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Le rêve Américain

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Les finances

Plan C. AGENDA :- 20/2/2011, Six-Fours, avec Culture Libre : "le tirage au sort comme bombe politiquement durable contre l'oligarchie". Vidéo.- 26/2/2011, Paris, Repaire de Là-bas si j'y suis (20e), "Centralité du tirage au sort dans une vraie démocratie". Enregistrement mp3.- 9/4/2011, Paris, Repaire de Là-bas si j'y suis (20e), "L'enjeu de la souveraineté monétaire". - 24/4/2011, Marseille : "1. L'enjeu de la création monétaire" (1 h), puis "2. le tirage au sort comme bombe politiquement durable contre l'oligarchie" (1 h 30). Vidéo.- 29/4/2011, Nice. Vidéo.- 16/9/2011, entretien avec Jean Robin (Paris). Sous-titré français- partie 1/2‬‏ Sous-titré français- partie 2/2‬‏

Hollywood et le conditionnement mental. Programmation intuitive - Hollywood et le conditionnement mental À Hollywood, il existe officieusement une pratique appelée « Programmation intuitive ». Cette théorie fait valoir que les médias peuvent psychologiquement conditionner le public à accepter certaines révolutions scientifiques ou changements de civilisation voulus par nos dirigeants. L'objectif est de préparer les esprits et de réduire les résistances. Par exemple, de nombreux films populaires scénarisent des théories de la conspiration : des complots seraient ainsi à l'origine de grands événements comme l'assassinat du président Kennedy, la rencontre avec des extraterrestres ou encore le 9/11. C'est ainsi que dans le "JFK", magnifiquement mis en scène par Olivier Stone, présente une thèse conspirationniste : selon la "Predictive Programming", le but est de rendre le public méfiant et vigilant contre les administrations.

Science-Fiction et Paranormal en séries Programmation intuitive et les grands studios américains. Le 20h, issu d’une société où la mémoire a été détruite. Fixé à 20h, le journal télévisé est devenu, comme la messe à son époque, le rendez-vous où se retrouve (chacun chez soi) toute la société. C’est un lieu de socialisation essentiel, paradoxalement. Chacun découvre chaque soir le monde dans lequel il vit, et peut dès lors en faire le récit autour de lui, en discuter les thèmes du moment avec l’assurance de leur importance, puisqu’ils ont été montré au « jt ». Tout est mis en place comme dans un rituel religieux : l’horaire fixe, la durée (une quarantaine de minutes), le présentateur-prêtre inamovible, ou presque, qui entre ainsi d’autant mieux dans le quotidien de chacun, le ton emprunté, sérieux, distant, presque objectif, mais jamais véritablement neutre, les images choisies, la hiérarchie de l’information.

Comme dans tout rituel, le même revient en permanence, et s’agrège autour d’un semblant d’évolution quotidienne. Le présentateur y tient rôle de passeur et d’authentifiant. Crédibilité et information Le reportage Les mots d’ordre. Risque imminent d’effondrement total du secteur bancaire. Gouvernements sous la coupe des banquesL’urgence du contre-choc Il y avait quelques raisons de ne pas être entièrement convaincu de la thèse de Naomi Klein sur la « stratégie du choc » (1). Elle est sans doute très pertinente dans bon nombre de cas, notamment pour les pays du Sud ou les économies en transition. Mais elle n’a pas non plus la généralité qu’elle revendique implicitement, et il est assez évident que l’installation du néolibéralisme dans les économies dites « développées » ne répond pas au modèle du « choc » — plutôt à la mise en œuvre progressive et « à froid » d’un programme qui s’est systématisé et approfondi à mesure qu’il se déployait.

Il faut cependant reconnaître que, pour la première fois, son analyse pourrait se trouver spectaculairement vérifiée au cœur même du capitalisme « développé ». Avec l’implacable déterminisme d’un mécanisme horloger, la crise de la finance privée a muté en crise des finances publiques. La chose était fatale pour deux raisons au moins. Nous aurons un gouvernement mondial, que nous le voulions ou non. « Nous sommes à la veille d’une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin est la bonne crise majeure, et les nations vont accepter le Nouvel Ordre Mondial ».

(David Rockefeller). Plus de quarante ans avant cette déclaration, James Paul Warburg (1896-1969), officier de l’OSS et membre du CFR, affirmait le 7 février 1950, devant le Sénat des Etats-Unis : « Nous aurons un gouvernement mondial, que nous le voulions ou non. La seule question est à savoir si le Gouvernement Mondial sera instauré par l’adhésion, ou par la conquête. » Aujourd’hui, nous avons les Bush, les Jacques Attali et Nicolas Sarkozy qui reprennent les mêmes termes, le même PLAN.

Les familles oligarchiques qui orchestrent cette crise « majeure » si nécessaire pour introduire le Nouvel Ordre Mondial et son inéluctable REFORME MONETAIRE pour plumer la classe moyenne et appauvrir encore plus les gens modestes, répètent ce que leurs ancêtres ont fait avec le krach de 1929. Que veulent-ils aujourd’hui ?