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07/02 - 13/02 Musique en ligne

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Dorian Wood | Une Interview sur Google Earth. Dorian Wood | Une Interview sur Google Earth Dorian Wood c’est une révélation Net Emergence. On l’a tous, tout de suite aimé. Aussi bien son univers, sa folie que sa musique bien sûr. Et pour le découvrir un peu plus et un peu différemment on a eu l’idée de passer par Google Earth (et google maps). Suivez donc Dorian dans son univers : d’un cimetière de los Angeles à Ladurée sur les champs Elysées. La version Google Maps La version Google Earth Et le mot de la fin Merci beaucoup à Dorian Wood. Photo: Emmanuel Briseno. Nos conseils pour obtenir un maximum d'écoutes sur votre dernière chanson — TE/\MS.

Image d'Event10 Au cours de cette dernière année, nous avons travaillé avec des dizaines de groupes indépendants pour les aider à diffuser leur musique auprès d’un maximum d’oreilles attentives. Après avoir testé de multiples services d’écoutes et de communautés musicales, nous avons maintenant une petite recette qui fonctionne très bien pour la promotion d’un single sur le web, uniquement en se focalisant sur l’effet « bouche-à-oreille ».

Dernier exemple en date: le titre de Haussmann, « Boys Like Us » que nous avons commencé à diffuser en décembre sur quelques spots stratégiques, pour atteindre aujourd’hui les 7.000 plays cumulés. Cela me semble intéressant d’en parler ici et peut être d’échanger quelques idées sur la bonne manière de promouvoir une chanson sur le Net et d’obtenir un maximum d’écoutes. Pour commencer on va rappeler qu’il n’y a pas de formule magique… De la bonne musique avant tout ! 1. Internet est d’abord un media visuel. 2. 2010 Music Website Heat Map Virtualmusic.tv 3. Faire co-exister les ventes de CD, le Cloud et les MP3 - Traduction d'une interview de Tom Silverman — TE/\MS. Voir plus bas, la traduction française de quelques extraits d’un entretien avec Tom Silverman, réalisé par Mark Glasser et publié sur le site MediaShift le 04 fev 2011.

Tom Silverman est le créateur du mythique label Tommy Boy Records dans les années 80 (Masters at Work, De La Soul, Queen Latifah, 808 State, entre autres). Il fait partie des acteurs de la musique que je suis à la trace car il connait mieux que personne les rouages de l’industrie, en évoluant plutôt dans des genres que j’affectionne (le Hip-Hop, la musique électronique), qu’il est américain mais s’intéresse de près au marché européen, et qu’il combine très bien son expérience « du disque » avec une vision affutée des nouvelles technologies.

Silverman a commencé au moment du vinyle et des cassettes, des bonnes heures du Disco et de la House. Il a vécu la naissance du Hip Hop à New York et participé avec Tommy Boy au développement d’artistes cultes comme De La Soul, Paris ou Queen Latifah. Silverman: Certainement. Deezer, Spotify, YouTube et les autres... m’ont tué. Le Midem a fermé ses portes, et avec lui s’est éloigné l’exposé annuel sur le marché de la musique. Pour le plus grand plaisir de ceux qui vociféraient il y a dix ans contre les méchantes «majors», la fête est finie chez tous les producteurs de disques. On est loin des fêtes aux éléphants avec Eddie Barclay ! En quelque dix années, les ventes de disques ont baissé d’environ 70%, celles du monde numérique ne représentent que quelque 15% des ventes physiques. C’est dire que la révolution numérique n’est pas une alternative réelle pour produire de la musique.

Car c’est quand même de cela qu’il s’agit. Nous fermons, avec regret, le petit label que nous avons mis neuf ans à construire. Comment pourtant blâmer ce public ? Mais alors, qu’est-ce qui cloche ? Comment les maisons de disques, via leurs organismes professionnels, ont-elles pu signer des accords sur une base pareille ? Produire un album est un processus long et la musique a un coût. Ainsi que devons-nous espérer ? Arrêt de la production des autoradios-cassette aux US, fin de la bande ? On avait déjà eu l'occasion de s'inquiéter pour son avenir il y a quelques mois quand Sony, inventeur du Walkman, avait décidé d'arrêter la production du lecteur de cassette le plus populaire dans le monde. Malgré un démarrage difficile (seulement 3 000 ventes le premier mois) c'est plus de 200 millions de modèles qui se sont écoulés dans le monde entier depuis 1979.

