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Claire Lindell

Régime seigneurial au Québec. Par Grenier, Benoît La seigneurie à Beauharnois, 1838 Instauré sur les rives du fleuve Saint-Laurent dès la décennie 1620, le régime seigneurial est le plus souvent considéré en tant qu'outil de peuplement et mode d'organisation du territoire. Dans cette perspective, les seigneurs sont perçus comme des colonisateurs qui entretiennent des rapports plutôt harmonieux avec les censitaires, dans le cadre de «droits et devoirs» réciproques. Cette représentation de la seigneurie en sol québécois en néglige cependant les caractéristiques fondamentales : hiérarchie et inégalité sociale. Elle sous-estime également la diversité du «monde» seigneurial et ses transformations dans le temps.

La construction de la mémoire seigneuriale a été fortement marquée par l'œuvre de Philippe Aubert de Gaspé ainsi que par les historiens qui en ont subi l'influence tout au long du XXe siècle. Elle a aussi été presque imperméable à la relecture proposée par les historiens québécois depuis les années 1960. Notes 1. 2. Défricher pour s'établir : l'arrivée sur une seigneurie. En Nouvelle-France, la colonie est divisée en grandes bandes de terres, longues et étroites, qui font face au fleuve Saint-Laurent ou à un autre cours d'eau. Le territoire est organisé de cette façon parce que les cours d'eau sont nécessaires pour l'agriculture et facilitent les communications. Les terres sont d'abord données à des seigneurs par le gouverneur et l'intendant. Sur la seigneurie, le seigneur se garde un domaine où il fait cultiver la terre et construire un manoir.

Tout près, il conserve un terrain pour l'église de la paroisse. Quelques années plus tard, des marchands, des artisans et un notaire viendront s'établir près de l'église. Un village est né. Le seigneur construit aussi un moulin où les paysans apporteront leur blé pour faire de la farine. Un colon, comme Nicolas Choquette, doit donc demander une terre à un seigneur avant de s'établir. Lorsqu'il a reçu sa terre, Nicolas loge chez un voisin pendant un an ou deux. Centre Regional des Archives de l'Outaouais - L'industrie forestiere et la vie de chantier au debut du siecle dernier. © 1997 Les Métiers de nos Ancêtres, D.Chatry. Le commerce vers 1820. Histoire du Québec 15 - Les Patriotes du Bas-Canada. La Nouvelle-France racontée : 104 histoires de Nouvelle-France a.

Ellis Island - FREE Port of New York Passenger Records Search. ADHÉMAR -- Données sur Montréal, 1642-1805. Cartes postales anciennes. RootsWeb. Genmaps. Ile de France (AD) Décès et cimetières. Avis de décès. French-Canadian Genealogical Research in Houghton County, Michigan. John P. DuLong, Ph.D. Preface This web page originally was published in Michigan's Habitant Heritage, the quarterly journal of the French Canadian Heritage Society of Michigan. It was published as a five part series in 1989-1990. The original citation is as follows: DuLong, John P. "French Canadian Genealogical Research in Houghton County, Michigan.

" Part I: Introduction and Historical Background, 10:4 (October 1989): 98-103. A lot has changed since 1989, consequently, I have updated some of the material. I want to share this series because I believe it will be helpful to people doing researching in Houghton County, whether or not they are French Canadian. Acknowledgements I would like to acknowledge the assistance of several people in helping me with this article. Part I: Introduction and Historical Background Many family historians in Michigan are aware of the French-Canadian settlements along the Detroit River. Houghton is one of three counties comprising the Copper Country. Migration. Access Genealogy: A Free Genealogy Resource. LDS Church (Mormons) Archives. EyeWitness to History - history through the eyes of those who lived it.

Genealogy InTime Magazine. RootsWeb: International Web Sites. RootsWeb. Cyndi's List. Sites About Genealogy. Genealogy, Family Trees & Family History Records at Ancestry.ca.