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LGBTQ

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En France, les «Queer studies» au ban de la fac

Un énième film pas lesbien ou l’invisibilisation des LGBT+ La Danseuse nous raconte l’histoire de Loïe Fuller, une artiste qui a révolutionné la danse en utilisant de très longs draps de soie.

Un énième film pas lesbien ou l’invisibilisation des LGBT+

Ils créaient un effet visuel bluffant qui la rendait quasiment hypnotisante pour le public. La transition, c’est pas un peu… sexiste ? Je vois souvent apparaître ce type de questionnement autour du parcours d’une personne transgenre.

La transition, c’est pas un peu… sexiste ?

On me parle régulièrement du fait que les personnes transgenres en feraient « trop ». Les femmes transgenres se maquilleraient à outrance, se parant de nombreux bijoux et accessoires vestimentaires les menant alors plus loin dans l’expression féminine que les femmes cisgenres. Quant aux hommes transgenres, ils cultiveraient selon cette optique une image de virilité exagérée, de la même façon, tâchant de se muscler plus que de raison, arborant des tatouages, et se laissant forcément pousser la barbe. On pourrait alors se demander si tout cela ne serait pas un peu sexiste, quand même : on n’a pas besoin de porter des talons de 12cm pour être une femme, et le fait d’ainsi « exagérer » son expression lors de sa transition ne serait rien d’autre qu’un renforcement des stéréotypes de genre. Chronique de la lesbophobie ordinaire. Contrecarrer les assignations à l’invisibilité, résister au dénigrement et à la négation de nos identités par les tenant-es zélé-es de la norme dominante hétérosexiste, c’est le sort commun aux Lesbiennes, Gays, Bi-es et Trans.

Chronique de la lesbophobie ordinaire

Quelles que soient nos vies, nous partageons cette expérience : qu’à n’importe quel moment la domination hétéropatriarcale peut se rappeler à nous avec toute sa violence. Il suffit par exemple d’une banale séance de cinéma. La danseuse est le premier film de Stéphanie di Giusto. Il s’attache au personnage de Loïe Fuller, icône de la Belle Epoque, admirée de l’avant-garde pour son audace et son inventivité (réussir le tour de force de tout à la fois révolutionner la danse, breveter ses propres dispositifs scéniques de lumière et de costume, fonder sa compagnie). Cisgenre n’est pas une insulte – Lunatopia. Nous sommes tou·te·s problématiques. À noter : Pour le confort de lecture, je ne cite que quelques types d’oppressions dans le texte, mais le propos s’applique bien entendu à toutes les autres y compris, sans que cela soit exhaustif, au validisme, à la grossophobie, à la psychophobie etc.

Nous sommes tou·te·s problématiques

La follophobie, croisement entre homophobie et... misogynie. Let's Be Clear – My Gender Identity is Harmless. Panel 1 (A person wearing glasses with short hair and a serious expression looks out from a purple circle) Justin: Let’s be clear.

Let's Be Clear – My Gender Identity is Harmless

My gender identity is many things. But most of all? It is… harmless! Panel 2 (The person sits on the floor playing with a baby, surrounded by blocks and toys) L'homosexualité en Afrique : sens et variations d'hirer à nos jours. How Rape Jokes Sound Inside Queer Bodies. My new gal pal took me on a date to a dueling piano bar, which was a great idea.

How Rape Jokes Sound Inside Queer Bodies

I love tacky shit and cover songs and cheap whiskey, and my GP knows this. We were immediately enchanted by the place, Louie Louie’s in Deep Ellum. The two guys on the pianos were playing a country song I didn’t know, and then after some banter they launched into that one Eve 6 song. I was riding high with a whiskey Coke, my favorite denim vest, a gorgeous woman and all the audience participation I could handle. Soon, in a trickle and then a gushing stream, the jokes started – a comment about roofies here, an innuendo about duct tape there.

We kept thinking they’d stop, you know? “And now it hurts when I pee.” And I cracked a smile. “But don’t worry, it was good for me. And I winked and shook my head. “That’s why they make roofies.” Oh. Jokes about raping dykes — to straighten us out, to control our bodies, or just for sport — have been around for as long as straight cis men have been raping us. Vous avez dit « enculé » L’incident est atypique.

Vous avez dit « enculé »

Il m’arrive souvent de reprendre les gens qui emploient le terme d’ "enculé", avec des collègues ou des amis d’amis ; ce qui s’ensuit est généralement une conversation trop longue et souvent pénible pendant laquelle la personne avec qui je parle essaie de prouver qu’elle est dans son droit. Les arguments sont toujours plus ou moins les mêmes.

Il existe une panoplie relativement standard. L’une des premières justifications est de signifier, d’une façon ou d’une autre, que si le terme est fort c’est que la faute est grave : "C’est vraiment un connard". Homophobie_stereotype.pdf.