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Internet of things

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Wistiki : localiser ses objets perdus grâce à une application smartphone. Amazon veut analyser les données des objets connectés. Amazon vient de faire une discrète acquisition. La firme de Seattle vient de racheter 2lemetry. D’abord paru dans la presse américaine, l’information a été confirmée à TechCrunch, mais le montant de la transaction n’a pas été communiqué. La start-up américaine édite une plate-forme capable de stocker et traiter une quantité importante de données émises par les objets connectés afin de les analyser. La solution est également capable de gérer les communications entre différents appareils et est universelle, c’est-à-dire compatible avec toutes les marques, explique la société sur son site Internet.

Fondé en 2011 à Denver, dans le Colorado, 2lemetry a travaillé en partenariat avec de grands groupes dont Verizon et AT&T pour la connectivité et les réseaux, ou encore SalesForce et IBM pour leurs plates-formes cloud. #OpenInnovation : Quand Sculpteo aide Skoda à communiquer de façon innovante grâce à l’Impression 3D. En 2015, le numérique est plus que jamais au coeur de nos usages. Le consommateur change en permanence. L’accélération est telle que notre capacité d’innovation doit être décuplée. Un challenge pour les grandes entreprises, parfois d’une autre époque, qui font de plus en plus preuve d’humilité et reconnaissent ne plus être capables de produire en interne toute l’innovation nécessaire. C’est là qu’interviennent les startups, acteurs ayant cette capacité à pousser les grands groupes hors de leur cœur de métier, pour favoriser la rupture.

Difficile de capter l’innovation en restant enfermé entre quatre murs. A la recherche d’une idée ingénieuse pour séduire ses clients et se différencier de ses concurrents, Skoda et son agence Shivacom ont décidé de se tourner vers une startups leader dans l’impression 3D, à savoir Sculpteo. C’est la première fois qu’une marque utilise l’impression 3D pour une campagne de communication de ce type. L’objet est ici un précieux « click to action ». Shazam va étendre ses services à la reconnaissance de produits. Le PDG de l'application de reconnaissance musicale a annoncé que Shazam allait se diversifier dans l'identification des objets, en particulier dans le commerce.

La société londonienne Shazam, dont l'application phare permet à ses 100 millions d'utilisateurs actifs d'identifier les morceaux de musique ou messages publicitaires qu'ils sont en train d'écouter, va étendre ses services de reconnaissance aux objets et en particulier aux produits en vente dans le commerce. Comme l'indique son PDG Rich Riley à Reuters à l'occasion du Mobile World Congress de Barcelone, "Shazam est déjà un verbe. Nous voulons étendre l'univers de ce que vous pouvez shazamer. " Pour financer cette diversification, aussi entamée avec les programmes télévisés, la start-up londonienne a levé 30 millions de dollars en janvier qui s'ajoutent aux 92 millions déjà levés depuis 2012.

Depuis l'apparition de son fameux bouton bleu en 2008 au lancement de l'App Store d'Apple, Shazam a en effet beaucoup évolué. Comment faire de sa campagne Kickstarter un carton : la leçon de Clément Perrot de Prynt. L'Usine Digitale - Depuis quand travailliez-vous sur cette campagne Kickstarter ? Clément Perrot - Une campagne Kickstarter, c'est beaucoup d'anticipation car une fois que c'est lancé, on n'a plus vraiment le temps de réfléchir. On l'a planifiée depuis septembre 2014. D'abord avec des recherches sur les campagnes de crowdfunding qui ont réussi. J'ai notamment rencontré Severin Marcombes de Lima et Richard Ollier de Giroptic, deux des campagnes françaises à succès, pour savoir comment bien la préparer. Puis en novembre, avec l'équipe, on a débuté le travail sur la construction de la page Kickstarter. Grâce à ce travail, les mises à jour, les différents moyens de relancer la campagne ont été pensés en amont.

Vous saviez dès le premier jour, au vu du démarrage, que la campagne serait un succès ? Sur Kickstarter, il y a une courbe de progression assez générique, avec un grand pic au début et à la fin de la campagne. Je ne crois pas. Quelles sont les prochaines étapes pour Prynt ? E-cigarette : Voici les VaprWear, les vêtements fumables ! Vapoter au lieu de fumer est la dernière tendance du moment et il aurait été dommage de ne pas capitaliser sur le phénomène. Voici un moyen de ne jamais plus oublier votre cigarette électronique, le sweat à capuche avec e-cig (ou autres, comme du cannabis...) intégrée. Au lieu de tomber sur le traditionnel cordon que l’on trouve sur les sweats à capuche, appelés Hoodies, on découvre un embout à prendre en bouche pour fumer. De l’autre côté, s’affiche évidemment l’autre embout permettant d’accueillir du e-liquide et bien d’autres choses puisque cela fonctionne également avec du cannabis.

En effet, si la substance est illégale dans notre hexagone, le Colorado a récemment modifié ses lois afin de permettre l’utilisation de la marijuana récréative. Nos vêtements pour le moins originaux intègrent également une batterie et sont rechargeables via un port USB (Il ne nous manquait que cela, recharger nos vêtements par ce biais !) Ubi i/o Les 8 startups qui partent à San Francisco.

