background preloader

L'identité dans tous ses états

Facebook Twitter

Identité amérindienne. Bien des gens me demandent à quelle nation j’appartiens. Le réveil de mon identité amérindienneA la maison, en Saskatchewan, province centrale du Canada ou je suis né, nous avons été élevés comme des Canadiens-français. Il n’a jamais été question que nous étions indiens. À la fin de mon adolescence, la première semaine où j’ai quitté la maison familiale pour commencer mes études collégiales et universitaires en Musique à l’Université Laval, j’ai fait un rêve dans lequel les Ancêtres ont commencé à me parler. En fait, c’est un lointain grand-père qui m’a révélé dans ce rêve que j’étais amérindien. Au réveil tout était devenu très clair pour moi. Je n’ai jamais ressenti le besoin de prouver mes ascendances.

Mes ascendances familiales Lorsqu’un membre de la parenté s’est spontanément offert pour établir l’arbre généalogique de la famille, nous avons découvert, comme je l’avais pressenti, que nous avions du sang amérindien. A la fin de sa conférence, elle m’a fait remettre ce cristal. Les adversaires de l'identité bretonne ont perdu. Cet article a été lu 3492 fois et a fait l'objet de 48 commentaires.

Vos commentaires : Jean-Pierre Angoujard le Jeudi 7 novembre 2013 On ne peut dire que du bien de cet article. Un bémol toutefois : quand je lis «En breton, ils revendiquent à l'inverse une graphie locale (léonarde) pour s'opposer à toute unification de la langue qui pourrait nourrir un rêve d'autonomie du pays», je me dis qu'il faut aussi rappeler que l'autonomie de (toute) la Bretagne sera celle du breton (unifié) et du gallo (qui «nourrit» aussi «le rêve»), sans oublier le français, évidemment.

Yann Le Guellec le Jeudi 7 novembre 2013 Il faut aussi signaler que les taxes de 1675 n'avaient pas été acceptées par les états de Bretagne et constituaient une violation de l'édit d'union de 1532 pourtant imposé par la France . Alain Colin le Jeudi 7 novembre 2013 marc iliou le Jeudi 7 novembre 2013 Simone Le Baron le Jeudi 7 novembre 2013 Caroline Le Douarin le Jeudi 7 novembre 2013 Bonsoir Réflexions très intéressantes. M. Peuple. Il y a 100 000 ans, l'humanité formait un ensemble de quelques centaines de milliers d'individus. Peu à peu, les hommes se sont regroupés pour former des communautés différentes par leur langage, leurs croyances, leur histoire ou leur territoire.

L'Organisation des Nations unies, à New York, témoigne bien de la diversité des peuples d'aujourd'hui. Qu'est-ce qu'un peuple ? Tous les hommes de la planète ont le sentiment d'appartenir à un «peuple». Même si ce mot est imprécis, il est à l'origine de bien des guerres. Diverses définitions L'appartenance à un peuple peut reposer, comme au Brésil, sur une culture commune. L'Iran, qui s'appelait autrefois la Perse, a traversé 2 500 ans d'histoire et changé plusieurs fois de religion sans jamais perdre son identité nationale. La genèse du peuple français Les Français ont une idée très élevée de leur histoire et de leur culture. Un peuple sous influences diverses Les Russes forment le plus jeune des grands peuples européens. L'Empire du Soleil levant.

Kabyles. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article traite du groupe ethnique kabyle. Pour la langue, voir l'article « kabyle ». Kabyles ⵉⴽⵠⴰⵢⵍⵢⵏ (Iqbayliyen, Leqbayel) Kabyles en Burnous traditionnel Carte de répartition Les Kabyles (Iqbayliyen en kabyle, Qbayel en arabe algérien) sont un peuple berbère dont le foyer est la Kabylie, une région d'Algérie. Étymologie[modifier | modifier le code] Le terme est utilisé pour la première fois à l'arrivée des arabes musulmans, pour désigner les tribus vivant dans les régions autour des grandes villes. Aussi, il pouvait aussi bien désigner les Berbères Chaouis des Aurès ou ceux de l'ouest algérien. Les arabophones utilisaient le mot Zouaoua (sg. Toutefois, selon le professeur Salem Chaker le terme Zouaoua/Zouaoui utilisé par les arabophones ne doit pas être relié à agawa/igawawen mais plutôt à azwaw/izwawen (prénom kabyle et nom de clan répandu en Kabylie).

Histoire[modifier | modifier le code] Qanun des Aït Ali ou Herzun. Pygmées. Les ‘Pygmées’ sont un peuple de chasseurs-cueilleurs des forêts tropicales d’Afrique centrale. Si le terme ‘pygmée’ a acquis une certaine connotation péjorative, il est considéré par certains groupes comme un facteur d’identité. Ces communautés se considèrent tout d’abord comme des ‘peuples de la forêt’ en raison de la place fondamentale que celle-ci occupe dans leur culture, leur régime alimentaire et leur histoire. Les ‘Pygmées’ sont divisés en groupes distincts, tels les Twa, les Aka, les Baka ou les Mbuti, répartis dans plusieurs pays d’Afrique centrale : la République centrafricaine, la République démocratique du Congo (RDC), le Rwanda, l’Ouganda et le Cameroun.

Chaque groupe parle une langue distincte et pratique ses propres techniques de chasse. La population ‘pygmée’ est actuellement estimée à environ un demi-million de personnes. La vie en forêt Jengi, l’esprit de la forêt, est l’un des rares termes communs à toutes les langues parlées par ces peuples de la forêt. Santé et violence.