IBM confronté au défi de la croissance, Décryptage. Pourquoi Microsoft fait sa révolution. “Microsoft fait sa révolution” affirment ce matin en Une “Les Echos”.
Depuis quelque temps, la révolution c’était plutôt chez Apple, Facebook ou Google. En quoi le groupe fondé par Bill Gates est il à nouveau révolutionnaire ? La révolution qui a retenu notre attention est avant tout commerciale. A partir d’aujourd’hui, Microsoft bascule dans un nouveau “business model”. Historiquement, le géant du logiciel remplissait ses caisses en vendant des logiciels aux fabricants de PC ou aux utilisateurs.
Pourquoi Microsoft propose-t-il ce nouveau mode de commercialisation ? C’est un mouvement à la fois offensif et défensif. Et ça c’est une vraie menace pour un poids lourd comme Microsoft ? C’est potentiellement catastrophique. Microsoft était donc contraint de faire cette révolution. Le système par abonnement s’il marche peut être rentable car on payera 99 euros tous les ans, contre 139 euros en une seule fois pour un programme que l’on peut garder 5-6 ans. Dell prépare des acquisitions logicielles dans l'administration de systèmes et les services cloud. Ancien CIO de CA Technologies, John Swainson prend la tête de la division logiciels de Dell Selon les analystes, la nouvelle division logicielle annoncée par Dell jeudi dernier laisse présager une série d'acquisitions de la part du Texan, et certains observateurs prédisent même que la firme va se focaliser sur l'administration de systèmes et la fourniture de services dans le cloud.
La nouvelle division logicielle de Dell sera dirigée par John Swainson, ancien PDG de CA Technologies entre 2005 et 2009. Il est connu pour avoir été l'artisan de la résurgence de l'éditeur pendant son mandat. Sous sa tutelle, l'entreprise a connu une croissance rapide et forte grâce à un rythme soutenu d'acquisitions, dont un certain nombre avait précédé l'arrivée de John Swainson.
Dell va être racheté par son PDG et le fonds Silver Lake et bientôt retiré de la Bourse. DELL - C'est désormais officiel.
Le groupe informatique américain Dell, troisième fabricant mondial de PC, a annoncé mardi 5 février qu'il allait être racheté par son PDG-fondateur Michael Dell et le fonds Silver Lake, puis retiré de la cote, dans une transaction qui le valorise à environ 24,4 milliards de dollars. Le groupe informatique Microsoft participera au financement de l'opération en octroyant un prêt de 2 milliards de dollars. "Les acheteurs vont acquérir en numéraire toutes les actions de Dell qui ne sont pas détenues par Michael Dell (actionnaire à 14%, ndlr) et certains autres membres de la direction", précise le groupe dans son communiqué.
LIRE AUSSI : Dell, HP... les dinosaures du PC en voie d'extinction Les actionnaires se verront offrir 13,65 dollars par titre, soit une prime de 25% par rapport à leur cours du 11 janvier, juste avant les premières rumeurs sur un retrait de la cote. L'opération devrait être bouclée d'ici fin août. Loading Slideshow. Secrecy: The Real Reason Taking Dell Private Makes Sense. There's been a lot of talk about why the proposed Dell buyback doesn't add up.
Some of it dates back more than two years, and the arguments all center on one thing – money. The problem, as critics see it, is that going private robs Dell of critical cash at the time it most needs to spend that cash to acquire companies that diversify its lineup. It's a valid point, but that doesn't mean it's the only way to look at the situation. Even with a cash crunch, pulling Dell off the public market might be exactly what the company needs to avoid prying eyes that could toast its chances for future success.
The IBM Ideal When IBM sold its PC business to Lenovo in 2004, everybody won. Nearly everyone predicts that Dell wants to do the same with its buyback, but today's market is fundamentally different. Dell is smaller and more dependent on PCs than is HP, but the two companies line up well enough to illustrate how a reinvention of Dell might work. HP fusionne PC et imprimantes pour "s'en sortir" Hewlett-Packard a annoncé mercredi la fusion de deux de ses grandes branches d'activités, celle des ordinateurs et celle des imprimantes, par mesure d'économie.
Le groupe californien a précisé que le patron des ordinateurs Todd Bradley aurait la responsabilité de l'ensemble de cette branche. Celui qui était jusqu'à présent le patron des imprimantes Vyomesh Joshi quitte l'entreprise au terme d'une carrière de 31 ans. L'impact à attendre en termes d'emplois n'a pas été chiffré, mais le groupe a indiqué que "combiner ces deux branches rationalisera la stratégie commerciale de HP, le marketing, la chaîne logistique et l'assistance à la clientèle dans le monde".
"Cette combinaison va rassembler deux activités où HP a une position dominante au niveau mondiale", a souligné la directrice générale Meg Whitman, citée dans un communiqué. La stratégie de fusion remise en cause par les analystes Certains analystes étaient cependant dubitatifs. Enfin M. HP a "de vraies difficultés financières"