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Digital Natives

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Young or Old, the Whole World Now Seems to Love Online Video as Much as TV. Globally, people are spending as much time watching online video as they spend watching TV, according to a new report from Millward Brown. That should bode well for brands trying to target cord-cutters or "cord-nevers," but digital promos annoy many viewers. For Millward Brown's study, "AdReaction: Video Creative in a Digital World," the research firm polled more than 13,500 multiscreen viewers—i.e., people who own a TV and either a smartphone or tablet—in 42 countries on what they think about video advertising.

The average consumer between the ages of 16 and 45 watches 204 minutes of video a day, split equally between TV and online. Forty-five minutes of the average online viewing time is done on a smartphone, while desktop accounts for 37 minutes and tablet for 20 minutes. While it's been known for months that millennials and Gen Z consumers were watching as much digital video as television, Millward Brown's study shows that Gen Xers are behaving the same way. Dire que les «jeunes lisent moins qu'avant» n'a plus aucun sens à l'heure d'internet. Temps de lecture: 7 min Dans le grand auditorium de la Bibliothèque François Mitterrand à Paris, une lycéenne prend la parole au milieu de plusieurs centaines de jeunes de son âge. Après avoir surmonté son trac, son rire nerveux, et les gentilles moqueries de ses camarades, elle arrive enfin à articuler la question qu’elle destine aux vedettes du jour: Nathalie Azoulai, Nicolas Fargues, Thomas Reverdy, Alain Mabanckou et Christine Angot.

Ces auteurs, et neuf autres, sont en lice pour le Goncourt des lycéens, organisé depuis 1988 par le gouvernement et la FNAC –et dont Slate.fr est partenaire. Sans forcément chercher à convaincre leur jeune public de voter pour eux, les vedettes du monde littéraire sont surtout venues pour expliquer leur œuvre et rappeler l’importance de la lecture. Les lycéens posent leurs questions aux auteurs nominés pour le prix Goncourt des lycéens, dans le grand auditorium de la BNF, le jeudi 8 octobre. Des chiffres qui masquent évidemment une autre réalité. YouTube’s Biggest Threat To The Music Industry May Not Be What You Think. While YouTube has undeniably had an extensive impact on the music industry, it could be bringing about an even greater cultural shift than previously guessed. As teens and pre-teens increasingly gravitate towards YouTube stars for their entertainment, they are also moving away from music. Guest Post by Mark Mulligan on his Music Industry Blog YouTube’s disruptive commercial impact on the music industry is well documented but the real threat to music is far more fundamental and can’t be ‘fixed,’ not even by the world’s best lawyers.

This is because the most important impact YouTube is having on music is not commercial, it is cultural. In Search Of A New Subculture At the Future Music Forum, Frukt’s Jack Horner observed that most music genres, and indeed media as a whole, are becoming age agnostic, which means that it is really hard for Generation Edge to find music that they can own, that their mum and dad aren’t going to sing along to too. The Essence of Stardom and Fandom. L'application de lecture pour la génération Snapchat et AppleWatch. Femme d’affaires indienne, Prerna Gupta a lancé une application, Hooked, qui réunit des histoires de 1000 mots. Des récits très brefs, pour la jeune génération. Selon la fondatrice, 80 % des romans Young Adult sont lus en numérique : pour répondre à cette demande estimée, elle propose sa contribution.

Littérairement, on peut avoir quelques doutes... Le modèle économique est simple : de 2,99 $ par semaine à 40 $ pour l’année, ou 7,99 $ par mois, pour un accès illimité aux histoires – et l’assurance d’avoir de quoi lire tous les jours. Pour l’heure, elle ne dévoile pas le montant des rémunérations accordées aux auteurs, mais jure que tout cela est très compétitif.

. « Umm... why do u have Claires phone ? « Well if u must know i sat down on this park bench to read » « And sat right on someone's phone. . « What r u reading ? Les histoires sont ainsi composées de dialogues, principalement, et peuvent se lire en cinq minutes, avec une sérialisation qui permet de suivre une aventure. Ces gens rivés à leur smartphone, qui engloutissent des livres. Michel Serres pouvait bien s’émouvoir de ce que « petite poucette » avait bouleversé le monde, de ses petits doigts sur son écran tactile. Par l’envoi de messages, d’un simple coup de pouce – et sans aide –, cette nouvelle génération vit avec cette extension. Une mutation, estimait le philosophe dans le livre éponyme, qui appelle à l’indulgence. Pourtant, ce téléphone honni ou béni incarne une solution de lecture toujours évoquée, mais rarement constatée... jusqu'à présent ?

