Carte musique jeunes : le gouvernement revoit sa copie. Le ministre de la Culture n'en démord pas, la carte musique jeunes est justifiée et reste un bon moyen pour ramener les jeunes dans le droit chemin du téléchargement légal. Malgré son échec, le gouvernement préfère persévérer et relancer cette initiative par une nouvelle campagne de communication. Depuis son lancement, la carte musique jeunes a eu du mal à séduire les 12-25 ans. Seulement 50 000 jeunes ont été convaincus par cette opération lancée par le ministère de la Culture qui consiste à financer jusqu'à 25 euros sur un budget de 50 l'achat de musique en ligne. Malgré cet échec, le gouvernement entend persévérer tout en apportant quelques modifications pour ramener les jeunes vers le téléchargement légal.
Pour relancer cette initiative, le site proposant cette carte sera simplifié et la carte sera disponible sur smartphone. T0. Le rapport 2011 de l'Ifpi vient de sortir. Baisse des ventes de musique dans le monde. Les ventes de musique ont baissé dans le monde en 2010. C'est ce que montre un raport de la Fédération internationale de l'industrie phonographique. Les experts restent cependant optimistes car de nombreux appareils électroniques offrent de nouvelles opportunités pour les ventes numériques. Selon le raport de la Fédération internationale de l'industrie phonographique, les ventes de musique ont chuté de 9% dans le monde en 2010. La fédération précise que les recettes provenant des formats numériques ont augmenté de 6% à 4, 6 milliards de dollars, ce qui représente 29% des recettes des ventes des maisons de disques.
Max Hole Directeur des opérations Groupe Universal Music "Le rapport montre avant tout que nous vivons dans une période d'opportunités incroyables mais aussi de grave danger. Selon la fédération, 19 pistes musicales sur 20 téléchargées sur Internet sont illégales, ce qui porte préjudice aux ventes. Frances Moore Directrice général Thomas Hesse Président de la branche numérique. Industrie musicale : longue vie aux hackers ! » Article.
J’ai assisté au @Midem les douze dernières années, et il y a un aspect qui ne change pas, Cannes dégage de super vibrations pour le divertissement et la musique et passer deux ou trois jours là-bas, c’est toujours cool. Le soleil aide et j’aime courir sur la Croisette tôt le matin. Les vibrations de cette édition 2011 étaient particulièrement étonnantes. Je vais essayer d’expliquer pourquoi. J’ai assisté à très peu de panels. La partie la plus intéressante du Midem maintenant, c’est MidemNet. Bien sûr, j’étais vraiment content d’avoir été invité à participer à la session intitulée “Comment exporter votre business musical dans le monde entier”. Mais le moment le plus cool de tout le Midem, haut la main, ce fut le MusicHackDay [en]. Des sociétés telles que Soundcloud, Last.fm, The Echonest, Bmat, Extension.fm, 7 Digital, SongKick, Musescore and musiXmatch ont participé à cette nuit blanche et ont proposé un étonnant showcase d’apps.
Vous ne me croyez pas ? Longue vie à la musique ! «L industrie musicale a de quoi avoir peur» Malgré leur condamnation à des peines allant de 4 à 8 mois de prison et à près de 6.5 millions de francs d’amende, les membres de The Pirate Bay n’en démordent pas et jouent toujours le registre de la provocation. Ils pourraient en effet lancer dans quelques mois un site dédié au streaming musical. Le projet «The Music Bay» aurait en effet été sorti du placard. Réservé en 2007, le nom de domaine themusicbay.org, servant de simple relai vers le site principal thepiratebay.org, n’avait jamais été exploité.
Mais le sous-domaine fear.themusicbay.org (Craignez The Music Bay) vient à présent d’être activé. «L’industrie musicale ne peut même pas imaginer ce que nous prévoyons de lancer dans les prochains mois. Aucun détail n’a cependant été donné quant au service en question. (man) Midem 2011, reflet d’une industrie de la musique en pleine mutation - So_cult’ - ElectronLibre. Midem: Musique = Trop d’outils, de diktats, pas assez de “pourquoi”. J’ai eu la chance cette année de pouvoir voir le Midem différemment. En effet, comme modératrice du panel “Re-inventing the music industry, the next generation’s voice” et experte en stratégie digitale pour le Midemnet+, j’ai ainsi pu approcher, discuter et partager opinions, infos, outils avec des artistes, entrepreneurs, “penseurs”, journalistes, panélistes…..Bref, une ouverture rare.
Et plus de 60 RDV en 4 jours. Depuis des semaines, et je ne le cache pas, je suis très perplexe devant cette gabegie d’outils, de conseils, de diktats qui nous tombent dessus. Et je ne suis d’ailleurs pas la seule. Alors on y a tous participé. La veille devient insupportable. C’est également ce sentiment qu’avaient les personnes que j’ai pu rencontrer au Midemnet. Même si nous avons tous le sentiment d’y avoir participé. Alors on est d’accord, et je le dis suffisamment, savoir utiliser Facebook, Youtube, Twitter, son site, les forums de fans, les analytics est primordial. #Midem : la datavisualization au service de l'artiste. Crise, majors et petits labels au midem. L’industrie musicale se berce au streaming. Chaque année, c’est la même sempiternelle question qui revient lors de l’ouverture du Marché international du disque et de l’édition musicale (Midem), la grand-messe du secteur à Cannes : la crise de l’autrefois prospère «industrie musicale» (environ 2 000 personnes en France aujourd’hui) est-elle enfin achevée ?
