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26/04 - 2/05 Actu Musique en Ligne

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Musique : le marché britannique repart, le numérique pèse 20% - Contenus payants : à quelles conditions les français sont-ils pr. 6 internautes sur 10 prêts à payer pour télécharger du contenu payant par abonnement. zaOza, première plateforme de téléchargement et de partage légal, l’un des leaders du contenu payant en France, publie, en collaboration avec Médiamétrie, les résultats du premier baromètre zaOza des contenus payants : « à quelles conditions les français sont-ils prêts à payer ? » Cette étude en ligne a été réalisée par Médiamétrie et menée auprès d’un échantillon représentatif de 1 035 internautes âgés de 15 à 34 ans sur la période du 26 mars au 2 avril 2010, et sera reconduite tous les 6 mois. Selon l’Observatoire des usages Internet, 84,3% des 15-34 ans sont des internautes et parmi eux, 87% déclarent se connecter à Internet tous les jours ou presque. Le lieu préféré de 90,8% de ces derniers reste le domicile. 88,9% des internautes de 15-34 ans consomment des contenus digitaux, la musique est le contenu le plus présent suivie de près par les vidéos, films et séries.

Vous avez aimé cet article ? Inactif. Amanda Palmer : « Plus personne n’est propriétaire de la musique. L’industrie de la musique voudrait bien retenir dans son giron les artistes qui, comme la chanteuse Amanda Palmer, lui échappent (derniers en date : Phoenix, Radiohead, Nine Inch Nails). Ces musiciens qui ont reconquis leur indépendance, ont pris en charge leur créativité et leur fanbase grâce au web.

Avant de rompre avec son label il y a quelques semaines, Amanda Palmer, 33 ans, a longtemps été la moitié du duo américain Dresden Dolls, du « cabaret punk brechtien », puis s’est lancée dans une carrière solo en 2008 avec un album, Who killed Amanda Palmer. Invitée du Midem à Cannes en février, Palmer, qui a plus de 400 000 followers sur twitter utilise avec inventivité les outils du web et a su catalyser une armée de fans autour de sa forte personnalité pour monétiser son art.

Elle enchaîne les flashmobs organisés grâce à twitter, les webcasts gratuits et les ventes aux enchères d’objets utilisés dans ses clips. Amanda Palmer : C’est une libération divine ! Industrie Musicale en Image #1 | Les chiffres de l’industrie mus. Infographic ? Des graphiques plus ou moins réussis, plus ou moins détaillés, plus ou moins faux. Souvent jolis, souvent très utiles pour chopper, comme ça, plein d’infos en une seule image.

Mais aussi graphiques souvent réducteurs qui amènent à interpréter vite, trop vite les données qu’ils contiennent. Donc l’idée c’est d’en prendre un et de le commenter. Pour commencer, je ne prendrai pas celui qui a fait le tour du web : combien gagne un artiste en ligne? Beau programme non ? Des revenus globaux qui augmentent : Vu l’échelle du « how much are they making » on a l’impression que ça augmente à vitesse gand V. Ceci dit ça progresse ! Voila Typiquement le graphe trompeur. Un closer look ? Bref, infographie intéressante mais assez orientée. Marché mondial de la musique enregistrée, un bilan 2009 contrast. La musique numérique se porte bien, merci (actualité) L’observatoire de la musique vient de publier un rapport complet de 80 pages sur l’industrie musicale et il met en avant l’évolution du marché.

