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13/06 - 19/06

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Hadopi, ou l'incohérente défense de la création ActuaLitté. La campagne de communication Hadopi a donc été lancée, pour valoriser le label, désigné par l'acronyme PUR - plutôt délicat, comme terme. Celui-ci estampille les boutiques de vente en ligne, respectueuses des règles commerciales, légales. Avec des spots publicitaires, des cartes postales et des dépliants, Hadopi dépense 3,2 millions € de communication, PURe et dure. Mais qui protège-t-on réellement ? Lors d'un échange assez intéressant, sur la vocation et les ambitions de la Haute autorité, nous avions pu découvrir que le sujet du livre numérique était particulièrement pris au sérieux. « Il y a beaucoup à apprendre de l'expérience vécue par l'industrie du disque et de la musique, cela donne un recul d'une dizaine, d'une quinzaine d'années, pour ne pas reproduire les mêmes erreurs », nous expliquait-on.

(notre actualitté) Les Cathares contre les Pirates ? Rappelons simplement que les Cathares, aux yeux de l'autorité catholique, étaient considérés comme des hérétiques. Pour approfondir. Un pur Hadopi-ratage | Web. A l’heure d’écrire ces lignes, Emma Leprince, star fictive de l’un des trois spots de la campagne de communication d’Hadopi et de son label « Pur », devance déjà largement ses deux petits copains Nathan Molina et Kélian Gomez en terme de nombre de vues et de commentaires des internautes. Il faut dire que le spot a mis le paquet pour s’attirer des réactions. Version courte : si nous arrivons à tuer l’industrie musicale assez tôt (dès maintenant) nous réussirons peut-être à éviter que cette horrible soupe pop ne sorte achever nos oreilles en 2022. Version longue : qu’est-il passé par la tête de l’agence et de l’annonceur pour tenter de promouvoir Hadopi en vantant le degré zéro de la créativité musicale ?

Si à cause du téléchargement Emma Leprince échoue dans la musique et se met à faire du porno on aura tout gagné ! Hadopi transforme vos petites filles en prostituée franco-slovène. Adoptez le label pute. 17 services au label Hadopi : PUR est lancé. Ça y est, depuis hier lundi 13 juin, les services labellisés par Hadopi sont connus, en même temps qu'est officiellement lancée la campagne de communication PUR (vous avez même sans doute déjà croisé l'un de ces spots si vous étiez devant la télévision hier soir). Il s'agit donc de mettre véritablement en place le volet pédagogique de la loi, en confrontation à la répression que l'on connait sous la forme de la riposte graduée.

Derrière PUR (pour "Promotion des Usages Responsables") se cachent donc 17 services dévoilés par la mise en ligne du site PUR.fr. Mais tous les acteurs du téléchargement légal ne sont pas présents, loin de là, puisqu'il manque par exemple le leader incontesté de la vente de musique en ligne : iTunes. Reste que les 17 services déjà labellisés ont le droit de coller le logo PUR sur leurs sites, pour prouver qu'ils respectent le droit d'auteur. Musique virtuelle, écoute que coûte. La musique n’existe plus. Physiquement, tout du moins. Les étagères de CD prennent la poussière et, pour écouter un petit air, c’est son ordinateur qu’on allume.

Ou son baladeur. Ou son téléphone. Ou sa box internet, sa console de jeux, sa tablette tactile, voire son ours en peluche. Tout commence au milieu des années 80, lorsqu’une petite galette brillante remplace sa grande sœur en vinyle. Le CD n’est donc qu’un support et la musique aisément archivable sur n’importe quel stockage informatique. Et ce qui devait arriver arriva, d’autres ont pris la main : les acteurs technologiques.

Aujourd’hui, la question n’est plus de savoir où ranger ses CD, mais plutôt de choisir, parmi les solutions disponibles, celle qui convient le mieux à ses besoins, en fonction de sa consommation, de son budget et du matériel à disposition. Le streaming gratuit, une source qui se tarit Le cloud, clé USB évaporée Et s’il s’agit de musique acquise illégalement ? En local sur son disque dur. L’équation difficile de la musique en ligne. Musique - Article - L'avenir de la musique indépendante est dans le numérique. Depuis plusieurs dizaines d’années, le marché de la musique est dominé par 4 groupes géants aux multiples ramifications qui s’étendent sur l’ensemble du globe : Universal Music[+] NoteDevenue Sony BMG Entertainment en 2004. [1], Sony Music Entertainment, Warner Music Group et EMI.

