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Bonheur

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Être femme sans enfant: parce qu’il y a des avantages!! Lorsque le rêve d’enfanter ne semble plus réalisable pour une femme, elle doit tout d’abord en faire le deuil.

Être femme sans enfant: parce qu’il y a des avantages!!

Cela est souvent long et ardu. Longtemps, j’ai moi-même eu du mal à voir les avantages de vivre ma vie pleinement sans être mère. Je peux maintenant percevoir, goûter et apprécier un peu plus les bons côtés de la vie de femme sans enfant. L’envie face aux autres femmes, les mères, cède peu à peu place à un sentiment d’accomplissement et de réalisation. J’assume progressivement ma différence car elle n’apporte pas que des inconvénients. Je m’engage donc, le douzième jour de chaque mois, et ce pendant un an, à souligner pour vous les beaux côtés de la vie sans enfant.

Certains événements de la vie sont irrémédiables. Les hommes (et les couples) sans enfants seraient plus heureux. C’est l’une des plus grandes études sur le couple jamais menées en Grande-Bretagne - puisqu’elle s’est intéressée à 5000 cobayes de tous sexes, âges et orientations sexuelles - dont les résultats ont été rendus ces jours-ci.

Les hommes (et les couples) sans enfants seraient plus heureux

Commandée par l’Economic and Social Research Council et réalisée par Open University, elle a en outre permis de connaître le secret des relations qui durent. Avoir des enfants rend-il (plus) heureux ? Barbara Lambert : La théorie qui prédominait jusqu’à présent était que les couples sans enfants étaient plus heureux que les couples avec enfants.

Avoir des enfants rend-il (plus) heureux ?

Or une étude vient de paraître selon laquelle les couples avec enfants ne seraient pas forcément plus heureux mais « moins malheureux », sur le long terme, que les couples sans enfant. Avez-vous pu constater une telle évolution dans votre pratique quotidienne ? Valérie Colin Simard : Oui, je constate exactement ce dont vous parlez. La question serait plutôt de savoir si avant, c’était différent. Peut-être que dans la période post-68, il y avait une sorte d’idéal de liberté… En tout cas, aujourd’hui, nous vivons dans un monde où beaucoup n’ont plus de repères, et ont du mal à trouver un sens à leur vie. Stérilité : elles sont stériles mais heureuses. Stérilité : la difficulté à s'affirmer comme une femme "Stérile.

Stérilité : elles sont stériles mais heureuses

Quand le verdict est tombé, j'ai compris que ma vie allait basculer. J'allais désormais faire partie d'une autre catégorie de femmes. Celles qui ne peuvent pas donner la vie. Celles qu'on plaint, celles qu'on fuit ", confie Corinne, l'une de nos interviewées. Certes, cela ne va pas de soi. "Les femmes subissent une pression énorme aujourd'hui, constate la psychiatre et psychanalyste Muriel Flis-Trèves*, qui accompagne les couples infertiles à l'hôpital Antoine-Béclère, à Clamart. Mais on peut apprendre à surmonter cet échec, à vivre avec cette injustice. C'est un long chemin, douloureux et difficile. Résume Muriel Flis-Trèves. Il faut en passer par une phase de déprime, ­parfois perdre son compagnon, se perdre soi-même...

Stérilité : Catherine "La scène me permet de donner de la joie aux autres" Couples stériles: Une vie sans enfants. Le sentiment prédominant chez les couples qui n’ont pas pu avoir d’enfants, c’est la gêne, pour ne pas dire la honte lorsqu’on évoque le sujet avec eux… Un sentiment généré au fil du temps par la famille et l’entourage pour qui le mariage signifie automatiquement la procréation et « Youyous » de joie.

Couples stériles: Une vie sans enfants

Mais lorsque l’enfant tarde à venir, il devient difficile de résister à la pression des proches. Se pose alors la question essentielle : un couple peut-il survivre sans enfants et résister à la pression sociale ? Découverte d’un univers discret, pour ne pas dire secret… L’infertilité est définie par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) comme « une incapacité du couple à procréer ou à mener une grossesse à terme au bout d’une année ou plus de rapports réguliers. » La même source affirme que « plus de 80 millions de personnes sont infertiles à travers le monde ».

Le premier couple que nous avons rencontré est uni depuis dix ans, sans enfants, mais toujours solide. Doutes et déchirements. Les parents sont-ils plus heureux que les gens sans enfants? ...

Les parents sont-ils plus heureux que les gens sans enfants?

Non, mais les pères, oui. Mauvaise nouvelle : avoir un enfant réduirait le bonheur de 70% des parents - 18/08/2015 - ladepeche.fr. Avez-vous toujours envie de donner la vie?

Mauvaise nouvelle : avoir un enfant réduirait le bonheur de 70% des parents - 18/08/2015 - ladepeche.fr

D’après une étude allemande, le moral des jeunes parents diminuerait de manière très significative après la venue au monde d’un enfant. Le bilan des recherches des chercheurs Mikko Myrskylä et Rachel Margolis a été publié le 5 août dans le journal Demography. Un enfant ne fait pas le bonheur, au contraire. Une récente étude allemande menée auprès de parents d'un enfant a révélé que leur niveau de bonheur avait considérablement baissé après l'arrivée de cette nouvelle vie dans leur couple.

Un enfant ne fait pas le bonheur, au contraire

Se pourrait-il que les jeunes parents qui viennent d'avoir un enfant et semblent nager en plein bonheur malgré la fatigue et vous parlent sans cesse de la joie que cette nouvelle vie a apporté dans la leur ne soient que des fieffés menteurs ? Ou bien qu'ils tentent de se convaincre de leur félicité ? Une récente étude allemande suggère en tout cas que l'arrivée d'un bébé pouvait avoir un fort impact négatif sur le bien-être et le moral des papas et des mamans. Les résultats, publiés dans le magazine Demography au début du mois, ont de quoi faire trembler. Car entre ces deux périodes, 70% des couples se disent plus malheureux qu'avant et la note moyenne chute de 1,6 point sur 10. Evidemment, ces conclusions qui ont beaucoup fait parlé d'elles ne sont qu'une piste et n'ont pas valeur de vérité générale. Bonheur: ne pas avoir d'enfant ne change rien. Avoir des enfants n'apporte pas plus de satisfaction que de ne pas en avoir, tout au moins dans les pays riches, conclut une enquête publiée lundi aux Etats-Unis.

Bonheur: ne pas avoir d'enfant ne change rien

Certaines études publiées auparavant indiquaient que les personnes avec des enfants à la maison étaient moins satisfaites dans la vie que celles sans enfants, tandis que d'autres affirmaient le contraire, notent les auteurs de cette recherche parue dans les Comptes rendus de l'Académie américaine des sciences (PNAS), datés du 13 au 17 janvier.

Ces chercheurs, dont Arthur Stone de l'Université de Princeton (New Jersey), ont examiné les réponses de 1,8 million d'Américains qui avaient été précédemment interrogés sur l'évaluation de leur vie et de leurs états d'âme quotidiens. Les participants avec enfants ont fait part d'une plus grande variabilité de leurs états émotionnels au quotidien, passant tour à tour de petits moments de joie à des états de stress, ont constaté les auteurs.