Sans grande surprise, les supports physiques diminuent (encore) et passent sous la barre du milliard d’euros de chiffres d’affaire avec une diminution de 8%. Côté volume, le marché tombe à 63,3 millions d’unités écoulés soit une baise de 10%.L’intérêt pour la musique disparaîtrait-il ? Où faut-il avoir un regard plus nuancé sur ces chiffres ? Dans ce marché en crise, il faut remarquer que la musique numérique sort son épingle du jeu car le marché de la vente de musique numérique passe à 73,5 millions d’euros, soit une augmentation de 20% en un an.Même si cette progression ne compense pas la diminution du chiffre d’affaire du marché physique, cette augmentation est très parlante. A noter qu’en parallèle à la diminution du marché, le nombre d’albums mis sur le marché a augmenté de 4%. L’étude exacte est là. Marché mondial de la musique : l'IFPI dresse un bilan 2009 contr. C’est un bilan contrasté que dresse l’IFPI de ce que fut le marché mondial de la musique enregistré en 2009, avec des marchés américains et japonais toujours en net recul, plusieurs marchés européens en voie de se redresser, et 13 pays qui affichent une hausse des ventes, dont le Royaume Uni et l’Australie.

Le marché mondial de la musique enregistrée a reculé de 7,2 % en valeur l’an dernier, à 17,03 milliards de dollars, selon le rapport annuel "Recording Industry in Numbers" de l’IFPI (Fédération internationale de l’industrie phonographique), qui porte sur les ventes de gros. Le marché physique a reculé de 12,7 % en valeur, à 11,93 milliards de dollars.

Les ventes numériques ont progressé de 9,2 %, à 4,31 milliards de dollars. Elles représentent désormais 25,3 % des ventes globales. Le tableau que dresse l’IFPI du marché mondial est plutôt contrasté. Plusieurs marchés renouent avec la croissance L’IFPI prend désormais en compte les droits d’exécution publique dans ses statistiques. Musique : l'IFPI stigmatise encore le P2P. Selon le dernier rapport annuel de la fédération internationale de l'industrie phonographique ( IFPI ), les ventes mondiales de musique ont chuté de 7 % en 2009 pour représenter 17 milliards de dollars ( près de 12,8 milliards d'euros ). Le président et PDG de cet organisme international chargé de défendre les droits de l'industrie du disque parle d'une " déception ". Cette baisse mondiale est principalement due aux mauvais résultats dans les deux plus importants marchés que sont les États-Unis et le Japon.

Ces marchés pèsent pour 80 % dans la balance du déclin mondial. John Kennedy note toutefois quelques " points positifs " pour 2009 comme les ventes dématérialisées qui ont progressé de plus de 9 % pour représenter plus de 25 % du chiffre d'affaires total des ventes musicales, soit 4,3 milliards de dollars.

Le PDG de l'IFPI observe surtout que dans 13 pays, les ventes de musique ont progressé en 2009. C'est évidemment la réputation du P2P qui est directement visée. Spotify évolue ! Lancé fin 2008, Spotify, notre petit préféré à la rédac’ dans la jungle des services d’écoute musicale en ligne évolue en version 0.4. Ainsi, il s’offre un « Profil musical Spotify« , entièrement personnalisable, permettant de publier des listes de lecture, top artistes et top titres pour les rendre visibles par tout le monde (par vos amis Facebook par exemple).

En plus de ça, le service se pare (enfin) d’un dossier “Bibliothèque” pour vous permettre de combiner votre propre bibliothèque musicale à celle de Spotify, mais aussi d’un Gracenote évolué, un logiciel qui vérifie vos fichiers et les corrige automatiquement (utile pour organiser votre bibliothèque et lier correctement vos titres au catalogue Spotify). Vous pouvez aussi partager les listes de lecture contenant un mix de votre musique et celle de Spotify. Spotify parcourt automatiquement vos fichiers locaux pour voir si ces titres/artistes/albums sont dans le catalogue. The next generation. This morning we’re really excited to announce a major evolution of Spotify. Today we begin rolling out Spotify version 0.4.3 which includes the largest feature upgrade since our launch in late 2008. To kick it off we’ve added a number of social features, centered on a fully editable Spotify music profile, with the ability to publish playlists, top artists and top tracks for public view.

