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Marketing

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Octobre 2012 Trend Briefing de trendwatching.com présente la tendance de consommation " SERVILE BRANDS " Il est vrai que les consommateurs n’ont jamais été aussi exigeants, informés, pressés et saturés par les choix qui leurs sont proposés (nous savons que vous savez). Si une marque veut prospérer, la solution est simple : devenir SERVILE. Cela va bien plus loin qu’offrir un bon service consommateurs*. SERVILE signifie transformer votre marque en un serviteur de style de vie ayant pour objectif de répondre aux besoins, souhaits et caprices de vos clients, quand ils le veulent et où qu’ils soient.

*Bien entendu un service consommateur de qualité est essentiel : une enquête, réalisée par American Express en 2011, a révélé que 70% des consommateurs américains admettaient dépenser plus avec une marque qui propose un service irréprochable et 60% considéraient que les marques ne pensaient pas suffisamment à servir les consommateurs. Les leviers: Nous avons révélé à plusieurs reprises le nombre grandissant de CITYSUMERS (consommateurs urbains). (Source: Nielsen, Avril 2012) OUTsurance Pointsmen. Le digital marketing et ses 5 mondes. Pour les non-initiés, le marketing digital est un véritable méli-mélo: de nombreux acteurs et intermédiaires, des technologies et des supports variés peuvent rendre cet environnement flou.

Afin d’en simplifier la lecture, nous l’avons regroupé en 5 leviers, ou 5 mondes, qui permettent de retrouver la logique du marketing offline. Dans le monde offline, les annonceurs écoutent les besoins des consommateurs à l’aide de focus groupes, d’études quantitatives ou encore de panels, ils communiquent au sujet de leur marque et acquièrent leurs clients en communiquant sur des offres de produits ou de services via les médias classiques (presse, radio, télévision, etc.). Enfin ils fidélisent leur base de clients en s’appuyant sur des programmes de fidélité et des outils CRM. L’univers online est constitué de cinq mondes distincts et interconnectés Le monde du contenu de marque est défini, entre autres, par les blogs rappelant l’univers de cette marque ainsi que par son site corporatif.

Sources : La géolocalisation d'intérieur, radar de la grande distribution - Les Echos. Politique L’affront de Bernadette Chirac à Alain Juppé +VIDEO Bernadette Chirac était avec son mari, François Hollande et Alain Juppé à la cérémonie remise du prix de la fondation Jacques Chirac. Elle a... Médias Pourquoi Patrick Drahi s’intéresse aussi à Bouygues Telecom Altice se considère comme l’acheteur le plus naturel de la filiale du groupe de BTP. Europe Déficit, croissance : Paris et Madrid affichent leur unité (de notre envoyé spécial) - Réunis à Madrid, le ministre français des Finances et son homologue espagnol, Luis de Guindos, ont affiché une osmose totale... La vraie innovation dans le programmatique et la data, c’est le Pretargeting. La semaine dernière se tenait l'ATS, événement maintenant majeur de l'écosystème du marketing en temps réel et du programmatique.

Qui tire le plus profit de la croissance du secteur? Quelles sont les perspectives de la valorisation de la data pour les annonceurs et les publishers? Le WFA (World Federation of Advertisers) a récemment publié une étude sur les meilleures pratiques en terme de programmatique « Programmatic Media, what every marketer should knowabout media markets » En quelques mots, l’étude recommande de saisir l’opportunité du programmatique tout en s’assurant de maîtriser ce qui s'y passe. Le premier constat fort est l’importance de la data dans le digital. Le Retargeting a fait émerger la data. Lors du dernier ATS, une grande partie des échange a porté sur la data, son utilisation, son potentiel et son exploitation. Et les annonceurs disposent de beaucoup de data first party Qui dit data dit insight Le deuxième constat est la mutation forte du marché publicitaire digital.