United Soybean Board, CC BY 2.0 C’est un vaste article du Wall Street Journal qui le proclame : la lecture sur téléphone portable émerge des ténèbres. Selon le cabinet Nielsen, les lecteurs seraient 41 % au premier trimestre 2015 à lire sur leur tablette des livres numériques, contre 30 % en 2012. Entre le premier trimestre 2015 et celui de 2012, on assiste à une croissance de 5 % : ils sont désormais 14 % à déclarer ne plus lire que sur leur mobile. Les neurones en ébullition. Survey: Millennials turning in smartphones early - Mobile Marketing - BizReport. Android and iOS owners are nearly equally as likely to switch early - 69% of Android owners and 70% of iPhone owners upgrade early. "Among millennials, 'being first' is a badge of honor, which is driving early upgrade adoption," said Keir McConomy, founder of SellCell.com, which commissioned the study.

"The shelf life of a smartphone is really shortening for that reason, which will drive interest in recycling devices or trading them in. " Some interesting findings from the Research Now survey: • Millennial woman are more likely than men to have owned at least 3 phones over the past 5 years (59% vs 52%) • 84% of Millennials say they track new phone releases through their service provider • 47% say they upgrade early because they want to be first adopters, 16% say they upgrade to get credit/money for the trade • Post-upgrade 40% say they 'store the old phone', with Android owners more likely to keep old devices (44%) vs Apple (35%) Image via Shutterstock inShare. Les tendances technopédagogiques à surveiller, de la maternelle au secondaire.

L’édition 2015 du Horizon Report, publié en juin par le New Media Consortium et le Consortium for School Networking aux États-Unis, identifie les tendances importantes des 5 prochaines années en technologie éducative. Le New Media Consortium, une association regroupant des spécialistes des technologies éducatives, et le Consortium for School Networking ont profité du congrès de l’International Society for Technology in Education de juin dernier pour publier leur rapport annuel attendu. Ce rapport tente d’identifier les tendances pédagogiques et les technologiques éducatives susceptibles de se répandre dans les classes de la maternelle, du primaire et du secondaire d’ici les cinq prochaines années.

Il tente aussi d’identifier les facteurs accélérant l’adoption des technologies éducatives dans les classes et cible les principaux obstacles et défis à leur intégration. Un résumé du rapport est disponible ici (en anglais). --Par Dominic Leblanc, L'École branchée. Une étude montre que les médias sociaux participent aux apprentissages informels. Numérique à l’école : les grandes tendances pour les années à venir. En juin dernier, les professionnels du secteur du numérique éducatif américain ont livré leurs prévisions sur les tendances de ce marché pour les cinq années à venir dans l’édition 2015 de leur Horizon Report, rapporte Carrefour éducation. Selon le New Media Consortium et le Consortium for School Networking, qui sont intervenus à l’occasion du congrès de l’International Society for Technology in Education, tous les indicateurs sont au vert pour la propagation du numérique, de la maternelle au secondaire.

Cependant, des défis de taille restent à relever, notamment pour ce qui est de la formation des enseignants. Pour les professionnels américains du numérique éducatif, durant les cinq prochaines années, l’approche qui consiste à s’appuyer sur les appareils possédés par les élèves eux-mêmes et amenés en cours devrait continuer de gagner en importance. D’autres technologies sont plus particulièrement à surveiller car elles pourraient rapidement gagner en importance. Auteur : Traducteur : Kartable, la startup qui veut "ubériser" les manuels scolaires. Kartable va-t-elle réussir à ringardiser les manuels scolaires ? C'est l'objectif de cette startup créée par deux anciens d'HEC de 29 ans, Julien Cohen-Solal et Sarah Besnaïnou. Partant du constat qu'il "manquait un site complet et gratuit pour aider les collégiens et les lycéens à réviser", les deux entrepreneurs ont lancé il y a deux ans Kartable.fr.

Le site se revendique comme "le premier recueil en ligne de ressources parascolaires conforme aux programmes officiels, couvrant toutes les classes et toutes les matières de la sixième à la Terminale". Déjà utilisé par un élève sur cinq en France Dotée d'un design sobre et moderne, la plateforme reprend et réexplique les programmes scolaires à l'aide de cours, de quizz et d'exercices concoctés par une communauté de 200 professeurs, dont 50 réguliers ou "référents". Son point fort ? Les chiffres lui donnent raison. Plébiscite des élèves, les profs entre enthousiasme modéré et franche hostilité Les professeurs, eux sont plus mitigés.