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Detroit redémarre en mode DIY. Le webdocumentaire "Detroit, je t'aime" raconte le quotidien des habitants d'une grande ville à l'abandon.

Detroit redémarre en mode DIY

Entre créativité, échanges de ressources et de savoirs, potagers urbains, DIY et récupération de matériaux, Detroit vit un renouveau qui préfigure peut-être la société de demain. Detroit n’est pas la ville des rêves, c’est la ville des réalités. – Grace Lee Boggs, 96 ans, activiste et habitante de Detroit Imagination Station (à droite) fait face à la Michigan Central Station (à gauche), géante gare abandonnée, symbole du déclin de Détroit. Imagination Station est également une maison abandonnée, et donnera lieu à un projet de logement d'ici quelques années. Pour l'heure, les "doers" du quartier l'ont bariolé de fresques. Déclarée plusieurs fois en faillite depuis 2011, Detroit est une ville à l’abandon, vidée de sa population, de la plupart de ses commerces et entreprises. Comment est construit votre webdocumentaire ?

Sarah a mené le premier atelier mécano de Fender Bender. Au Mt. Le projet OPEN SOURCE ENERGY : l’énergie ouverte et collaborative. English version : « D’un geste machinal, il jette un coup d’œil au module de contrôle.

Le projet OPEN SOURCE ENERGY : l’énergie ouverte et collaborative

La charge est bonne et les voyants sont au vert, parfait pour passer une bonne nuit en sachant que demain matin, il y aura du courant pour faire chauffer la cafetière, griller les toasts et surtout pour la grande fiesta du soir. Il est vrai que ce vent d’ouest bien établi et la quantité d’eau qui est tombé hier soir ont permis de regonfler la réserve d’énergie. » Nous ne sommes pas dans un roman de science fiction mais face à ce qui pourrait devenir dans un avenir proche le quotidien de monsieur tout le monde.

Notre personnage aurait pu se laisser séduire par une solution clé en main amortissable sur des décennies sans garantie de rentrer un jour dans ses frais ; le tout assorti d’un contrat de maintenance exclusif. L’énergie ouverte qu’est ce que c’est ? L’idée est simple. Elle apparaît comme une alternative Low Tech où l’utilisateur redevient acteur. Global Village Construction Set. Definition[edit] The Global Village Construction Set (GVCS) is a modular, DIY, low-cost, high-performance platform that enables fabrication of the 50 different Industrial Machines that it takes to build a small, sustainable civilization with modern comforts.

Global Village Construction Set

The name, GVCS, has been coined for the first time in 2008 - at a lecture at the University of Missouri, Columbia - see UM Presentation. Media[edit] Key Features[edit] GVCS Machines[edit] See main article GVCS Machine OSE is developing 50 machines of the Global Village Construction Set via module-based design. The exact list of GVCS machines has evolved over time and is still subject to change. Documentation is found at different places for different target groups: See Also[edit]

Location

Crowdfounding. Coworking. Le supermarché communautaire. Inspiré d’un concept venu de Brooklyn à New-York, The People’s Supermarket est un supermarché d’un nouveau genre basé à Londres.

Le supermarché communautaire

Ouvert en juin 2010 aux 72 – 78 Lamb’s Conduit Street, il fonctionne sur le même principe que l’AMAP et regroupe 350 membres qui en sont à la fois les gestionnaires et les propriétaires. L’objectif de cette coopérative est de vendre des produits à des prix équivalent qu’à ceux pratiqués par les enseignes de la grande distribution tout en répondant aux mieux aux attentes des habitants du quartier (bio, éthique, locavorisme…). En échange d’une contribution annuelle de 25 livres, les membres décident ainsi des produits qui y sont commercialisés, des fournisseurs ou encore des horaires du magasin. Une des principales originalités de cette grande surface communautaire réside dans le fait que chaque membre peut bénéficier de 10% de réduction sur tout le magasin en échange de quatre heures de bénévolat mensuel au sein de l’enseigne.

Articles en relation : Mange ta soupe, et entreprends ! Les Américains ont le fundraising dans le sang ; ça tombe bien, les Détroiters ont besoin de financer leurs projets.

Mange ta soupe, et entreprends !

Depuis 2010, « les soupes » (soups dans la langue de l’autochtone) se sont multipliées comme des lapins à Détroit. La recette est simple : rassembler une foule autour d’une soupe préparée par une poignée de bonnes volontés. Chacun paie 5 dollars (4 €) pour un bol de bouillon ou de potage, la somme ainsi récoltée (jusqu’à 700 $) est directement reversée au meilleur projet présenté ce soir-là. En moins de 5 min, les porteurs de projets présélectionnés « pitchent » leur idée pour remporter l’adhésion de l’auditoire. A mi-chemin entre speed-dating pour jeunes entrepreneurs et banquet caritatif, les soupes à Détroit cachent de hauts lieux de socialisation. Si les fans de frisbee sont repartis sans le sou ce soir-là, ils n’en ont pas moins fait passer le mot et reçu promesses de soutien.