Pourquoi L'Oréal, Clarins et Lancôme misent sur le street marketing. Est-il possible d'avoir un bon référencement simplement en ayant un bon contenu ?Miss SEO Girl. Je suis une fidèle des Whiteboards Friday postées par Moz. Le 24 octobre dernier Rand Fishkin répond à une question intéressante, « Est-il possible d’avoir un bon référencement simplement en ayant un bon contenu ? » posée par l’un de leurs lecteurs, Alex Moravek. Si j’ai décidé aujourd’hui de vous traduire sa réponse et de la compléter avec mes propres idées, c’est parce que je suis une adepte du contenu. Je suis convaincue qu’en rédigeant du contenu de qualité et à une fréquence régulière, on peut réussir une stratégie SEO.

Le linking pour moi n’est pas indispensable, en tout cas pas dans le sens où l’on entend : la création de liens à proprement parler ! Alors, se focaliser uniquement sur la création de contenu et non pas sur la création de liens, est-ce la bonne stratégie pour un bon SEO ? L’algorithme de Google en 6 éléments… Avant de répondre à la question, Rand va essayer d’expliquer l’algorithme de classement de Google en le simplifiant drastiquement. La question du netlinking… Les internautes échappent aux stratégies marketing. Une nouvelle étude essaie de comprendre de quelles marques parlent les consommateurs sur le web et surtout ce qu’ils en disent. De ce point de vue, les résultats ne sont pas forcément ceux attendus.

Pour mieux saisir l’influence des différentes stratégies de e-marketing, le cabinet Bolero Web Intelligence a voulu savoir quelles sont les marques les plus discutées sur Internet. Sans véritable surprise ce sont Twitter, Facebook et Google qui sont de loin les plus citées selon leur enquête. Le constat global tend ainsi à montrer que les entreprises liées aux technologies et aux télécoms sont au cœur des débats sur le net. Internet se plaît donc à parler en priorité d’internet. Sur Facebook, les marques du quotidien en tête quelle que soit leur stratégie Les entreprises qui touchent au quotidien sont les plus présentes dans les discussions des utilisateurs Facebook. Des discussions loin d’être toutes négatives. Passer du Storytelling au Storymaking : une nouvelle dynamique du Marketing Digital ! L’ère du digital n’a pas seulement révolutionné la sphère des vecteurs de diffusion des contenus à la disposition des marques.

Elle développe aujourd’hui un vivier de ressources créatives, en marge des professionnels. Le « Storymaking » ouvre la porte à plus d’innovation et d’originalité pour les marques, voire à une communion avec leurs consommateurs.L’ère du digital n’a pas seulement révolutionné la sphère des vecteurs de diffusion des contenus à la disposition des marques. Elle développe aujourd’hui un vivier de ressources créatives, en marge des professionnels. Le « Storymaking » ouvre la porte à plus d’innovation et d’originalité pour les marques, voire à une communion avec leurs consommateurs.

Le « Storymaking » ou comment les marques associent le public et les consommateurs à la création Le bien connu storytelling consiste à raconter une histoire pour la transmettre. Le « Storymaking » au cœur de la révolution digitale Oui, les frontières établies se délitent. Tendances communication 2015 (avec Stratégies) Marketing. Construire et renforcer la marque au diapason de l’expérience client – TheBrandNewsBlog l Le blog des marques et du branding. « Chéris ta marque comme toi-même » : voilà une injonction qui sonne bien et qui aurait pu faire un bon slogan pour le BrandNewsBlog… A ceci près que je n’ai jamais considéré les marques ni le branding comme des fins en soi.

Les marques n’existent, à mon sens, qu’au travers du prisme des perceptions et des interactions avec leurs différents publics. Par et pour leurs clients, prospects, partenaires… tout autant que par la volonté de ceux et celles qui les ont construites ou qui les gèrent pour le compte d’entreprises ou d’institutions. Voilà sans doute une des raisons pour lesquelles j’ai été si rapidement séduit et je suis tant attaché à cette notion d’expérience utilisateurs/consommateurs/clients, dont on entend si souvent parler aujourd’hui.

