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Ressources de référence

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Commentaires des différentes ressources. Ressource 1: Addictions. Dossier réalisé en collaboration avec Bertrand Nalpas, Directeur de recherche à l’Inserm et chargé de mission Addiction – Décembre 2014 Les addictions les plus répandues concernent le tabac (nicotine) et l’alcool.

Ressource 1: Addictions

Viennent ensuite le cannabis et, loin derrière, les opiacés (héroïne, morphine), la cocaïne, les amphétamines et dérivés de synthèse. Il existe également des addictions liées à des activités (et non à des substances), comme les jeux d’argent, les jeux vidéo, le sexe ou encore les achats compulsifs. Des substances plus ou moins addictives souvent testées à l’adolescence Des dépendances peuvent survenir à tout moment de l’existence, mais la période de 15 à 25 ans est la plus propice à leur émergence. Certaines substances semblent avoir un pouvoir addictif supérieur à d’autres compte tenu de la proportion de personnes dépendantes parmi leurs consommateurs. Part des usagers développant une dépendance à la substance qu'ils consomment. Un diagnostic très normé. Ressource 2: Un ado sur huit a un usage problématique des jeux vidéo. L’Observatoire français des drogues et des toxicomanies a étudié le comportement de 2 000 élèves de 12 à 16 ans.

Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Pascale Santi Un élève sur huit aurait un usage « problématique » du jeu vidéo. C’est ce qu’indique une enquête menée auprès de 2 000 élèves de la 4e à la 1e inscrits dans 15 établissements d’Ile-de-France, rendue publique mercredi 17 décembre et réalisée par l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT) et la consultation jeunes consommateurs (CJC) du centre Pierre Nicole de la Croix Rouge*.

Avec plus de 11 écrans à domicile, les adolescents franciliens de cet échantillon sont suréquipés. 84 % d’entre eux ont une console de jeux, et 74 % une tablette. Les trois quarts des lycéens (60 % des collégiens) ont un ordinateur dans leur chambre. « Négliger d’autres activités pour jouer » Ressource 3: Une meilleure appréhension du concept de cyberaddiction. Ressource 4: Internet : un amplificateur pour les addictions comportementales. Au Centre médical Marmottan nous avons développé depuis le début des années 2000 un accueil spécifique pour des personnes en butte à certaines addictions sans drogue.

Ressource 4: Internet : un amplificateur pour les addictions comportementales

Dans le cadre de cette consultation nous recevons principalement des usagers de jeux vidéo, des joueurs d’argent et de hasard et des usagers de sites pornographiques. Nous adhérons au consensus selon lequel la majorité des personnes s’adonnant à ces pratiques ne sont pas des usagers problématiques. Certains d’entre eux cependant, minoritaires, en éprouvent une souffrance et demandent une aide. Ces trois groupes de sujets peuvent avoir plusieurs supports d’usage. Par exemple : ordinateurs et jeux de rôle dans la réalité pour le premier ; casinos, points de vente Pmu et Française des Jeux pour le second ; revues et messageries téléphoniques pour le troisième. Dans le cadre de ces dernières, nous aborderons la prise en compte de l’entourage et la dynamique institutionnelle.

La réalité virtuelle offre un cadre rassurant. Pour compléter ces ressources: Pearltrees et perles de tiers>>>>>>>> Etudes scientifiques sur la cyberdépendance. Le document de base pour le psychologue... La cyberaddiction existe-t-elle ? L’addiction dépasse en effet dans les discours les plus divers la simple préoccupation, certes légitime, de soignants ou de responsables de santé publique envers des sujets en souffrance.

La cyberaddiction existe-t-elle ?

Elle représente aujourd’hui une forme dominante de représentation du mal-être, voire de la condition de l’individu dans la société. Avec par exemple Alain Ehrenberg [1, 2], le constat peut être fait que l’addiction est devenue, avec la dépression, « la » pathologie emblématique de la société actuelle, au même titre que l’hystérie, ou plus généralement la névrose, l’avaient été au temps de l’invention de la psychanalyse par Freud. À l’époque victorienne, il était important de savoir « se tenir », de camoufler ses sentiments, de mettre en avant le devoir et de masquer le désir : l’hystérique posait alors problème, les liens des symptômes aux organes génitaux, puis au cerveau, enfin au désir et à l’histoire du sujet devenant les grandes questions théoriques de l’époque.