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Music Business

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The three laws of music merchandising success | Nimbit.com. One of the best ways to get your fans excited is to offer a cool piece of limited edition merchandise. There’s a certain percentage of your fans who will buy anything you put out…you just need to give them reasons to buy. {*style:<b>There’s no limit to what you can offer </b>*}Here at Nimbit, we’ve seen artists have success with everything from t-shirts, to shot glasses, handwritten lyrics, original artwork, thongs, even mexican wrestling masks.

There’s no limit to what you can offer, other than your creativity (and maybe some laws in your local jurisdiction). {*style:<b>It’s great promotion </b>*}Creating a unique item for sale gives you a chance to show off your other creative talents, or collaborate with local artists which can further increase your reach. All the benefits sound great, don’t they? You need to make sure what you’re selling is true to your band’s image and something your fans want. One of the best things you can do with merch is create bundles of it with your music. Sociétés : Le père du CD est décédé. Grand mélomane, ingénieur autodidacte génial, homme d'affaires influent… Norio Ohga a façonné le géant japonais de l'électronique Sony.

Un homme à la croisée des mondes de la musique, de la technologie et des affaires. Norio Ohga, père du «Compact disc» et ancien patron de Sony, est décédé samedi à l'âge de 81 ans. C'est en tant que patron du groupe d'électronique grand public japonais qu'il supervise de très près la naissance du CD avec son partenaire néerlandais Philips au début des années 80.

Il insiste alors pour que le disque de 12 cm de diamètre puisse contenir les 75 minutes de la Neuvième symphonie de Beethoven. Ce succès commercial et technologique, qui débouchera ensuite sur l'émergence du DVD, restera comme le principal fait d'arme de Norio Ohga. Parcours détonnant Son entrée dans la firme, comme l'ensemble de son parcours ensuite, détonne. Président de Sony de 1982 à 1995, Norio Ohga innove. Patron débonnaire » Sony tourne la page du Walkman. Arrêtez-tout : la Sacem a la solution pour sauver la musique (ou pas) - Olivier Vadrot sur LePost.fr (17:03) Médias 26/04/2011 à 14h57 - mis à jour le 26/04/2011 à 17h03 | vues | réactions Financer l'industrie musicale A la lecture d'une tribune, parue dans l'Express de la semaine passée et rédigée par Bernard Miyet, Président de la SACEM, nous avons pu découvrir avec bonheur qu'enfin l'institution avait réfléchi et était sérieusement en mesure de proposer UNE solution au financement de l'industrie musicale !

Après de nombreuses heures de tergiversation, il est sorti du chapeau du magicien de la société des auteurs une formule très simple : Faisons payer les FAI (fournissurs d'accès à Internet) ! Bon sang, mais c'est bien sûr ! Enfin, peut-être pas. Recyclaage d'idée ! Je me suis replongé dans ce dossier passionnant et ai retrouvé un article publié sur le site de l'Expansion, il y a plus d'un an et demi et qui disait la même chose ! A l'heure où les institutions font tout ce qu'elles peuvent pour contrecarrer les chuttes vertigineuses de revenus : loi Hadopi, carte pré-payée, site de streaming...

Peut-on vendre de la musique aux digital natives ? Vendre sa musique en ligne - RunMuzik. Fiches Face à la décrépitude du marché du disque et à la nécessité de s’adapter aux nouveaux moyens de communication, de nombreux artistes souhaitent diffuser leurs morceaux sur les plateformes musicales telles que iTunes, Fnac.com ou Deezer. Si les nouveaux modes de diffusion ou de distribution de la musique en ligne présentent des similitudes avec le marché physique, ils constituent une nébuleuse économique et technique complexe. Quelques points essentiels à retenir pour utiliser intelligemment ces nouveaux modes de commercialisation. Le marché du numérique représente en France 19% du marché total de la musique au détail [1]. Ce marché propose aux artistes deux types de revenus : ceux issus du téléchargement et ceux issus du streaming, c’est à dire de l’écoute en ligne.

Pour le streaming, les revenus proviennent des recettes publicitaires ou des formules d’abonnements de plus en plus nombreuses que proposent des plateformes majeures telles que Deezer ou Spotify (offres premium). Nouveau recul des ventes de disques - Economie. Les ventes de disques ont diminué de 16% en Suisse en 2010. Il s'est écoulé pour 121 millions de francs de CD, cassettes et autres vinyls, contre 144 millions un an auparavant. En revanche, les téléchargements de musique ont progressé de 11% à 26,3 millions de francs. Le commerce de supports sonores physiques faiblit depuis plusieurs années. En 2000, il s'en était vendu pour 312 millions de francs.

Auparavant, le chiffres d'affaire a évolué en dents de scie atteignant 317 millions en 1995 ou 275 millions en 1990, rappelle le bureau helvétique de la Fédération internationale de l'industrie phonographique (IFPI) dans un communiqué publié lundi à Zurich. Le commerce via les plate-formes numériques a généré 26,3 millions de francs l'an passé, soit 11% de plus sur un an. Mais les ventes semblent toutefois s'essouffler puisque la hausse avait été de 53% entre 2008 et 2009.

Musique piratée Le téléchargement illégal reste largement majoritaire dans le monde. (ats)