Lettre aux analphabètes. Cela fait plusieurs fois que j’entends des gens de mon entourage me dire « nous sommes analphabètes » en parlant des ordinateurs et d’Internet. C’est vrai. Dans son immense majorité les peuples de France et d’ailleurs sont totalement ignorants dans le domaine du numérique. C’est planétaire. Peut-être te sens tu toi même incompétent, peut-être as tu peur de ces machines dont on t’impose chaque jour un peu plus l’usage. Le numérique est tombé sur l’humanité en quelques années et dirige tout aujourd’hui. Notre espèce n’a pas pu suivre cette révolution sans précédent. C’est aussi pour ça que nos dirigeants font des conneries historiques, les décideurs sont tout aussi analphabètes dans leur ensemble que ceux qu’ils sont sensés représenter.
Avant d’aller plus loin que les choses soient bien claires: la connaissance est toujours une chance, l’ignorance n’est jamais coupable. Ne te laisse pas faire. La première chose qui doit te rassurer c’est que tu n’es pas seul. Jcfrog on Twitter: "Comment je me suis radicalisé sur #Internet. Comment je me suis radicalisé sur #Internet. Je suis un gentil garçon, très poli. Issu des classes moyennes, j’ai vécu dans le confort économique entouré de parents aimants. De bonnes études qui me firent ingénieur et me promettaient une vie sans risque. Viscéralement rebelle, je n’ai jamais supporté l’adhésion au moindre groupe, mais je votais PS croyant que c’était un parti de gauche, un truc humaniste malgré tout.
Je fus longtemps un ouiouiste convaincu que n’importe quelle Europe vaudrait toujours mieux que la désunion, parce que passionné et obnubilé par le cataclysme de la 2eme guerre mondiale il me semblait que nous avions touché le fond, que mieux informés nous ferions toujours mieux, que nous étions sauvés des moustachus tyranniques, que nous étions sevrés. Puis vint le referendum, 2005, le choc. Moins de trois ans plus tard, l’Assemblée nationale et le Sénat adoptent largement le traité européen de Lisbonne. Là il se passe quelque chose. Je devrais être content, je ne le suis pas. Internet va alors me bousiller. Admettons-le : on l'a pas vu venir... Quand je dis "on", j'entends "l'Internet Canal Historique". Les vieux geeks barbus, hippies, activistes anarcho-techno-béats qui pensions (car j'en suis) que ce nouvel outil allait changer - pour le mieux - les relations humaines, les hiérarchies et la politique, et faire du monde une utopie du faites-l'amour-pas-la-guerre.
Ou sinon, au minimum, quelque chose de marrant. On l'a pas vu venir, parce qu'on n'en voulait pas, du modèle économique "gratuité contre publicité". Pour nous, Internet c'était juste "gratuité". Ceux qui croyaient qu'on allait supporter un vieux modèle dépassé, basé sur la pub, ils se mettaient le doigt dans l'oeil bien profond. Sauf qu'en vrai, c'était notre oeil à nous qui était crevé. Où ça ? Bon, ok, on s'est planté, c'est pas si grave, si ? Eh bien, si. On s'est bien, bien planté. Quoi de mieux qu'une publicité ciblée, quand on dispose de tous les éléments de la vie privée du cerveau disponible ? Ou pas. Pas fini. À la maison, j’ai un chat pas fini. Pour une raison ou pour une autre, il a du mal à diriger son train arrière. Il passe son temps à se cogner partout, à tomber dans l’escalier, à marcher dans sa gamelle… Le verdict du vétérinaire a été très clair: en termes techniques « il n’est pas fini ».
Il s’en fout: il est né comme ça. Il pense sûrement que ce sont les autres chats qui ne sont pas normaux, à pouvoir tourner et sauter et courir sans jamais tomber. Ces dernières semaines, pendant que le chaton tombait, tombait, tombait, je regardais nos « élites » tomber, tomber, tomber. Une loi de programmation militaire est votée par les deux assemblées, malgré une levée de boucliers quasi-unanime de tous les défenseurs des libertés publiques, dénonçant une atteinte aux droits fondamentaux ? Gamelle. Un sale type réunit des paumés – dans ce qu’il appelle des spectacles durant lesquels il étale sa bêtise ? Des promesses électorales oubliées à peine l’élection passée ? Gamelle, gamelle, gamelle. Stress.jpg 800 × 3 753 pixels. L'évolution du Web. Schneier: Internet is a surveillance state. Bruce Schneier: Whether we like it or not, we're being tracked all the time on the Internet Schneier: Our surveillance state is efficient beyond the wildest dreams of George Orwell He says governments and corporations are working together to keep things that waySchneier: Slap-on-the-wrist fines notwithstanding, no one is agitating for better privacy laws Editor's note: Bruce Schneier is a security technologist and author of "Liars and Outliers: Enabling the Trust Society Needs to Survive.
" (CNN) -- I'm going to start with three data points. One: Some of the Chinese military hackers who were implicated in a broad set of attacks against the U.S. government and corporations were identified because they accessed Facebook from the same network infrastructure they used to carry out their attacks. Two: Hector Monsegur, one of the leaders of the LulzSac hacker movement, was identified and arrested last year by the FBI. Bruce Schneier The Internet is a surveillance state. So, we're done. How life in the cloud is disrupting our most fundamental values - Comment - Voices. Christensen’s right, but he’s missing a far deeper change. It is the disruption of some of our most fundamental notions: value, ownership, and attachment to place.
In the past fortnight, we’ve seen the price of Bitcoin (a new online-only ‘cryptocurrency’) skyrocket while gold – traditionally a safe investment in times of crisis – hit a 30-year low. In the workplace, more and more people are shunning office-based roles in place of bespoke careers, requiring only a Wi-fi connection. And an increasing number of our assets – music, films, documents - are not just intangible but notionally are not even in our possession, existing instead "in the cloud". The music industry is a prime victim of internet disruption.
Apple is in the docks with parents of digital natives, angry that their children have spent thousands on items in internet games – in one case £3,700 on digital gems. And why tie yourself to one location, when your work doesn’t necessitate it? Pinging the Whole Internet Reveals Unsecured Backdoors That Could Tempt Hackers and Cyber Criminals. You probably haven’t heard of HD Moore, but up to a few weeks ago every Internet device in the world, perhaps including some in your own home, was contacted roughly three times a day by a stack of computers that sit overheating his spare room.
“I have a lot of cooling equipment to make sure my house doesn’t catch on fire,” says Moore, who leads research at computer security company Rapid7. In February last year he decided to carry out a personal census of every device on the Internet as a hobby. “This is not my day job; it’s what I do for fun,” he says. Moore has now put that fun on hold. Moore’s census involved regularly sending simple, automated messages to each one of the 3.7 billion IP addresses assigned to devices connected to the Internet around the world (Google, in contrast, collects information offered publicly by websites).
The connections Moore was looking for are known as serial servers, used to connect devices to the Internet that don’t have that functionality built in. Influence sociétale d'INTERNET ?
Pearltrees. Savoirs. Infographies. Etats-Unis : Internet supplante le papier - INTERNET MEDIAS.