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"L'esquive" - Collège au cinéma 2007-2008- Délégation Académique à l’Action Culturelle. Marivaux n'a pas d'âge - Arts et scènes. Orfèvre du sentiment amoureux, cet auteur du XVIIIe siècle occupe toujours le devant de la scène. Habile à marier les contraires, Marivaux manipule les faux-semblants afin de traquer la vérité du cœur. A la suite des grandes mises en scène de Vilar, Planchon ou Chéreau, Didier Bezace et Lambert Wilson ont mis le dramaturge à “L'Epreuve” de notre temps, entre comédie populaire et quête identaire. Marivaux superstar ? Sur France 2, Les Fausses Confidences, avec Pierre Arditi et Anouk Grinberg, a rassemblé plus de deux millions et demi de téléspectateurs - beau score pour du classique en prime time ! - et le spectacle, mis en scène par Didier Bezace, part en tournée à travers la France.

Lambert Wilson propose, lui, aux Bouffes du Nord, sa vision de La Fausse Suivante, avec Anne Brochet ; tandis que Marivaux est au programme du bac français et de l'agrégation de lettres. Replongeons-nous dans l'œuvre de Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux (1688-1763). » Le désir mimétique. René Girard. Le désir mimétique peut être une bonne illustration de ce que nous avons analysé avec Spinoza sous l'expression de nécessité passionnelle. L'auteur part du constat que la nature n'a pas fixé les objets de nos désirs, cette indétermination conduisant souvent les hommes à s'en remettre aux autres pour élire tel ou tel objet.

Il est ainsi amené à dénoncer une double illusion : L'illusion subjectiviste consistant à penser que nos désirs se fondent dans notre spontanéité. L'illusion objectiviste consistant à croire que ce sont les qualités intrinsèques de l'objet qui font sa séduction. Il montre qu'il y a un triangle du désir. Le sujet ne désire pas de manière autonome, il ne va pas en ligne droite à l'objet de son désir car entre lui et l'objet, il y a autrui ; de telle sorte que ce qu'il désire c'est ce que désire l'autre. Le désir est mimétique. Ex: La publicité met en scène des objets susceptibles de flatter le désir du consommateur. Partager : Narcissus Caravaggio (1594 96) edited. Stade du miroir et narcissisme - Institut Français de Psychanalyse. Stade du miroir et narcissisme Pour Lacan, ce stade est le formateur de la fonction sujet, le « je », de l’enfant âgé de 6 à 18 mois. Mais cette fonction ne peut se mettre en place que par la présence de l’autre.

En effet, pourquoi dire « je », s’il n’y a personne à qui le proposer ? On retrouve alors l’intersubjectivité du sujet. À une période où l’enfant a déjà fait, sur le mode angoissant, l’expérience de l’absence de sa mère (période anaclitique), le stade du miroir manifeste la prise de conscience rassurante de l’unité corporelle et, selon Lacan, la jubilation de l’enfant au plaisir qu’il a de contempler l’image de son unité, à un moment où il ne maîtrise pas encore physiologiquement cette unité. Le rôle de l’Autre Ultérieurement, Lacan a développé un aspect important du stade du miroir, en y introduisant une réflexion sur le rôle de l’Autre. Cette période est également la mise en place de l’objet source de désir de l’enfant. Stade du miroir et Idéal du Moi Selon Winnicott. Jeune Femme au Miroir Jean Raoux. Mise en abyme. La mise en abyme — plus rarement orthographiée mise en abîme[1], mise en abime ou, de façon archaïque, mise en abysme — est un procédé consistant à représenter une œuvre dans une œuvre similaire, par exemple dans les phénomènes de « film dans un film », ou encore en incrustant dans une image cette image elle-même (en réduction).

Ce principe se retrouve dans le phénomène ou le concept d'« autosimilarité », comme dans le principe des figures géométriques fractales ou du principe mathématique de la récursivité. Origine de l'expression[modifier | modifier le code] L'expression utilisée dans le sens sémiologique remonte à André Gide, lequel note dans son Journal en 1893 : « J'aime assez qu'en une œuvre d'art on retrouve ainsi transposé, à l'échelle des personnages, le sujet même de cette œuvre par comparaison avec ce procédé du blason qui consiste, dans le premier, à mettre le second en abyme. » Il existe plusieurs exemples où cet élément reprend le motif de l'écu. Mais aussi : Nature et société : naissance du mythe du bon sauvage. N.B. Edition utilisée : Garnier-Flammarion I.

