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Le capitalisme comme religion : Walter Benjamin et Max Weber. Parmi les papiers inédits de Walter Benjamin publiés en 1985 par Ralph Tiedemann et Hermann Schweppenhäuser dans le volume VI des Gesammelte Schriften (Suhrkamp Verlag), il y en a un qui est particulièrement obscur, mais qui semble d’une étonnante actualité : « Le capitalisme comme religion ». Il s’agit de trois ou quatre pages, contenant aussi bien des notes que des références bibliographiques ; dense, paradoxal, parfois hermétique, le texte ne se laisse pas facilement déchiffrer. Comme il n’était pas destiné à publication, son auteur n’avait, bien entendu, aucun besoin de le rendre lisible et compréhensible… Les commentaires suivants sont une tentative partielle d’interprétation, fondée plutôt sur des hypothèses que des certitudes, et laissant certaines « zones d’ombre » de côté. « Il faut voir dans le capitalisme une religion » : c’est avec cette affirmation catégorique que s’ouvre le fragment.

Livres - foxylounge. Michel Foucault et le néolibéralisme (la dernière leçon) Pierre Dardot et Christian Laval « Néolibéralisme et subjectivation capitaliste », Cités 1/2010 (n° 41), p. 35-50. Origine : Selon une acception très répandue, le terme de néolibéralisme désigne tout à la fois une idéologie prônant un « retour » au libéralisme des origines et une politique économique consistant à retirer à l’État pour donner toujours plus au marché. En somme, la caution d’Adam Smith venant légitimer une marchandisation impitoyable de la société.

Ainsi, après la parenthèse de l’État providence, le capitalisme néolibéral donnerait à voir un capitalisme pleinement adéquat à son essence, ou encore un « capitalisme pur. » [1 On est alors en droit de se poser la question : en quoi cette phase se distingue-t-elle des périodes précédentes ? C’est précisément déjà en quoi nous avons affaire à un phénomène pleinement nouveau. Le capitalisme connaît de profondes mutations, dont aucune n’est irréductible au jeu des apparences que ferait miroiter une inaltérable identité à soi-même. Selon Bruno Latour - le manifeste cyborg.

The Philosophy of Computer Science. First published Tue Aug 20, 2013 For nearly every field of study, there is a branch of philosophy, called the philosophy of that field. …Since the main purpose of a given field of study is to contribute to knowledge, the philosophy of X is, at least in part, a branch of epistemology. Its purpose is to provide an account of the goals, methodology, and subject matter of X. (Shapiro 1983: 525) The philosophy of computer science is concerned with those philosophical issues that arise from within the academic discipline of computer science. 1. Computer science underpins our Facebook pages, controls air traffic around the world, and ensures that we will not be too surprised when it snows. 1.1 Duality Folklore has it that computational artifacts fall into two camps: hardware and software. A standard way identifies the distinction with the abstract/physical one (see the entry on abstract objects) where hardware is taken to be physical and software to be abstract. 1.2 Technical Artifacts 2.

Temps de crise ou crise du Temps ?

Tarde

Deleuze-guattari. Brenard Stiegler.