Ces « majors » représentent aujourd’hui à elles seules 71,7 % des ventes de productions musicales dans le monde. A côté d’elles, les labels indépendants produisent des artistes qui refusent de s’y associer ou dont le travail a été rejeté par ces dernières. Ils représentent ensemble 25 à 35 % des ventes de musique en ligne, mais la plupart sont loin de disposer des moyens financiers des 4 groupes ; il leur est donc plus difficile d’assurer à leurs artistes une promotion d’envergure et de les faire au grand public. Pourtant, le label Merlin, basé à Londres et créé en 2007 au Midem de Cannes, est déjà appelé « the virtual fifth major » et montre que le marché doit aussi compter avec les indépendants. . [3]. Musique en ligne: comment Apple veut faire payer les pirates.

Décryptage Après les effets d’annonce de la semaine dernière, quelques clés pour comprendre l’iCloud et l’iTunes Match. Si l’on en croit une estimation sérieuse, 50% seulement des propriétaires d’iPhones synchronisent régulièrement leurs smartphones. L’autre moitié ne le fait jamais. On comprend mieux, dès lors, les raisons qui ont poussé Apple à développer un service gratuit de stockage «dans le nuage», iCloud, et son corollaire musical (et payant), iTunes Match. Synchronisant automatiquement les données des utilisateurs dès qu’ils sont reliés à l’internet, ces outils présentés la semaine dernière, pour un lancement prévu à l’automne prochain, soulignent le déplacement inexorable de l’informatique vers le «cloud computing», technologie qui stocke les données sur des serveurs distants (et non pas sur le PC du particulier).

Pour la firme à la pomme, l’avenir passe par les applications. Bref, l’ubiquité des données devient la clé du nouveau monde connecté. Bataille du Streaming : qu’importe Deezer... - So_cult’ - ElectronLibre. L'avenir de Deezer menacé par une plainte d'Universal. Musique, monnaie libre et open-source (Bitcoin): avenir radieux ou début des vrais ennuis. Une monnaie libre et open-source qui se crée et s’échange dans un réseau P2P peut-elle faire aux États ce que bittorrent a fait aux majors ? Difficile en ce moment de ne pas entendre parler de Bitcoin. Cette monnaie numérique qui se crée et s’échange sur un réseau P2P chaque jour plus vaste et qui fait l’objet de spéculations enthousiastes, parfois jusqu’au délire. Le propos de ce billet n’est pas d’expliquer les mécanismes techniques ni les analyses économiques qui sous-tendent cette économie parallèle en voie d’expansion. Par contre, il m’a semblé intéressant d’examiner certains des liens qui peuvent être faits avec les échanges de musique qui ont propulsé le P2P au cœur des débats et qui ne sont pas fondamentalement différents des échanges de bitcoins.

Avant d’entrer dans le détail de ces considérations, il faut tout de même évoquer quelques éléments constitutifs de bitcoin. Ah!? Non, c’est tout le génie du mécanisme. Mais alors, qui les fabrique ? Le réseau dans son ensemble. Pourquoi les banques investissent le secteur de la musique. Music, make the people come together/Music mix the bourgeoisie and the rebel. " Peut-être les dirigeants du Crédit agricole ont-ils pensé à cette chanson de Madonna lorsqu'ils ont décidé, à la fin du mois d'avril, d'entrer au capital de Skyrock, la radio des jeunes.

L'alliance des agriculteurs et des rappeurs a fait couler beaucoup d'encre, et suscité une kyrielle de commentaires plus ou moins sceptiques. Cette union s'inscrit pourtant dans une tendance de fond, qui pousse les établissements financiers à investir dans le domaine de la musique. Et pas seulement par philanthropie... Récemment, les initiatives se sont multipliées. La Caisse d'épargne, historiquement liée au sport (football, cyclisme...), a abandonné ces partenaires parfois encombrants pour se lancer à grande échelle dans le sponsoring musical : vente de billets à prix réduit, parrainage d'artistes et de concerts, et même de salles.