Et chaque année, c’est la même réponse négative qui revient. Malgré Hadopi, l’introuvable carte musique -- pourtant destinée à faire mieux connaître aux 12-25 ans les offres légales en ligne -- et les progrès bien réels du numérique, le «marché», comme on dit, a continué de baisser en 2010 dans l’Hexagone : -6%, a confirmé hier le Syndicat national de l’édition phonographique (Snep). «C’est un peu décevant , reconnaît son directeur général, David El Sayegh, la fin d’année n’a pas été bonne et la fameuse transition numérique n’est pas encore terminée, c’est un fait.
Un succès qui pourrait être imité par d’autres. #Midem : sortir de l'impasse de la musique numérique. Frédéric Mitterrand inaugure le MIDEM 2011. Le mariage entre SFR et Spotify se précise. Le succès de Deezer donne des idées à la concurrence. SFR et Spotify, la plateforme d'écoute de musique en ligne suédoise, devraient annoncer leur union dans les prochains jours. Cette alliance donnera à Spotify l'accès aux abonnés de SFR. La musique en streaming semble avoir le vent en poupe.
Bien que cette forme de consommation de musique ne représente que 2 % de l'industrie musicale, ce modèle économique qui consiste à donner un accès illimité à de la musique avec un abonnement devient de plus en plus crédible. Devant le succès du leader européen, Deezer, qui a enregistré 500 000 abonnés à son offre Premium grâce au partenariat avec Orange, SFR serait sur le point de signer une alliance avec Spotify, une autre plateforme de musique en streaming. Lancée en 2010 en France, Spotify est une plateforme de musique en ligne suédoise qui connait un gros succès dans les pays scandinaves notamment en Suède et Norvège.
Une alliance SFR/Spotify face à Orange/Deezer ? Ecrit par François Le Gall le mardi 25 janvier 2011 à 11h06 L'entrée d'Orange dans le capital de Deezer, le n° 1 français de la musique en ligne, aurait-il inspiré SFR ? Le journal Les Echos rapporte en tout cas des rumeurs sur un éventuel accord entre SFR et Spotify, le principal concurrent de Deezer. Pourquoi SFR chercherait-il à se rapprocher de Spotify ? La réponse la plus évidente se trouve ironiquement dans un récent communiqué d'Orange qui annonce un demi-million d'abonnés à l'offre "Musique premium Deezer" (5€/mois) lancée le 19 août 2010. Le succès de la musique en streaming, accessible sur ordinateur et sur smartphone, attise les convoitises des opérateurs. Grâce à la musique en streaming, les fournisseurs d'accès qui disposent également d'un réseau de téléphonie peuvent plus facilement associer leurs offres d'accès à Internet fixe à un abonnement mobile (3G).
Spotify jouit d'une excellente image auprès des jeunes. Notons que Spotify et SFR ont des liens de parenté. Ops: « Avec Spotify, l’internaute s’éloigne du piratage » Jonathan Forster, un Anglais vivant à Stockholm, est à 33 ans le directeur général de Spotify, qu’il a rejoint dès 2007, quelques mois après sa création, et dont il fut le «premier employé non informaticien» . «Spécialiste du digital marketing» , comme il se définit, il explique pourquoi le modèle de la start-up emblématique de la high-tech suédoise est le bon et va s’imposer. Un peu plus de deux ans après votre lancement officiel, en octobre 2008, où en est Spotify ? Avec 10 millions d’inscrits dans sept pays en Europe, dont 750 000 payants, nous sommes le premier site d’écoute de musique en ligne du continent.
Bientôt, grâce à la facilité d’usage et d’accès de services comme Spotify, le piratage de la musique n’aura tout simplement plus lieu d’être. Pardon ? Quels enseignements peut-on tirer de l’évolution du marché scandinave, le plus mature pour Spotify, celui à partir duquel vous avez commencé à rayonner ? Ils sont très positifs. C’est normal, on est au tout début de l’histoire. Cela se pr cise pour l’alliance entre Spotify et SFR - Blogs En direct du Midem 2011. Sony ouvre son service de musique en streaming en France. ActualitésNewsSony ouvre son service de musique en streaming en France Sony annonce lundi 24 janvier l'ouverture de son service de musique en streaming "Qriocity" en France.
