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Désertification

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Alstom Belfort : un sauvetage pour le moins bizarroïde. Les 400 salariés de l'usine d'Alstom de Belfort peuvent souffler.

Alstom Belfort : un sauvetage pour le moins bizarroïde

Le site est sauvé. Il n'y aura pas de fermeture de site ni de suppressions de postes. La menace d'une rupture de charge de la production est écartée. Annoncée ce mardi par le secrétaire d'Etat à l'industrie Christophe Sirugue aux élus locaux, les commandes de l'Etat permettront de faire la soudure entre la production de TGV classiques et le début de celle du TGV du futur à partir de 2021. Pas de rupture de la chaîne de production En effet, alors que les 6 rames restant encore à livrer garantissaient la production jusqu'à fin 2018-début 2019, les 15 rames supplémentaires commandés par l'Etat et les six autres destinée la ligne Paris-Milan-Turin permettront d'assurer près de 3 ans d'activité.

Alstom investira à Belfort En contrepartie, Alstom investira 40 millions d'euros d'ici à 2020, dont 30 millions d'ici à 2018 dans le développement et la production d'un nouveau modèle de locomotive hybride ou diesel. La vacance commerciale dépasse les 15% dans... Elle court, elle court la vacance commerciale !

La vacance commerciale dépasse les 15% dans...

A la vitesse de 1 point par an depuis 2012, pour atteindre la moyenne de 9,5 % du parc de locaux commerciaux, en 2015 (contre 8,5 % en 2014). Ceci d’après l’étude mensuelle menée par Procos, sur la base de données relevées par Codata, collecteur de données d'immobilier commercial. Mais avant de parler de vacance commerciale, il est toujours utile d’en donner une définition, parfois très controversée. Procos appréhende la vacance commerciale, comme l’état d’un local commercial inexploité pour une durée indéterminée. Contrairement aux foncières qui expriment une "vacance financière" traduite en parts de loyers non perçus.

De plus en plus de centres-villes en situation défavorable Plus que l’évolution de la moyenne, ce sont les écarts à la moyenne qui révèlent l’intensité du phénomène. Contrastes entre villes de moins de 50 000 et de plus de 500 000 habitants Profil de villes résistantes… …Et typologie de cités concernées … et conjoncturelles.

Luttons contre la désertification industrielle. Publications Si les quelques cas de relocalisations industrielles suscitent beaucoup d'espoirs chez l'actuelle majorité, le phénomène de désertification industrielle de pans entiers du territoire n'a pas cessé pour autant, loin de là.

Luttons contre la désertification industrielle

Avec à l'esprit la conviction que ce sont les entreprises et les industries qui font l'emploi, Jean-Marc Buonanno, dirigeant d'entreprise de la région lyonnaise, lance un cri d'alarme sur la situation économique. La France, aujourd’hui, souffre d’un chômage qui atteint les 10% et d’un manque de croissance lié à un déficit de compétitivité de nos entreprises. Il n’y pas une semaine qui passe sans l’annonce d’une fermeture d’usine ou d’un plan de licenciement massif. Le dernier en date concerne 400 postes supprimés chez Alstom Transport le 15 avril dernier. Jean-Marc Buonanno - jmbuonanno@yahoo.fr. Désertification. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Désertification

L'aridification précède souvent la désertification. La désertification est un phénomène naturel ou non qui a pour origine des variations climatiques et/ou les conséquences d'activités humaines. Ce mot décrit une aridification locale, reflétant la dégradation des terres menant à des conditions biotiques de type désertique. La théorie de l'avancée du désert de Lamprey (1975), qui était liée à l'observation de variations de couvert végétal dues à la variabilité climatique, a depuis évolué vers une approche d'un phénomène plus diffus. C'est un processus de dégradation des sols qui peut avoir lieu dans des zones arides, semi-arides et subhumides sèches, à l'exclusion des déserts (zones hyper-arides). Ce phénomène représente une des catastrophes naturelles à long terme. Commerce : la désertification des centres-villes s'accentue.

Avec la crise, les enseignes préfèrent s'installer dans les centres commerciaux plutôt qu'au cœur des cités.

Commerce : la désertification des centres-villes s'accentue

Rideaux de fer baissés, enseignes descendues, le centre-ville de Saumur, une commune de 28.000 habitants du Maine-et-Loire, fait grise mine. En quelques mois, trois magasins y ont fermé leurs portes: le supermarché G20, une librairie indépendante et le cinéma. Même spectacle de désolation dans le cœur d'Alençon, une petite ville normande, où trois commerces ont été liquidés: un dépôt-vente, un magasin de décoration et un autre d'antiquités. Une désertification des centres-villes constatée au niveau national dans une étude de Procos, la fédération du commerce spécialisé.

Selon elle, la vacance commerciale atteint aujourd'hui 7,1 % du parc commercial dans le cœur des villes contre 6,3 % en 2001. Toutes les agglomérations ne sont pas affectées de la même façon. À l'opposé, les propriétaires d'immeubles dans le centre-ville se réfèrent encore beaucoup à l'ICC.