background preloader

Cognition

Facebook Twitter

Définition: Distorsion cognitive. Définition: Thérapie cognitive. Terme: Thérapie cognitive Synonymes: Psychothérapie cognitive La thérapie cognitive (ou psychothérapie cognitive) se situe dans le courant de la thérapie cognitivo-comportementale qui se base sur l'observation et la régulation des liens entre les pensées, les émotions et des comportements.

Définition: Thérapie cognitive

Elle est spécifiquement centrée sur l'observation et le travail sur les pensées, les croyances et les attitudes. Il est considéré qu'il y a eu trois "vagues" de thérapies cognitivo-comportementales : La première, au début des années 1980, était surtout centrée sur l'aspect comportemental (acquisition de nouvelles habiletés, habitudes, compréhensions des facteurs influencent le comportement etc. ...). La deuxième était davantage centrée sur l'aspect cognitif. La troisième vague utilise moins la stratégie de modification des pensées et intègre certains apports de l'approche dite de la pleine conscience (mindfulness).

Voyez: Quelles sont les différentes approches en psychothérapie? Définition: Biais cognitif. 10 autres biais cognitifs qui interviennent dans le jugement et les décisions. Partager les expériences positives aide à contrer le biais de négativité. Partager les bonnes nouvelles augmente leur bénéfice et contribue à contrer la tendance naturelle à accorder plus de poids aux événements négatifs qu'aux positifs, rapporte la psychologue Emma Seppala de l'Université Standford dans la revue Scientific American.

Partager les expériences positives aide à contrer le biais de négativité

Les recherches des psychologues Shelley Gable et Jonathan Haidt, rapporte-t-elle, suggèrent que nous avons trois fois plus d'expériences positives dans le quotidien que de négatives. Mais une tendance naturelle, appelée biais de négativité , porte à donner plus de poids aux expériences négatives. Un autre phénomène est que le boost de bonheur amené par une expérience positive diminue alors qu'on s'habitue. Dans l'une de ces expérience, les participants étaient invités, pendant 4 semaines, à noter quotidiennement les expériences positives ou à écrire sur des sujets neutres. La réponse au partage des expériences est aussi importante. Voyez également: Psychomédia avec source: Scientific AmericanTous droits réservés. 15 biais cognitifs qui contrarient la pensée rationnelle. © Inconnu Les biais cognitifs sont des formes de pensée qui dévient de la pensée logique ou rationnelle et qui ont tendance à être systématiquement utilisés dans diverses situations.

15 biais cognitifs qui contrarient la pensée rationnelle

Le concept a été introduit au début des années 1970 par les psychologues Daniel Kahneman (prix Nobel en économie en 2002) et Amos Tversky pour expliquer certaines tendances vers des décisions irrationnelles dans le domaine économique. Depuis, une multitude de biais intervenant dans plusieurs domaines ont été identifiés par la recherche en psychologie cognitive et en psychologie sociale. Certains biais s'expliquent par les ressources cognitives limitées. Lorsque ces dernières (temps, informations, intérêt, capacités cognitives) sont insuffisantes pour réaliser l'analyse nécessaire à un jugement rationnel, des raccourcis cognitifs (appelés heuristiques) permettent de porter un jugement rapide. Voici une liste de 15 biais cognitifs fréquents : 1. Le biais de confirmation 2.

Biais de croyance 3. 4. 5. Effet de halo. 15 biais cognitifs qui nuisent à la pensée rationnelle. Les biais cognitifs sont des formes de pensée qui dévient de la pensée logique ou rationnelle et qui ont tendance à être systématiquement utilisées dans diverses situations.

15 biais cognitifs qui nuisent à la pensée rationnelle

Ils constituent des façons rapides et intuitives de porter des jugements ou de prendre des décisions qui sont moins laborieuses qu'un raisonnement analytique qui tiendrait compte de toutes les informations pertinentes. Ces processus de pensée rapides sont souvent utiles mais sont aussi à la base de jugements erronés typiques. Le concept de biais cognitif a été introduit au début des années 1970 par les psychologues Daniel Kahneman (prix Nobel d'économie 2002) et Amos Tversky pour expliquer certaines tendances vers des décisions irrationnelles dans le domaine économique. Depuis, une multitude de biais intervenant dans plusieurs domaines ont été identifiés par la recherche en psychologie cognitive et sociale.