background preloader

Les caractéristiques du système d'éducation au québec

Facebook Twitter

À l'école des vocations particulières. Mardi, 22 Octobre 2013 13:00 LES DIPLÔMÉS L'observation de la nature stimule l'apprentissage.

À l'école des vocations particulières

À l'expo technoscientifique de l'école Fernand-Seguin, dans le quartier Ahuntsic, à Montréal, les élèves présentent leurs projets annuels en ce troisième jeudi d'avril. Debout près de leurs affiches et de leurs maquettes, ils débattent nutrition, génétique, géologie, médecine dentaire, médecine vétérinaire, robotique, physique, chimie. On se croirait dans une université... pour les 12 ans et moins! «Cette exposition est l'apothéose de l'année scolaire pour les élèves», mentionne le directeur, Mathieu Lachance, titulaire d'une maitrise de l'Université de Montréal. Ici, le programme d'études ne diffère pas de celui des autres écoles primaires du Québec, mais la démarche scientifique est appliquée à toutes les matières. Le Conseil supérieur de l'éducation a publié en 2007 un avis sur cette question, sous la houlette de M. Claude Lessard est du même avis.

Écoles à vocation particulière » Presse-Éducation.com. CS-EG-P_EcolesVocationParticuliere. Les écoles à vocations particulières : faire son choix - Articles - Éducation et comportement. Au Québec, les écoles spécialisées, privées et publiques, sont légion.

Les écoles à vocations particulières : faire son choix - Articles - Éducation et comportement

Sur l’ensemble du territoire, on compte plus de 425 établissements offrant des formations particulières. Petite incursion dans le monde de la diversité! Dans un premier temps, il faut bien situer l’offre. Les écoles « spécialisées » ont été créées, dans le réseau public, pour contrer la popularité des établissements privés. Chaque année, les établissements du réseau de l’éducation voyaient ses cohortes d’étudiants diminuer alors que les écoles privées, nettement plus onéreuses pour les parents, devaient accommoder de plus en plus d’élèves. Professeurs et chercheurs étrangers - Système scolaire québécois - BPE - DRH - UdeM.

Public versus privé - Les écoles privées ont la cote. La croyance populaire veut que l'école privée soit meilleure que l'école publique et qu'elle soit uniquement réservée aux familles les plus fortunées.

Public versus privé - Les écoles privées ont la cote

Pourtant, depuis quelques années, les inscriptions sont en hausse partout dans le réseau privé. Qu'est-ce qui explique un tel engouement? Entre 1999 et 2004, la fréquentation des écoles primaires et secondaires privées a augmenté de 14 % alors que le réseau public a vu ses effectifs réduits de 4 %. Selon les prévisions du ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport (MELS) pour la présente année scolaire, la hausse des inscriptions au privé n'aura pas été aussi spectaculaire, mais la baisse du secteur public se poursuit. À elle seule, la Commission scolaire de Montréal (CSDM) affirme avoir 1860 élèves de moins que l'an dernier.

Pour 3000 $ de plus Qu'est-ce qui amène les parents à inscrire leurs enfants à l'école privée au détriment du réseau public? Des enjeux importants Un mythe tenace Une offre variée Collaborateur du Devoir Site complet. Telecharger. Écoles privées. Au Québec, il existe un secteur public et un secteur privé pour les services de l’éducation préscolaire, de l’enseignement au primaire et de l’enseignement en formation générale et professionnelle au secondaire.

Écoles privées

Le secteur privé compte plus de 125 000 élèves répartis dans près de 300 établissements. Le préscolaire regroupe environ 5 % de ces élèves, le primaire 25 % et le secondaire 70 %. Une douzaine de ces établissements accueillent exclusivement des élèves en difficulté d’apprentissage, de comportement ou handicapés (EHDAA), alors qu’une trentaine offrent la formation professionnelle. Parmi les établissements privés, quelque 65 % bénéficient de subventions du ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport. La subvention par élève est égale à environ 60 % de celle versée aux écoles du secteur public. Admissibilité à l'enseignement en anglais. Plus de 80 % des Québécois ont le français pour langue maternelle sur l’ensemble du territoire et la proportion de la population qui dit connaître le français est encore plus élevée, atteignant 90 %.

Admissibilité à l'enseignement en anglais

La vie se déroule en français dans la plupart des milieux du Québec et le français y est la langue d’enseignement. La Charte de la langue française prévoit que les enfants doivent fréquenter l'école francophone jusqu'au terme de leurs études secondaires dans le réseau de l'enseignement public ou dans le réseau de l'enseignement privé subventionné. De la confessionnalité à la laïcité scolaire - Il est un débat séculaire qui dure et perdure... Religion et éducation ont été inséparables au Québec durant tout le XXe siècle, en matière de structure, de financement, de contenu, de contrôle.

De la confessionnalité à la laïcité scolaire - Il est un débat séculaire qui dure et perdure...

Toute remise en question de ce quasi-monopole a été l'objet de grandes batailles qui ne sont même pas encore terminées. Retour sur un siècle de débats. Lorsqu'en 1910 naît Le Devoir, l'épiscopat catholique règne en maître depuis déjà 35 ans sur l'ensemble du système scolaire québécois. Il détermine les programmes des écoles publiques et des écoles normales. Il contrôle les deux universités francophones — l'Université Laval de Québec et sa succursale montréalaise — et les collèges classiques. Le régime connaît pourtant une première perturbation au début du XXe siècle en raison d'une forte immigration juive. La question demeure toutefois mal résolue. Au milieu des années 50, le régime connaît ses premières remises en question. Le système éducatif québecois. 1 Ces chiffres sont extraits du Portrait social du Québec, données et analyse.

Le système éducatif québecois

Edition 2001, Institut (...) 2 PISA (programme international pour le suivi des acquis des élèves). Il mesure les connaissances des (...) 1L’histoire du système éducatif québécois présente des caractéristiques spécifiques dues notamment à l’importance des structures catholique et protestante et aux différences linguistiques des deux principales communautés. L’organisation et la gestion du système scolaire par ces deux hiérarchies religieuses ont retardé la prise en charge de l’éducation par l’État. Pourtant, les différentes réformes entreprises depuis ces quarante dernières années ont permis au Québec de rattraper son retard.