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Décroissance

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Robert Costanza: «Préférer le mieux au plus» L’Américain Robert Costanza, ponte de «l’économie écologique», a rassemblé les travaux d’une équipe d’universitaires pour remettre aux Nations unies un «Programme pour une économie soutenable et désirable» (Vivement 2050 !

Robert Costanza: «Préférer le mieux au plus»

Éd. Les petits matins, 2013). «Nous devons entièrement repenser notre économie», dites-vous. Pourquoi ? Il faut retrouver sont but originel : améliorer le bien-être humain. Cela a longtemps été le cas… Après la Seconde Guerre mondiale, il fallait reconstruire ; il était justifié de croître matériellement, comme aujourd’hui dans les pays en développement. Qu’est-ce qui accroît le bien-être, alors ? Consacrer plus de temps à sa famille, à ses amis, participer à la vie collective, acquérir de nouvelles connaissances… Autant d’activités non marchandes ignorées par l’économie de marché. Comment ? Le préalable est de changer d’objectif. Quelles sont les solutions concrètes ? C’est un chantier qui prendra du temps. Quelle différence avec l’économie verte ?

Jean-Luc Mélenchon : "Je m’interdis le mot croissance" Jean-Luc Mélenchon a accordé une interview exclusive à Reporterre, centrée sur les questions écologiques.

Jean-Luc Mélenchon : "Je m’interdis le mot croissance"

Dans les trois séquences qui suivent, il s’explique d’abord sur son cheminement intellectuel vers l’écologie, puis sur la planification écologique et la règle verte, et enfin sur le nucléaire, l’énergie, et l’étalement urbain. Il reconnait sa dette théorique à l’égard des Verts. Pour lui, "l’écologie politique a été un choc intellectuel". Il rappelle sa position sur la sortie de l’énergie nucléaire, mais souligne le "défi extraordinaire" que représente la sortie des énergies carbonées. Et il prend ses distances d’avec la croissance comme aucun responsable politique ne l’a jamais fait. « L’écologie politique a été pour moi un choc intellectuel » Le candidat du Front de Gauche indique qu’il n’a pendant longtemps pas prêté beaucoup d’attention à l’environnement, pour lequel il n’avait qu’une « sensibilité purement superficielle » (0’34").

Inaptes. Chronique de ma progressive inadaptation à la société de consommation Tout en vilipendant à longueur d'années sur ce blog les dérives de nos systèmes économiques et politiques, je suis contraint de vivre à l'intérieur, et je m'efforce de ne pas m'en couper complètement à la fois parce que c'est impossible sans devenir un ermite, mais aussi parce que pour mieux le combattre, il faut en connaître les contours.

Inaptes

Ainsi, pendant les vacances scolaires, j'essaie d'amener mes trois numéros au cinéma, et une fois qu'on a enlevé les jours où la voiture est au garage, ceux où on a de la visite, ceux où on est chez le médecin, ceux qu'on évite parce que le week-end, par exemple, je préfère ne pas me mélanger à la foule des con-sommateurs... Et une fois qu'on a viré les horaires et les films moins adaptés aux gosses, il nous reste plus grand chose de valable. Earth hour.