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Qualification, médiatisation, médiation

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La culture de jeunesse et la transmédiation | Les dits d'Oldwishes. « [La culture de jeunesse est] fondée sur une série de signes qui dépassent largement les frontières propres à chaque médias : les œuvres mettent en valeur leur cohésion culturelle, en empruntant constamment aux thèmes et aux stéréotypes des autres médias[1] ». ———- Au XXIème siècle, il devient difficile d’envisager l’album et par extension la littérature de jeunesse sans les inscrire dans un environnement, des valeurs et des références qui leur sont propres. De ce fait, l’intertextualité est en train de devenir une caractéristique majeure de cette littérature. Mathieu Letourneux va plus loin en évoquant l’idée d’une transmédiation[2]. Bien que non spécifique à la jeunesse, la transmédiation est parfaitement mise en valeur dans ce contexte, aussi bien au niveau de la quantité qu’au niveau de la qualité. Elle s’inscrit, également, dans la culture de masse. Chaque mass-média – cinéma, littérature, jeux-vidéos, etc. – va réinterpréter à l’infini des sujets et des thèmes stéréotypés.

Média. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Media. Le terme média désigne tout moyen de diffusion : ou direct (comme le langage, l'écriture, l'affiche) ;ou par un dispositif technique (comme la radio, la télévision, le cinéma, Internet, la presse,... permettant la communication, soit de façon unilatérale (transmission d'un message), soit de façon multi-latérale par un échange d'informations. Au sein de cet ensemble, l'expression médias de masse (de l'anglais « mass-media ») caractérise un sous-ensemble important : les médias qui ont acquis une diffusion à grande échelle pour répondre rapidement à une demande d'information d'un public vaste, complétée dans de nombreux cas par une demande de distraction.

Dans les pays où les médias se sont largement développés, ces médias sont majoritairement détenus par de grands groupes industriels dont les dirigeants sont proches du pouvoir politique. Étymologie[modifier | modifier le code] par l'émetteur lui-même. La mort médiatisée, la mort instrumentalisée. Un mort, un mort qui fait sens, qui fait titre, un mort dans la manifestation iranienne d’opposition et voilà la presse qui s’emballe le 15 juin au soir, érigeant ce fait comme significatif. Evidemment, le scrutateur attentif de notre histoire verra quel ressort se dessine dans cette annonce. Allusion discrète mais visible au décès de Malik Oussékine en 1986 (à noter le chiffre de sept morts annoncé le 16 juin) Dans une démocratie, il est interdit de mourir dans une manifestation.

Un mort rend suspect une démocratie et donc, l’Iran a été jaugé dans cette affaire comme si cette nation nous était si proche que nous pouvions nous l’approprier et décréter que ce mort symbolise les tares d’un régime que nous détestons. C’est devenu un lieu commun pour le citoyen que de constater, lorsque sa réflexion se mobilise, la différence de traitement appliqué à la mortalité par agent pathogène, selon que le patient décédé soit un Occidental ou bien un Africain. Communication, transmission, un couple orageux. Le schéma linéaire « standard » de la communication, qui privilégie la transmission directe d'information entre un émetteur actif et un récepteur passif, n'a plus cours. La communication comme la transmission sont aujourd'hui conçues comme interactives, pleines d'obstacles et de contraintes médiatiques.

Dans le sens commun, communiquer c'est transmettre de l'information, c'est diffuser des idées ou des contenus culturels. Il s'agit là de la transposition spontanée d'un modèle que la linguistique et les sciences de la communication ont formalisé pour tous les processus de communication : une ligne unit deux pôles, l'émetteur et le récepteur, et une entité diversement nommée (signe, signal, message) y subit divers traitements.

On trouve une telle conception dite « transitive » dès le Cours de linguistique générale (1916) de Ferdinand de Saussure (1857-1913). La communication comme forme active de la culture Le modèle de C. L'examen réel des médiations Yves Jeanneret. Presse ou médias, littérature ou culture médiatique ? Question de concepts. 1 Bourdieu (Pierre), « Secouez un peu vos structures ! », dans Le Symbolique et le Social. La récepti (...) 1Pierre Bourdieu aimait à rappeler, après Marx, que les textes ne voyagent pas avec leur contexte1. Façon de souligner qu’il convient, en toute rigueur, de les lire sous le rapport d’ajustement relatif qu’ils entretiennent avec leur champ d’élaboration, qui est également à bien des égards leur aire d’intelligibilité et de pertinence. Invitation aussi à tenir compte des effets le plus souvent réducteurs, mais quelquefois féconds, exercés sur eux par leur exportation en d’autres champs ou d’autres états historiques d’un champ donné. 3Parler de médias et de culture médiatique pour aborder presse et littérature au xixe siècle – même sous l’angle de l’environnement technique et culturel dans lequel celles-ci se trouvent enveloppées l’une et l’autre – demande également un minimum de prudence. 10 Chateaubriand (François-René de), Mémoires d'outre-tombe, XXXII, 8, éd.

Mediation et mediatisation.pdf. La médiatisation de la question immigrée : état des recherches. Sandy montalona médiatisation.