Le regard porté par l’Européen sur le « sauvage » depuis le XVIème siècle Lectures en correspondance Deux représentations iconographique du sauvage au XVIème siècle Représentation positive du sauvage : « Famille Tupinamba à l’ananas » : Jean de Léry, Histoire d’un voyage en terre de Brésil, Livre de poche, bibliothèque classique n°0707, p213. Représentation négative du sauvage cannibale : « Equarrissage de la victime » : André Thevet, Les Singularités de la France Antarctique, Editions Chandeigne, p163. Questions : Comparez ces deux représentations des Brésiliens issues d’un récit de voyage du XVIème siècle. Autres supports iconographiques : Le catalogue de l’exposition Kannibals et Vahinés qui s’est tenue en 2001 au musée national des Arts d’Afrique et d’Océanie offre également un grand choix de représentations stéréotypées du bon et du mauvais sauvage, jusque dans la culture contemporaine, manifestant la permanence du mythe.

II. III. Ah ! Panoptique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Schéma représentant le principe du panoptique. « La morale réformée, la santé préservée, l'industrie revigorée, l'instruction diffusée, les charges publiques allégées, l'économie fortifiée — le nœud gordien des lois sur les pauvres non pas tranché, mais dénoué — tout cela par une simple idée architecturale. » — Jeremy Bentham, Le Panoptique, 1780.

(L'ouvrage, de 56 pages, est traduit de l'anglais et imprimé par ordre de l'Assemblée législative en 1791[1].) Le panoptique selon Bentham[modifier | modifier le code] L'idée de Bentham est inspirée par des plans d'usine mis au point pour une surveillance et une coordination efficace des ouvriers. Ces plans furent imaginés par son frère Samuel, dans l'objectif de simplifier la prise en charge d'un grand nombre de travailleurs.

Selon Bentham, la tour centrale devait se transformer en chapelle le dimanche, afin de moraliser les criminels[2]. Histoire[modifier | modifier le code] Selon Neil Davie, MARIVAUX ET LE MARIVAUDAGE. Les sabots. Les salons au XVIIIe siècle. Contexte historique Une sociabilité aristocratique et mondaine Commande de Joséphine Beauharnais, ce tableau du peintre Lemonnier a été exposé au Salon de 1814. Le but de ce portrait de groupe est de fixer pour la postérité tous ceux qui ont compté sur la scène mondaine, philosophique et artistique parisienne au cours du siècle des Lumières, bien au-delà des membres qui ont effectivement formé la société de Mme Geoffrin. Significativement nommés « sociétés » au XVIIIe siècle, les salons sont en effet l’une des principales composantes d’une sociabilité mondaine dont le XIXe siècle cultive la nostalgie.

Si le divertissement lettré et la recherche du bon mot sont au cœur de ces rencontres, la maîtrise de soi et du savoir-vivre sont essentiels à la qualité des rapports entre « salonniers ». Chacun doit s’y faire valoir et reconnaître tout en respectant les autres invités. Analyse des images Portrait de groupe des Lumières Interprétation Histoire des Lumières et fiction artistique Bibliographie. Marivaudage. Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux. Marivaux en 1743. Marivaux (né Pierre Carlet) est un écrivain français, baptisé à Paris le 4 février 1688 et mort à Paris le 12 février 1763.

Il est élu à l'Académie française en 1742. Il est le 5e auteur le plus joué par la Comédie-Française[2]. Biographie[modifier | modifier le code] Incertitudes[modifier | modifier le code] Il existe peu de documents et d'informations concrètes, précises et référencées sur la vie de Marivaux ; nombre de celles qui circulent à son sujet sont donc erronées ou infondées[3]. Sa date de naissance est inconnue cependant on connaît sa date de baptême[4]. Le nom « Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux » n’apparaît jamais comme tel et n'a aucun fondement administratif ou généalogique.

Éléments biographiques[modifier | modifier le code] Marivaux est issu d'une famille de nobles originaires de Normandie qui avait fourni un sénateur au parlement de cette province. En 1698, la famille part s'installer à Riom, en Auvergne. Son père meurt le 14 avril 1719. NB.