Discovering these profiles is simple as we’ve connected with Facebook so that you can instantly add your friends’ profiles. As well as introducing a variety of new social features, Spotify is evolving into a total music management platform. We’ve added a ‘Library’ folder in the left side bar, enabling you to combine your own music library with ours. But before we get into all the details, we’ve put together a little video which will walk you through some of the new features. Social Library Local files: missing any music in Spotify? Additional features So how do you get the new version? Like this: Musique gratuite et légale : Spotify et Beezik évoluent - PC INp. Les sites permettant d'écouter de la musique gratuitement sont encore jeunes et évoluent rapidement. Leur but est d'arriver à acquérir une part de marché importante tant que les leaders du secteur n'ont pas été décidés, tout en explorant les possibles sources de revenus.

Et deux sites utilisant des modèles très différents ont annoncé cette semaine des changements importants. Spotify se tourne vers les réseaux sociaux, et mélange streaming et fichiers locaux Le Suédois Spotify se base sur un logiciel (propriétaire) permettant d'écouter de la musique en streaming sur son ordinateur. Il se différencie ainsi de son principal concurrent, le Français Deezer, qui repose sur un site internet. Spotify a annoncé mardi le lancement de la version 0.4, présentée comme « la plus importante mise à jour depuis notre lancement fin 2008 ». Spotify se base en partie sur un protocole P2P, ce qui limite ses besoins en bande passante, à la grosse différence de Deezer.

Je stream , moi non plus. Histoire de parfaire sa réputation de frein à l'innovation ( va donc chez Beedy !!! ), Le blog d'un artiste en développement dans un monde en crise poursuit sa descente dans les abyssales profondeurs du streaming. Alors que les plates formes aimeraient bien passer pour les nouvelles Cosettes du numérique, que l'on pointe du doigt l'étranglement par avance des méchantes majors, ces salaud d'ayants droits et ces bons à rien d'artistes syndicalistes , combien les mendiantes du moment payent-elles la musique qu'elles diffusent ? Pour répondre à cette question , je me suis procuré les chiffres reversés à un distributeur indépendant.

Notons que ces chiffres sont très modulables en fonction du pays de destination ( d'écoute) , de la conversion de devises et d'autres points plus ou moins obscures. Notes importante : Les chiffres ici sont exprimés en centimes et il s'agit de ce qui est versé aux distributeurs par les plates formes . Deezer le pays ou la musique est moins chère ? Fermeture de Lala.com : le streaming bientôt sur iTunes ? La plate-forme de musique en ligne Lala.com, rachetée en décembre 2009 par Apple, s'apprête à baisser le rideau, ce qui laisse présager de l'arrivée du streaming sur le portail iTunes. La plate-forme de musique en ligne Lala.com, tombée dans le giron de la firme à la pomme au début du mois de décembre 2009, fermera ses portes d'ici peu, comme l'indique un message affiché sur la page d'accueil.

Les nouvelles inscriptions sont ainsi bloquées, tandis que les personnes inscrites ont jusqu'au 31 mai pour migrer vers le portail iTunes avec la conversion de l'argent dépensé en musiques ainsi que les cartes cadeaux non utilisées sur Lala.com, en crédits pour le rachat de titres sur iTunes. Rien n'a en revanche été stipulé au sujet de ceux qui jouissaient d'un droit d'écoute illimité pour certaines musiques, mais on peut s'attendre à ce que soit très prochainement proposé un service équivalent sur iTunes. Wait & See. Music Business en vrac #21 | Marché du CD, revenus des artistes, Quand Internet change la structure des chansons ! | B comme BoxS. Article très intéressant de Brian Hazard sur les changements amenés pas internet (entre autre) sur la structure de la musique. Il fait remarquer que ses chansons préférées sont généralement des growers plutôt que des grabbers mais que les growers disparaissent… Growers: En gros donc des chansons dont la première écoute ne te transporte pas totalement mais que tu apprécies de plus en plus au fil du temps.