Et à raison ! Car avant d’être popularisée par Apple, Google ou Amazon… et loin de se limiter à la dimension digitale, cette approche expérientielle dont on nous rebat les oreilles est avant tout une question de posture et d’état d’esprit. Marketing d’influence, mythes et réalités. Le marketing a toujours pris pour cible le consommateur et parmi les nombreuses manières d’adresser un client potentiel, l’influence est sûrement la plus surprenante et la plus inattendue. Pourquoi un tel flou stratégique qui conduit à faire de l’influence une discipline considérée à bien des égards comme le fruit de stratégies complexes montées par des équipes d’experts aux grandes théories manipulatrices.

Mais quand on parle d’influence en marketing, que désigne-t-on réellement ? Marketing d’influence, faire découvrir pour faire acheter Autant commencer par décomplexer la question de l’influence. Le marketing utilise de nombreux leviers : l’influence d’une marque pour organiser la promotion de produits et services est tout bonnement un outil marketing comme un autre. En réalité, influence et marketing ont deux définitions très proches, la première vise à susciter l’intérêt pour une marque ou un produit, le second cherche à créer un besoin. Diviser pour mieux “marketer” L'avenir du marketing, c'est notre égocentrisme. Avant, les marques voulaient que nous adhérions à leurs «valeurs».

Aujourd'hui, elles comptent sur nous et notre «identité» pour véhiculer leur message. Vous les voyez à la télé, sur le zinc des brasseries et dans les mains des adolescents tuant le temps sur les bancs publics: les canettes «Partagez un Coca-Cola avec…» [insérez un prénom français populaire] sont partout. Et pour cause, la célèbre boisson gazeuse a fortement misé sur une campagne inédite rendue possible par un massif plan médias (plateforme participative en ligne, opération «Surprend tes amis en leur envoyant une canette à leur prénom», spot TV, présence sur les festivals de musique, etc). Troquer son logo pour la personnalisation de ses produits est une stratégie marketing que seule une marque aussi bien installée dans l’imaginaire collectif que Coca-Cola pouvait se permettre.

Une démonstration de force trop belle pour ne pas être utilisée, a parié la marque. Flattés, vous DEVENEZ la publicité de Coca-Cola Vanités. La consommation à l’usage révolutionne le marketing de l’offre. XEnvoyer cet article par e-mail La consommation à l’usage révolutionne le marketing de l’offre XEnvoyer cet article par e-mailLa consommation à l’usage révolutionne le marketing de l’offre L'usufruit remplace la propriété Avec deux leviers puissant: un changement des mentalités - louer plutôt qu’acheter – et des outils numériques – plate-formes d’intermédiation, big data etc.- permettant de transformer radicalement les transactions. Quelques nanoparticules peuvent bouleverser le fonctionnement d’un organisme. Par Patrick Arnoux Un cabriolet pour les vacances en Toscane, une auto électrique deux jours par semaine à Paris, une Espace pour le week-end familial en Normandie, en Alsace ou en Bretagne (chambres d’hôtes) et l’Audi A6 pour le pur plaisir de temps à autre… Jean-Marc L. 32 ans, a depuis peu succombé aux délices de la location.

Avec quelques pincées d’anticipation, ce scénario est en train de basculer de la fiction à la réalité. Aspirations sociétales Mutation digitale Par Henri J. L’expérience humaine au centre du parcours digital du client | Le blog de l'agence digitale Right Brain. Être omniprésent avec moins de temps Si l’on observe que les outils d’analyse sont de plus en plus précis que le big-data nous promet une connaissance client de plus en plus ciblée, il reste que la technologie et le marketing nous poussent à toucher notre Audience Cible au bon endroit , au bon moment et cela représente a plus d’un titre un enjeu de plus en plus complexe.