La musique se révèle un vecteur idéal Pourquoi cet engouement ? Will Clio's AI music streaming software be a game-changer? - Apps. One of Brooklyn’s newest entrepreneurs to hit the scene is Greg Wilder, who along with his co-founder Alison Conard have launched Clio, a music-to-music search and discovery platform, which Wilder describes as “the next game-changing music technology”. Wilder, a conservatory trained pianist and composer has been working at the intersection of computers and music for the past decade. While a music professor, he quickly became frustrated with the available tools and software, so with a firm understanding of music language, he decided to build his own. Wilder’s resulting artificially intelligent software pulls apart music, identifying harmonies, melodies and rhythmic grooves much like a food critic might savor a complex meal. Then the software generates similar songs based on those identifiers.

To maintain ownership of the technology and focus on developing a viable business, Wilder quit teaching, sold all his earthly possessions and began to bootstrap a company in 2004. Pirate Bay's Sunde On iTunes Match, Spotify & Cloud Music: 'We're Giving Up Control Of Our Music' Streaming : Spotify trouve un accord avec Universal, Deezer s'explique. Universal Music impose ses vues en matière de streaming musical... On sait que la première Major du disque de la planète plaide pour une limitation maximale des volets gratuits des plates-formes d'écoute comme Deezer ou Spotify.

Peu convaincu par la pertinence du modèle freemium (écoute gratuite contre publicité), le géant met la pression pour limiter en temps et en écoutes ces offres. Une pression qui porte ses fruits. En effet, le numéro un européen Spotify a décidé d'aller dans ce sens en bridant à 10 heures par mois et 5 écoutes du même morceau son offre gratuite. De quoi satisfaire la Major qui, heureux hasard, vient de signer un accord de licence avec la plate-forme pour l'exploitation de son catalogue aux Etats-Unis. Bon élève, Spotify caresse dans le sens du poil Universal Music qui concentre 70% de la musique outre-Atlantique et s'ouvre donc en grand les portes du marché américain où il est absent.

Fin du freemium Sur son blog, la plate-forme fait un point sur la situation. Spotify s’envole, Deezer atterit. Universal est à la manoeuvre ! Le dernier épisode en date de la bataille entre Deezer et Universal Music France date de la semaine dernière lorsque la major a porté plainte contre le site de streaming pour contrefaçon. En clair, Universal qui n’a pas renouvelé en début d’année son accord avec Deezer, ne veut plus entendre parler de streaming gratuit dans les conditions actuelles. Elle estime qu’il ne lui rapporte pas assez d’argent, en tout cas beaucoup moins par titre diffusé que le streaming payant. La pression est donc mise par Pascal Nègre sur Deezer pour une réduction très sensible de son offre gratuite comme vient de le faire Spotify avec un maximum de 10 heures de streaming par mois et une limitation à 5 du nombre d’écoutes d’un même morceau.

Grâce à ce sérieux coup de canif dans son offre gratuite financée par la publicité, Spotify a enfin pu signer un accord avec Universal Music, après ceux finalisés avec Sony Music et EMI. SoundCloud intègre Tumblr. Une (excellente) cartographie du débat sur la licence globale. Licence Globale :: Etape 3. The Next MySpace. This guest post is by Bas Grasmayer (@Spartz), head of online communication at official.fm, a d.i.y. platform for music creators and content owners. A few years ago basically every internet-conscious band or artist had a MySpace profile. Times change and so does the internet; and MySpace has been dethroned with no other 'king' in sight.

So music business folks love talking about "the next MySpace". There will be no "next MySpace". MySpace came up in the early days of web 2.0; the first wave of a new trend to make the web more social through platforms. There are a couple of factors: Competition on the social frontCompetition on the band page and audio hosting frontTechnical issues / MySpace' quality issues The thing with MySpace was that while it initially jumped into some trends quite wisely, it failed to effectively innovate.

Up came Facebook and people started flocking away - connecting with their personal ("real life") networks on there. Yet there were still more giants out there.