Ce sont généralement les chansons qui durent le plus longtemps. Genre Jungleland de Springsteen Grabbers: Les chansons qui t’attrapent à la première écoute. Il fait justement remarquer qu’aujourd’hui plus personne n’a la patience de découvrir un grower. Start with the chorusThrow in an extra verse before the first chorus to allow further expositionSubstitute a third verse for the break for the same reasonCut the first chorus in half, in which case you’ll probably want to…Add an extra chorus at the end Je ne traduis pas parce que d’une je suis fainéant et de deux, ça me fout les boules. L'album... un souvenir ancien? Parmi les nombreux articles que l'on peut trouver dans les revues de presse consacrés à l'industrie de la musique, celui paru dans le FT sur l'art perdu des pochettes d'albums a particulièrement retenu notre attention. Cet article rappelle oppportunément qu'il fut une époque ou les pochettes d'albums étaient -presque- aussi importantes que la musique que l'on y trouvait à l'intérieur.

La disparition de cet art semble difficile à expliquer ; l'une des théories exprimée serait que le fait de ne plus pouvoir posséder d'objet physique aurait contribué à la perte d'intérêt pour les contenus musicaux. Ne faut-il pas également penser que le disque parvenait assez bien à caractériser le fait de posseder une "oeuvre", au sens d'une entité créative achevée? On avait 10 ou 12 titres -à l'époque d'assez bonne facture- et une belle pochette que l'on lisait tout en écoutant la musique... Qui nierait le plaisir que l'on y prenait? L'arrivé du CD a commencé à écorner ce mode d'écoute de la musique. Evening Pitch - Yozik - une vidéo Expression Libre.

Hadopi: l'autorisation de collecte d'adresses IP demandée à la C. 01net le 23/04/10 à 19h49 Dans le cadre de la lutte contre le piratage, les ayants droit ne sont toujours pas opérationnels pour collecter des adresses IP d'internautes, mais les choses avancent. D'après le numéro d'Edition Multimédi@ à paraître lundi 26 avril, quatre sociétés de gestion de droits ont adressé à la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil) leur demande d'autorisation de collecte automatisée. Une opération qui sera concrètement assurée par un prestataire dont on connaît le nom depuis fin janvier, TMG. Contactée par 01net., la Cnil confirme que la Sacem, la SCPP (pour les majors du disque), la SPPF (pour les labels indépendants) et l'Alpa (pour l'audiovisuel) (1) ont chacune déposé une demande d'autorisation.

En effet, en 2007, les ayants droit du secteur musical avaient obtenu de la Cnil l'autorisation de collecter des adresses IP de manière automatisée, grâce aux logiciels d'un prestataire et sous le contrôle d'un agent assermenté. Publicité : Une « start-up » Internet promet d’élimi. Deux entrepreneurs concoctent une vaste bibliothèque payante destinée à séduire un marché de 65 millions d'usagers dans l'ex-URSS. Ne reste plus qu'à trouver les fonds! Ben Aris Business New Europe En Occident, il est difficile de faire rapidement d'un site internet une réussite commerciale.

En Russie, c'est encore plus complexe. Le Britannique Simon Dunlop et son associé russe Alexei Ostroukhov ont pourtant la foi. Leur idée est de lancer une plateforme de téléchargement de musique, de livres et de films, en répondant à la demande potentielle de 65 millions de clients en ligne à travers toute l'ex-Union Soviétique. Pourquoi jouer aux Don Quichotte ? Dunlop et Ostroukhov n'ont pas l'air d'être les mieux armés pour l'aventure. Dunlop a une histoire tout aussi originale. Le concept du site zvooq.ru, c'est de déplacer tout le contenu textuel, musical et vidéo du disque dur de l'ordinateur sur le serveur, en se débarrassant de tout intermédiaire technologique.

Erika Iris Simmons: Ghost in the Machine. Aphte Punk. Gotsky - Sarah W. Papsun - Pay Try.