Le client tend irrémédiablement à être plus en plus sollicité, l’expérience et le parcours qui en découle se doivent d’être affinés pour éviter l’erreur et son départ fatal du site de l’annonceur. Moins de temps rimant souvent avec plus exigeant. Identifier le parcours client prend, dès lors, du sens puisque comprendre pourquoi celui-ci prend telle ou telle orientation peut permettre d’améliorer son expérience digitale et donc son taux de conversion. La carte empathique Un parcours client multicanaux Les facteurs à ne pas négliger -Utiliser les étude de marchés. -Approfondir le retour sur expérience par les Metrics. Au cœur de l’omnicanal, les identités. A l’époque où les options d’une marque se limitaient au bouche-à-oreille, à la radio et à la presse, le multicanal permettait d’exploiter les nouveaux canaux les plus innovants afin de gagner en visibilité, de toucher une cible plus large et donc d’augmenter les profits.

De nombreuses entreprises se sont donc développées avec les années, en ajoutant chaque nouveau canal aux plates-formes existantes.Cependant, ces canaux se sont développés en silo, de façon autonome, avec peu ou quasiment pas de logique « cross-channel » pour les relier entre eux. Mais alors, quelles sont les conséquences d’une approche fragmentée des canaux sur le relationnel client ? La détérioration de l’expérience utilisateur Chaque nouvel ajout d’un canal multiplie la probabilité qu’un client existe sur plusieurs canaux avec une identité différente.

Pallier les manquements : l’omnicanalité et la gestion des identités Connaître et maîtriser les comportements et les attentes des consommateurs est fondamental. Géolocalisation et clienteling : deux étapes essentielles pour la relation-client. La connaissance client est l’enjeu marketing principal des marques. Alors que les stratégies visent à aborder la relation-client sur tous les canaux (mobile, e-mail, points de vente...) l’amélioration des solutions marketing permet aujourd’hui d’obtenir un profil riche en informations sur chacun de ses clients. Le mobile, canal n°1 dans l’univers du retail Il y a encore peu, utiliser les données de géolocalisation relevait de l’impossible et nombreux étaient ceux qui pensaient que cette fonction serait rejetée par les utilisateurs pour son caractère intrusif. Avec la démocratisation des smartphones, et les usages qui en naissent, ces certitudes sont aujourd'hui très loin dans les esprits. Le mobile est devenu en quelques années le support de communication incontournable pour les annonceurs qui placent de plus en plus le mobile au centre de leur stratégie digitale.

Amener les mobinautes virtuel vers le magasin physique grâce à la géolocalisation Le vendeur au coeur du clienteling. La personnalisation gagne les produits de grande consommation. 3 choses à savoir sur l’animation musicale des espaces commerciaux. Nouveau : chaque semaine dans le Web Synchro, nous vous offrons une analyse du marché du marketing musical et de la relation musique et marques. En plaçant la musique comme un élément important de leurs stratégies de communication, les retailers ont su appréhender convenablement la dimension sonore de leurs espaces commerciaux.

À la frontière entre marketing sensoriel et marketing expérientiel, le marketing musical est devenu un levier de satisfaction client, et renforce ainsi l’expérience client en magasin. Nous avons décrypté pour vous ce phénomène… La musique n’est jamais là par hasard Avez-vous déjà analysé les musiques diffusées dans le supermarché où vous avez l’habitude de faire vos courses ou dans votre magasin de vêtements préférés ?

Cependant combien d’entre eux abordent cette sélection musicale de manière stratégique dans le respect des valeurs de leur marque et de leurs clients ? L’ambiance musicale peut-être définit sur mesure. 3 choses à savoir sur l’animation musicale des espaces commerciaux. La personnalisation gagne les produits de grande consommation. La personnalisation gagne les produits de grande consommation. Achats groupés : les français sont prêts. Marketing : le moment est venu pour les distributeurs d’entrer dans une nouvelle ère ! Par Christophe Kuhner, Responsable du Marketing Produit Generix Collaborative Group. Fidélisation.

Une nouvelle ère pour le marketing dans la distributionChristophe Kuhner, Generix. Marketing BtoB, quelles tendances pour 2014 ? - Les Echos. Economie collaborative: c’est pas que du blabla, Idées.