Solutions en ligne - AccèsD. IEDM. IEDM - Équilibrer le budget du Québec - Youri Chassin Entrevue avec Youri Chassin, économiste à l'IEDM, au propos de l'équilibre du budget du gouvernement québécois.
Diffusée le 23 avril 2014 dans le cadre de l'émission Tout se calcule, sur les ondes de RDI.Interview (in French) with Youri Chassin, Economist at the MEI, about the balancing of the Quebec government budget. Broadcast on April 23, 2014, on RDI's Tout se calcule show.avril 23, 201423 avril 2014 IEDM - Les tarifs aériens élevés à propos d'une étude de l'IEDM sur les tarifs aériens élevés au Canada et l'exode des passagers.Report (in French) on an MEI study on Canada's high airfares and passenger leakage.mars 27, 201427 mars 2014. Finances publiques - Christian Dubé. RÉPUBLIQUE DE BANANES. Affirmation #12 de Jean-François Lisée: la droite ment quand elle affirme que le taux d’endettement du Québec est préoccupant.
Pour Lisée, seule la dette nette est importante et à ce chapitre le Québec fait très bien. Dans son livre, Jean-François Lisée ne conteste pas que la dette brute au Québec a atteint des niveaux stratosphériques, mais pour Lisée c’est la dette nette qui fait foi de tout. Vraiment ? La dette nette représente la dette brute duquel on a soustrait les actifs du gouvernement. C’est un peu comme si une personne faisant un salaire de 20 000$/an décidait de s’acheter une maison de 500 000$. Donc, selon Lisée, la personne qui faisait un tel achat n’a aucun problème d’endettement !
De plus, quand on parle de la dette nette, cela sous-entendant que le gouvernement est disposé à vendre ses actifs pour rembourser sa dette, un peu comme si la personne donnée dans mon exemple vendait sa maison pour rembourser son hypothèque. À lire aussi: Sources: Budgets 2012-2013. Le Québec est-il surendetté? Photo : iStock La « dette du Québec » désigne habituellement la dette brute de l’administration provinciale.
Il s’agit de la dette consolidée des ministères et organismes provinciaux et des secteurs de la santé et de l’éducation. Elle est composée 1) des emprunts accumulés de l’État et 2) du passif net des régimes de retraite de ses employés, qui mesure l’insuffisance des sommes présentement en caisse pour honorer les engagements futurs. Au 31 mars 2012, cette dette brute atteignait 183 milliards de dollars. Elle est à l’origine de la quasi-totalité des charges d’intérêts que Québec doit assumer, qui seront d’environ 9 milliards en 2013-2014. S’endetter permet à un gouvernement de réaliser un déficit, c’est-à-dire de dépenser plus qu’il ne prélève d’impôts dans l’immédiat. Pour financer des infrastructures, emprunter est plein de bon sens. L’endettement du Québec ne doit pas être pris à la légère. La position relative du Québec en matière d’endettement s’est amé-liorée depuis 15 ans.
Compteur de la dette québécoise. 1.
Pourquoi utiliser la dette du secteur public? Lorsqu’on analyse l’endettement d’un gouvernement, il faut aller au-delà de ce qu’il gère directement et inclure la dette des universités, des municipalités et des autres entreprises sous la responsabilité finale du gouvernement, car le gouvernement s’est engagé à honorer leur dette. La dette du secteur public est donc la mesure la plus exhaustive de la dette du Québec, celle qui donne un portrait de ce que le gouvernement du Québec emprunte directement ou indirectement. 2. Pourquoi ne pas tenir compte des actifs du gouvernement? Les seuls actifs « liquides » du gouvernement, soit les actifs qu’il pourrait vendre rapidement pour payer la dette, sont les actifs financiers nets. 3.
En 2018-2019, 9,4 milliards $ pour le gouvernement et les organismes gouvernementaux. 4. Un grand risque se cache sous une autre forme d’endettement de l’État : ses engagements à payer les prestations d’une foule de programmes sociaux.