CERTIFICATION VEGAN - Le guide vegan. Site Agriculture biocycle végétalienne. Am J Clin Nutr July 2003 Vegetarianism and vitamin B-12 (cobalamin) deficiency. © 2003 American Society for Clinical Nutrition Aśok C Antony + Author Affiliations Vegetarian diets can be classified as either lactovegetarian, ovovegetarian, lactoovovegetarian, or vegan if they include, respectively, dairy products, eggs, both dairy products and eggs, or no animal products at all.
Vegan diets have a very low cobalamin content, but a study by Herrmann et al ( 1) in this issue of the Journal forces us to reevaluate the shortcomings of the other forms of vegetarianism. WIKIPEDIA – Veganism. The practice of abstaining from animal products and a philosophy that rejects animal commodification Donald Watson coined the term "vegan" in 1944 when he co-founded the Vegan Society in the UK.
At first he used it to mean "non-dairy vegetarian",[39][40] and by May 1945 vegans explicitly abstained from "eggs, honey; and animals' milk, butter and cheese". From 1951 the Society defined it as "the doctrine that man should live without exploiting animals".[41] Interest in veganism increased in the 2010s,[42][43] especially in the latter half.[43] More vegan stores opened and vegan options became increasingly available in supermarkets and restaurants worldwide. Origins Vegetarian etymology History.
Vegetarianism - Wikipedia. Practice of abstaining from the consumption of meat Vegetarianism is the practice of abstaining from the consumption of meat (red meat, poultry, seafood, and the flesh of any other animal), and may also include abstention from by-products of animal slaughter.[1] Vegetarianism may be adopted for various reasons.
Many people object to eating meat out of respect for sentient life. Such ethical motivations have been codified under various religious beliefs, as well as animal rights advocacy. WIKIPEDIA – Végétalisme. Quelques ingrédients typiques du végétalisme : fruits, légumes, fruits secs, noix, légumineuses, céréales.
Terminologie[modifier | modifier le code] Le mot végétalisme désigne une pratique alimentaire mais aussi un mode de vie et une philosophie. Actuellement, le végétalisme concerne principalement l'alimentation (en anglais on parle de dietary veganism). L'expression anglaise ethical veganism se traduit en français soit par le néologisme « véganisme » soit par l'expression « végétalisme intégral »[1]. En fait les termes « végétarisme », « végétalisme » et « véganisme », bien que distincts et à ne pas confondre, se situent dans un continuum qui inclut des pratiques consistant seulement à s'abstenir de viande rouge[2]. WIKIPEDIA – Véganisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Un bus-restaurant végane à Londres. L'inscription au-dessus de la porte dit : « Je veux être un poisson dans un monde végane ». Le véganisme est un mode de vie fondé sur le refus de l'exploitation animale. Au-delà de l'adoption d'un régime alimentaire végétalien, le véganisme exclut la consommation de tout produit issu des animaux, de leur exploitation ou testé sur eux (cuir, fourrure, laine, soie, cire d'abeille, cosmétiques, loisirs, etc.). Par rapport au végétarisme et au végétalisme, qui désignent simplement des régimes alimentaires, le véganisme vise plus largement un mode de vie rattaché à des choix moraux et politiques, comme ceux du mouvement des droits des animaux[1]. Définition, origines et terminologie[modifier | modifier le code] « Le véganisme est la doctrine selon laquelle les humains doivent vivre sans exploiter les animaux. »[6]
WIKIPEDIA – Végétarisme. « Végé » redirige ici.
Pour l’article homophone, voir VG. Un régime végétarien est dérivé de plantes, avec ou sans œufs ou produits laitiers. Plusieurs études font état d'un risque réduit de diverses maladies (notamment les maladies cardiovasculaires et le diabète insulinorésistant) et d'un risque global de mortalité réduit chez les personnes suivant un régime végétarien (ou quasi-végétarien), végétalien ou pesco-végétarien, par rapport à celles qui consomment régulièrement de la viande ; cette réduction du risque est plus marquée chez les hommes[4],[5],[6],[7],[8].
Selon d'autres études plus anciennes, cet effet positif est toutefois également observé chez les personnes non végétariennes attentives à leur santé, et pourrait être associé au style de vie général plus qu'à l'alimentation elle-même[9],[10]. Étymologie[modifier | modifier le code] Le mot « végétarien » est emprunté à l'anglais, et apparaît comme adjectif en 1873 et comme substantif en 1875. Formes[modifier | modifier le code] Am J Clin Nutr July 2002 Dietary intake and nutritional status of young vegans and omnivores in Sweden. In accordance with other findings (19), male vegans weighed less and had a lower BMI than male omnivores; in contrast, no significant differences were seen between female vegans and omnivores in the present study.
J Am Diet Assoc. 2009 Jul;109(7):1266-82. Position of the American Dietetic Association: vegetarian diets. VEGANBIO 20/11/08 VEGETALISME CRUDIVORE ?? (ou Vegan raw foodism) En préliminaire, il est bon de préciser que la nutrition, en tant que domaine scientifique, est relativement jeune (pas plus de cent ans) et qu'en ce qui concerne ce type d'alimentation, les informations les plus erronées circulent, relayées par des journalistes ayant pris leurs informations (c'est malgré tout à leur honneur) auprès de "professionnels" de la santé qui, et c'est bien là où le bât blesse, n'ont reçu aucune éducation à ce sujet : ...sans oublier les divers intérêts et liens qui peuvent rattacher l'industrie pharmaceutique ou chimique à nombre de praticiens.
N'ayant rien appris de positif sur le sujet, ces professionnels ignorent tout simplement les recherches et dernières découvertes (mais aussi les plus anciennes) faites dans ce domaine par des individus ou groupes dévoués à ce secteur depuis des décennies (Voir ci-dessous le témoignage du Dr Bisci). Voir ici tous les liens vers les personnes, produits ou autres mentionnés au cours de cet enregistrement.
Colette Nadège Colette. Agricultural and Resource Economics Review 38/2 (October 2009) Some Economic Benefits and Costs of Vegetarianism.