaux

Japonais. Shorinji Kempo. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le shōrinji kempō (少林寺拳法, shōrinji kempō?) Est un art martial japonais. Le mythe des origines du shōrinji kempo[modifier | modifier le code] Il y a environ mille cinq cents ans, un prince vivant en Inde du Sud et se prénommant Bodhidharma (Daruma en japonais), fut un maître du Kalaripayat, l'un des arts martiaux les plus anciens. Fils du roi Sughanda de Madra de la caste guerrière des Ksatriyas, il était le 28e successeur du Bouddha historique Shâkyamuni selon la lignée de Mâhâkâshyapa. À la tête du monastère, il constata que les moines éprouvaient certaines difficultés tant physiques que morales, et décida donc de créer une série d'exercices en vue de fortifier le corps et l'esprit de ses disciples (Ken Zen Ichi Nyo).

Quoi qu'il en soit, de nombreuses disciplines aussi bien chinoises que japonaises ou autres reconnaissent leurs origines en la méthode de Daruma. Le fondateur : Kaïso So Doshin[modifier | modifier le code] Principes. Shintaido. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. stage de shintaido Le shintaido (en japonais : 新体道, qui peut être traduit comme la « nouvelle voie du corps ») est un ensemble unique de mouvements permettant d’utiliser le corps comme moyen d’expression et de communication. Mêlant à la fois pratique physique et artistique, il a été créé au Japon dans les années 1960. Il puise ses racines dans les arts martiaux japonais, la médecine chinoise et les techniques bouddhistes de méditation. Ses créateurs ont également été influencés par l'art contemporain et une forme très épurée de christianisme protestant. Le shintaido ne peut être rangé dans aucune catégorie connue.

Le shintaido se pratique à mains nues mais il existe également un cursus de pratique avec bâton, le shintaido bojutsu qui donne lieu à des cours spécifiques. il existe aussi une pratique avec sabre en bois, le "shintaîdo kenjutsu" Historique[modifier | modifier le code] Le shintaido a été créé dans les années 1960 par Hiroyuki Aoki.

Karaté. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme karate-dō écrit en kanjis. Étymologie[modifier | modifier le code] En japonais, le kanji kara (空, kara?) Signifie le vide, plus précisément la vacuité au sens bouddhique du terme, « te » est la main et, par extension, la technique avec laquelle on la réalise. dō (道, dō?) Signifiant « voie », karate-dō peut être traduit par « la voie de la main vide » et/ou « la voie de la main et du vide », compris dans le sens « la voie de la vacuité (au sens bouddhique/Zen), réalisée par la main (les techniques) » et/ou dans le sens « la voie des techniques sans armes (dans la main) ». À l'origine, karaté était écrit avec les kanjis 唐手 (tō-de : main Tang ou la main de Chine).

Présentation générale[modifier | modifier le code] Le karaté est une discipline martiale dont les techniques visent à attaquer (atemi (当て身, atemi?)) Les origines de l'art[modifier | modifier le code] L’enseignement de ces techniques a été et est toujours secret. Kyokushinkai. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le kyokushin (極真) ou kyokushinkai (極真会) est un style de karaté, fondé par Maître Masutatsu Oyama (大山倍達), de son véritable nom Choi Yeoung-eui.

Le premier dojo kyokushinkai est créé dans un quartier de Tokyo en 1953. C'est Shihan Bobby Lowe qui exporte pour la première fois le kyokushinkai en dehors du Japon, avec l'ouverture d'un dojo à Hawaii. 1964 voit l'ouverture du premier honbu dojo, et c'est en fait seulement à cette date que Maître Oyama donne à son style le nom de kyokushinkai. Kyokushinkai signifie en japonais « école de la vérité ultime ». Développé par Masutatsu Oyama, à partir des techniques du karaté japonais, le kyokushin est un karaté de full-contact, qui met l'accent sur l'efficacité en combat réel. Dans cette école, les étudiants aussi bien que l'enseignant prennent part aux combats. Les combats (kumite) seniors se déroule aux K.O. sans protections et des épreuves de « casse » départagent les match-nuls. Ju-jitsu. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le ju-jitsu, ou jūjutsu ou encore jiu-jitsu (柔術, jūjutsu?

, littéralement : « Art de la souplesse » ), regroupe des techniques de combat qui furent développées durant l'ère féodale du Japon par les samouraïs pour se défendre lorsqu'ils étaient désarmés. Ces techniques sont parfois classées en trois catégories principales : atemi waza (technique de frappe), nage waza (technique de projection) et katame waza (technique de contrôle) afin de maîtriser un adversaire. Dans le terme « Jū-jutsu », « Jū » (柔) signifie « souplesse » et « jutsu » (術) signifie art. Il existe diverses transcriptions phonétiques approximatives ce qui explique les différentes orthographes[1].