Basée sur le "cloud computing", cette offre permet de piocher à tout moment dans un catalogue de 6 millions de titres, pour 3,99 ou 9,99 euros par mois. Après le Royaume-Uni et l'Irlande en décembre, le service "Music Unlimited par Qriocity" de Sony débarque en France, ainsi qu'en Allemagne, Espagne et Italie avec la lourde tâche de concurrencer des sites en streaming comme Deezer ou Spotify. Concrètement, ce service se présente sous la forme d'une plateforme accessible depuis un téléviseur Sony Bravia connecté à Internet, un lecteur de disque Blu-ray Sony, la console PlayStation 3, ou un PC portable Vaio. Pour profiter de Qriocity, les possesseurs d'un appareil Sony doivent souscrire un abonnement mensuel Basic (3,99 euros) ou Premium (9,99 euros). Voir aussi : A découvrir également : Soyez le premier à réagir !
L'actualité de votre musique: Midem, Spotify, opération promo | Vendre sa musique avec Yozik sur votre site et itunes, fnac, virgin, deezer. Industrie musicale: l'aventure de la «cloud music» est incertaine | Nouvelles. Entre chaînes-hifi, ordinateurs, radios d'auto, baladeurs numériques, téléphones intelligents, consoles de jeu, lecteurs DVD, tablettes numériques... les moyens d'écouter de la musique se sont multipliés au cours des dernières décennies. Selon les chiffres de la Fédération internationale de l'industrie phonographique (IFPI), 79% des gens écoutent de la musique dans leur salon, 76% dans leur voiture, 46% sur leur ordinateur, 39% sur leur baladeur et 20% sur leur téléphone portable.
Problème : les moyens de faire le lien entre ses différents supports sont encore peu nombreux. S'il veut pouvoir écouter sa musique ailleurs que sur son ordinateur, l'amateur des Beatles ou de Lady Gaga doit encore transférer manuellement les morceaux sur sa chaîne-hifi ou son baladeur numérique. La «cloud music» (littéralement «musique dans un nuage») permet de stocker la musique sur un serveur internet et de l'écouter en streaming quel que soit le support. L'utilisation est double. Musique en ligne, le Journal. Canoë - Techno-Sciences - Sois mon ami... et achète ma musique ! CANNES - Pour séduire une génération née avec internet, les artistes doivent apprivoiser les réseaux sociaux pour séduire leurs fans, mais les moyens de tirer des revenus de cette nouvelle proximité sont encore incertains, selon les professionnels réunis au Midem à Cannes.
"La musique numérique est dans l'impasse. L'offre ne satisfait pas les demandes des consommateurs et l'écart s'accroît", a lancé, au premier jour de la grand-messe annuelle de l'industrie du disque organisé à Cannes (dans le sud-est de la France), Mark Mulligan, directeur de recherches de Forrester Research. Les 12-15 ans, qui représentent les futurs consommateurs et sont nés avec internet, ont des comportements radicalement différents de leurs aînés. Seuls 15% utilisent des sites de téléchargement en peer-to-peer et 12% achètent de la musique en ligne. 56% écoutent de la musique sur leur téléphone et 53% regardent des vidéos sur internet. "Le problème c'est le déluge d'options. Comparison of 6 Social Music Sites (Where will musicians go after MySpace?) | Chez Moncef.
Smc.jpg (JPEG Image, 840x1641 pixels) - Scaled (39%) Musique en ligne : entre iTunes et MySpace, Bandcamp fait son nid. C'est peut-être un hasard total. Ou le reflet de l'évolution des habitudes des internautes en ce qui a trait à la musique. Mais alors que le réseau social et diffuseur de musique MySpace périclite et que son propriétaire News Corp vient de congédier presque la moitié des employés de la boîte, la plateforme musicale en ligne Bandcamp voit son impact et son influence bondir. En fait, Bandcamp n'est pas un concurrent direct de MySpace: ce n'est pas un site de réseautage ni un endroit pour mettre en ligne des vidéos ou alimenter un blogue. Conçu pour la musique, Bandcamp est un site destiné à l'écoute et au téléchargement en ligne. Point. Un cousin branché de la boutique d'iTunes et un antiMySpace, en quelque sorte. Là où MySpace est un fouillis d'une lourdeur agaçante, Bandcamp est rapide, léger, propre, minimaliste, voire intuitif. 85 000 groupes Depuis plusieurs mois, une grande quantité de groupes musicaux, dont plusieurs du Québec, se sont inscrits — gratuitement — sur Bandcamp.
Will Internet Radio Kill the FM Radio Star? - FoxNews.com. Technology companies love to boast about how their services disrupt -- in some cases even wipe out -- existing businesses. Now they're taking aim at a business that's been a mainstay in our lives for over a century: radio. Streaming music has made incursions against the established music business even since Napster began offering free (illegal) songs; but now a slew of legal online radio stations are crowding the music space. Rhapsody, Slacker, Last.fm, Grooveshark, MOG, and Spotify are just some of the better known services. They range from free streaming radio stations to on-demand subscription services, but the overall goal is clear: they want to take out traditional radio.
There have been threats to radio in the past. And radio has fought back, notably through HD Radio, which boasts the clarity and fidelity of digital broadcasts. There's an important difference today, you see. Now streaming online music is making a serious run at the last bastion of broadcast radio: the car. 10 ways to force your fans to download your song.
Google starts filtering out pirate sites. Bln.kr is a social music tool for artists- Sandbox.fm – Music Marketing For The Digital Era. Musikki – Your New Music Search Engine.