MyFC JAQ Fuel Cell Portable Battery Charger: How it works. WattUp, la vraie révolution High Tech dévoilée au CES 2015. Quand le CES 2015 a été annoncé (pour ceux qui ne connaissent pas : il s’agit du salon des gadgets électroniques à ne pas manquer), j’ai été assez dubitatif devant les annonces qui allaient y être dévoilées. Au menu : immenses TVs en 4k, drones, objets connectés et autres gadgets High Tech plus ou moins utiles, mais rien de fondamentalement nouveau ou véritablement innovant. En tout cas rien qui puisse être susceptible de changer les choses à long terme dans nos habitudes selon moi.

Mais une petite startup, appelée Energous, a présenté discrètement son système WattUp. Et là j’ai été interpellé… WattUp est un système permettant de recharger vos gadgets, appareils photo, manettes de jeu, smartphone et même tablette sans aucun fil ! Si les technologies d’alimentation électrique sans fil ne sont pas nouvelles (Palm présentait son smartphone Pre se chargeant sans fil en 2009), la portée et l’efficience de WattUp sont sans commune mesure avec tout ce que j’ai pu voir pour le moment. Source. Bt.tn, le bouton magique de l’internet des objets. Dans une précédente chronique, je vous parlais de Wit.ai, une start-up française qui vous permet de piloter vos objets à l’aide de votre voix.

Encore plus simple (oui c’est possible!) , une start-up finlandaise vous propose d’interagir à l'aide d’un bouton poussoir. Le bt.tn ressemble à un «buzzer» tel que vous pouvez en voir sur le plateau de Questions pour un champion. Dans sa version originale, le produit est d’ailleurs d'un rouge éclatant. Pour fonctionner, le bouton se connecte à internet à l’aide d'un réseau wifi ou d’une carte Sim. Cette action peut être très simple, comme par exemple l’envoi d’un sms ou l’ouverture des volets roulants de votre habitation mais aussi plus complexe. Nous avons tous des rituels, et notamment le matin lorsque l’on se réveille. Les cas d'usages pour les marques sont aussi intéressants. A partir d’un certain volume d’achat, la start-up vous propose d’ailleurs un produit aux couleurs des marques.

#Crowdfunding : Focus sur 11 startups françaises qui ont récemment marqué Kickstarter. Créée en 2009, la plateforme de crowdfunding américaine Kickstarter a déjà mis en ligne des milliers de projets créatifs soutenus par une communauté de membres actifs, ayant généré plus d’1,4 milliard de dollars au global. Focus sur ces startups françaises qui ont attiré son attention, et dans lesquelles de nombreux « backers » ont cru. Relayer le projet sur les réseaux sociaux, établir un objectif bas, ou encore entrer en contact avec la communauté soutenant le projet, ces startups ont su suivre les bonnes pratiques données par Kickstarter. Lima Lima est une technologie qui permet de partager les mêmes fichiers sur divers supports (ordinateur, smartphone, tablette…), indépendamment de leur marque ou de la taille de stockage initiale de chaque device. En bon entrepreneur français, Séverin confirme sa volonté de rester en France et met en avant l’écosystème français et l’importance des réseaux qui furent favorables à son projet.

Prynt Pixio Linkoo Prizm Openmix RogerVoice Digitsole iSketchnote. Toujours sur le JDN : 10 objets connectés qui s'intègrent au corps humain. Wattup, la techno qui vous promet de recharger facilement vos appareils... sans-fil. 01net. le 12/01/15 à 19h24 Fatigué d’avoir à brancher votre smartphone dès que la batterie faiblit ? Une start-up américaine travaille à vous délivrer de cette contrainte. Elle vient d’ailleurs de recevoir cinq prix au CES de Las Vegas dont celui de la meilleure innovation disruptive technologique et celle du meilleur produit domestique connecté.

La société Energous développe en effet WattUp, une technologie sans fil qui permet de recharger ses appareils électroniques jusqu’à 5 mètres de distance. L’énergie est délivrée à partir de petits boitiers et envoyée par l’intermédiaire d’un signal radiofréquence utilisant la même bande qu'un système Wi-Fi. WattUp fonctionne avec tous types d’appareils : téléphones, ordinateurs, tablettes, produitx wearable, caméras, claviers, souris ou casques.

Voir la vidéo de démonstration : Dans la vidéo de démonstration ci-dessus, on voit ainsi un homme utilisant alternativement WattUp dans sa voiture, puis dans un café. A lire aussi : Source : Une entreprise chinoise construit un immeuble avec une imprimante 3D. 01net. le 20/01/15 à 12h23 © Caixin Les dernières réalisations de WinSun. Il y a un peu plus d’un an, WinSun, une entreprise chinoise, avait construit des maisons en se servant d’une imprimante 3D. L’imprimante 3D, qui mesure 6,6 mètres de haut pour 10 mètres de large et 40 mètres de long, fabrique les pièces dans l’usine de l’entreprise. Le matériau utilisé pour imprimer ces éléments est conçu à partir d’un mélange de ciment et de déchets de construction (sable, verre, béton), précise l’entreprise sur son site Web. « Ils sont montés couche par couche à la manière d’un pâtissier montant un gâteau », comme le montre la vidéo ci-dessous.

D’après WinSun, ce procédé permet de recycler de 30 à 60 % des déchets issus de l’industrie de la construction, fait baisser les coûts de production de 50 à 70 % et de main d’œuvre de 50 à 80 %.