Le terme générique « ju-jitsu » cache une réalité historique bien plus complexe : en effet, il n'a jamais existé une discipline unique et strictement définie correspondant à ce terme, réalité qui correspond au caractère vague de cette désignation « art de la souplesse ». Jū (柔, Jū?) Judo. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le judo (柔道, jūdō? , littéralement voie de la souplesse ou principe de l'adaptation) est un art martial, un sport de combat et un principe de vie d'origine japonaise (budō), fondé par Jigoro Kano en 1882. Il se compose pour l'essentiel de techniques de projection, de contrôles au sol, d'étranglements et de clefs. Le lieu où l'on pratique le judo s'appelle le dojo (道場, dōjō? , littéralement lieu d'étude de la voie). Les pratiquants (les judokas[1]) portent une tenue en coton renforcée appelée judogi (souvent appelée à tort kimono).

Le judogi est généralement blanc, mais pour faciliter la distinction entre les combattants dans les compétitions, un judoka peut avoir un judogi bleu à tous les niveaux de compétitions. Description[modifier | modifier le code] Le terme judo est composé de 2 kanjis signifiant : souplesse, adaptation (柔, jū?) Judo peut donc se traduire par la voie de souplesse ou principe de l'adaptation. Aucun coup n'est porté. Nippon kenpō. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le nippon kenpō ou nihon kenpō (日本拳法) est un art martial japonais. Kenpō est un mot japonais qui signifie « méthode du poing » (拳 ken = poing, 法 pō = méthode).Il existe plusieurs façons de l’écrire (nippon kenpo, Nihon kempo, nippon kempō etc…). Nippon kenpō signifie donc « méthode du poing du Japon ». Origine[modifier | modifier le code] Le professeur Sawayama Masaru Muneumi fonda le nippon kempō en 1932. Il élabora sa méthode et pris modèle sur les protections du kendo ainsi que sur leurs exercices d’entraînements.

C'est donc à partir de 1934 qu’il dirige des exercices de combat avec protection, il inclut également des techniques de coup, des projections et des clefs, compte tenu de sa formation en judo et karaté. De nos jours les trois principales grandes villes dans lesquelles le nippon kenpō progresse au Japon sont Ōsaka, Tōkyō et Nagoya. Le bogu[modifier | modifier le code] Histoire du nippon kenpō en France[modifier | modifier le code]

Sumo. Taijitsu. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Taijitsu ou Taï-Jitsu (japonais : 体術, Taijitsu ou Taï-Jitsu?) Est un art martial transmis par Jim Alcheik du Japon vers la France à partir des enseignements du Yoseikan Ryu. Il est souvent dit, de manière caricaturale et peu documentée, qu'il constitue une synthèse moderne du Judo, du Karaté, de l'Aïkido et du Shōrinji Kenpō réalisée en France par le maître Roland Hernaez (9e dan F.F.K.D.A., BEES2 : Judo-Karaté-Aïkido) et ses collaborateurs. Parmi les enseignants qui ont fait partie du premier groupe de recherche et de création en France dans le cadre du Taijitsu, on peut citer : Robert Duboust, Daniel Dubois (cofondateur), Georges Hernaez, Jean-Marie Werner, Philippe Andrieu et Claude Doudou.

Le terme Taijitsu est souvent accompagnée du mot Nihon pour signifier les origines japonaises du Taijitsu : Nihon Taijitsu. Le terme Taijutsu[modifier | modifier le code] Tai (体, Tai?) Tai (体, Tai?) Styles[modifier | modifier le code] Taihojutsu. Yoseikan Budo.

Coréen

Hapkido. Taekwondo. Birman. Boxe birmane. Bando (art martial) Naban. Boxe birmane. Thailandais. Muay thaï. Chinois. Kenpō kai. Kenpō. Kung-fu (terme) Wing Chun. Indonésien. Pencak-Silat. Vietnamien. Viet vo dao. Viet vu dao. Võ-Viêtnam. Occidentaux. Combat libre. Grappling. American kenpo. Full-contact. Europe. Taijitsu Do. Gouren. Savate (sport de combat) Kinomichi. Boxe anglaise. Goshindo. Nihon taijitsu. Jeet kune do. Kick boxing. Krav-maga. Lutte. Lutte contact.

Russe

Sambo. Systema. Africain. Lutte sénégalaise.