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Pourquoi est-il si difficile de plumer le capital ?

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Le Pigeon en ville. Comparatif : La fiscalité en Europe. Les systèmes fiscaux dans l'Union européenne diffèrent grandement d'un pays à l'autre. Il est néanmoins possible d'en comparer quelques éléments communs. Total des recettes fiscales de l'Etat En 2015, les recettes fiscales dans l'Union européenne ont augmenté pour atteindre 37,57% du PIB, contre 37,39% en 2014. L'impôt sur le travail reste en Europe la principale source de recettes fiscales. Rapportées au PIB de l'Etat, ces charges fiscales (en incluant les contributions sociales) ont varié en 2015 de moins de 30% en Irlande (23,6%) et en Lettonie (29%), à plus de 40% en Italie (43,3%), en Suède (43,3%), en Autriche (43,5%), en Finlande (44%), en Belgique (44,8%), en France (45,5%) et au Danemark (46,6%). Entre 2014 et 2015, les plus fortes hausses de la charge fiscale globale par rapport au PIB ont été enregistrées en Grèce (de 35,71 à 36,78%), en Slovaquie (de 31,24% à 32,24%), en Estonie (32,42% à 35,59%) et en Suède (42,78 à 43,33%).

Comparatif sur les taux de TVA pratiqués en Europe. Www.oefe.ccip.fr/sites/www.oefe.ccip.fr/files/files/upload/OEFE_enquete_2011.pdf. Le maire de Londres, Boris Johnson, fustige le "tyran" François Hollande - ROYAUME-UNI. Pourquoi il est irrationnel de taxer le capital comme le travail, Analyses de la rédaction. Entrepreneurs "pigeons" : des craintes, beaucoup d'approximations. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Samuel Laurent Le mouvement ne semble pas faiblir. Les "pigeons", ces entrepreneurs inquiets du volet du projet de loi de finances touchant aux entreprises, continuent de se mobiliser, et prévoient même un rassemblement dimanche 6 octobre.

En cause, deux éléments distincts et qui n'ont que peu de rapport entre eux : d'une part, les auto-entrepreneurs, qui vont devoir payer de 2 % à 3 % de charges en plus, mais qui ont pu croire à la "mort" du régime. Lire : "Auto-entrepreneurs : des craintes en partie infondées" D'autre part, le milieu français de la high-tech et des start-up, mais aussi des PME, qui se concentre sur un autre volet de la loi : l'alignement des revenus du capital sur ceux du travail, qui conduit à une taxation plus lourde des plus-values réalisées lors de la vente de parts d'une entreprise.

Au vu des réactions à nos précédents articles sur le sujet, certains entrepreneurs s'estiment mal compris ou mal perçus. «Nous, entrepreneurs…» Nous, entrepreneurs, ne nous reconnaissons pas dans cette idée selon laquelle la taxation des plus-values de cession du capital au même niveau que le travail pourrait abimer la passion d’entreprendre, car rien n’est plus éloigné que l’idée de cession lorsque l’on crée une entreprise et que l’on a la vocation de la développer sur le long terme. Le patron de PME de croissance n’est pas cette caricature d’homo-economicus mu par le désir de minimiser ses impôts ou de faire une plus-value spéculative en quelques années mais un aventurier qui assume le risque de ses choix et dont la revente ou la «sortie» n’est pas l’objectif quand il crée. Chaque signataire de cette tribune a créé une ou plusieurs entreprises.

Les motivations sont nombreuses : la passion de l’innovation, le désir d’indépendance, l’envie de réussir, l’idée que l’on puisse apporter sa contribution à l'évolution de notre société. Ou tout simplement l’aventure humaine avec nos équipes et nos associés. Plaisir Caricature. Pigeons - #geonpi. Podcast - Pourquoi est-il si difficile de plumer le capital ? - Idées. Comment distinguer un patron de PME d’un autre patron de PME ? Vous êtes sans doute nombreux à vous poser la question. Et bien voici une typologie bien pratique, directement puisée dans l’actualité récente : il y a ceux qui considèrent qu’on les prend pour des Pigeons, et il y a ceux qui pensent le contraire.

Les premiers sont bien plus nombreux, et ils ont réussi, en 2 temps, 3 mouvements et quelques clics supplémentaires à faire plier le gouvernement sur une des promesses de campagne de François Hollande. Promesse numéro 14 : « les revenus du capital seront imposés comme ceux du travail » Celle-ci avait pourtant commencé à être mise en musique fin septembre, via la loi de finances 2013. Il s’agissait notamment de supprimer les prélèvements libératoires sur les revenus du capital, et d’intégrer ceux-ci dans les barèmes de l’impôt sur le revenu.

Marc Ménasé, Alain Assouline, Thierry Pech et Sophie Pedder J-C Francis © Radio France « Pourquoi est-il si difficile de plumer le capital ?