Récemment, c'est le New York Times qui annonçait le début de la fin pour tous les amoureux de la bande magnétique. On apprend qu'en ce début d'année 2011, plus aucune voiture neuve produite, ou vendue, sur le territoire américain n'est fournie avec un lecteur de cassette, aussi bien en équipement standard qu'en option. L'histoire retiendra que la dernière voiture disposant dudit lecteur fut la Lexus SC 430. Voir aussi :- Les concerts à emporter sur clé USB- Undercover Of Darkness, le retour des Strokes en single- Joy division joué par des Playmobils Par Pierre. Spotify, deuxième source de revenus numériques des labels musicaux en Europe. L'arrivée de Spotify aux Etats-Unis demeure incertaine. C'est un paradoxe. Alors que Spotify continue de marquer des points en Europe, avec plus de dix millions d'utilisateurs et 750 000 abonnés payants, le logiciel suédois d'écoute de musique en ligne continue d'être absent du territoire nord-américain.

En effet, voilà plus d'un an que les négociations entre Spotify et les maisons de disques patinent, repoussant régulièrement la sortie du service musical. L'arrivée de Spotify en Amérique du Nord ne serait pourtant qu'une affaire de semaines. À en croire les informations du blog All Things Digital, qui s'appuie un courrier électronique diffusé par Spotify, le lancement du service de streaming pourrait bien arriver dès le mois de février 2011. Un accord avec EMI serait imminent, tandis que les discussions avec Universal Music seraient bien avancées. Les efforts pour séduire les quatre grands labels de musique risquent pourtant d'être un fardeau supplémentaire pour Spotify. Création du Conseil National du Numérique : la Sacem appelle à une remise à plat du partage de la valeur sur les réseaux en faveur des industries de contenus.

Dans le cadre de la création du Conseil National du Numérique, la Sacem estime nécessaire de prendre enfin des décisions pour rééquilibrer le partage de valeur sur les réseaux en faveur des créateurs et industries de contenus. Sans les contenus, l'économie numérique n'existerait pas Depuis plus de dix ans, les revenus des créateurs et des industries culturelles sont sacrifiés à la course au développement des infrastructures, qui ont fondé leur croissance exponentielle sur la circulation majoritairement illicite des œuvres protégées et les ont utilisées comme produit d'appel. Si Internet se résumait à l'envoi de courriels et à la consultation de sites administratifs ou d'informations en ligne, parions que la France ne compterait certainement pas 20 millions d'abonnés au haut-débit.

Sans la musique, sans la création, les « tuyaux » seraient bien vides. Faire participer les opérateurs au financement de la création Le Conseil National du Numérique doit représenter la pluralité des acteurs. Soundcloud, la carte de visite en ligne du musicien. J’ai rencontré Lilious, l’homme derrière le site Toc-Arts, il y a quasiment un an, avant son départ pour Bombay où il est le consultant en stratégie web de blueFROG Bombay, un projet musical regroupant salle de concert, studio d’enregistrement, production de musique et promotion d’artistes. Depuis, nous avons toujours continué à échanger et à partager nos informations. Nous sommes vraiment sur la même longueur d’onde, à savoir donner un maximum d’infos aux artistes pour les aider à grandir, et non pas se servir comme pretexte de la musique pour faire du business.

Je parle bien sûr de ces désormais fameuses “perceuses 2.0″ qui tentent de forcer les audiences et le respect…Comme je pars du principe que je préfère publier l’original plutôt que de m’acharner à tenter de faire la même chose, Lilious s’est penché sur Soundcloud et vous explique concrètement comment ça marche et comment vous pouvez l’utiliser. Vous voulez publier votre musique en ligne ?

La carte de visite en ligne du musicien. MXP4 se réinvente avec succès dans l’écosystème Facebook. Créé en 2006, MXP4 a développé une solution interactive de musique qui ambitionnait de devenir le futur format qualitatif des fichiers musicaux. Les labels et artistes pouvaient alors créer des fichiers rich media. Une nouvelle approche multipistes et ludique de la musique en ligne qui a séduit des dizaines de maisons de disques autour de grands noms comme Britney Spears, Pink ou David Guetta.

Depuis 2007, MXP4 a réalisé trois levées de fonds pour un total de 9 M€. Depuis 2010, MXP4 a amorcé un virage net de son positionnement, motivé par le simple pragmatisme économique. La société a choisi de tout miser sur un mix entre sa technologie et l’écosystème Facebook dans lequel les applications de jeux explosent. MXP4 lancera en mars une série de nouveaux jeux pour le réseau social, des jeux d’arcade dans un nouvel univers musical ludique.

Entretien avec Albin Serviant, CEO de MXP4. MuseScore : éditeur libre de partitions. L'éditeur de partitions libre MuseScore [1.0 – 70 Mo – Français – Mac OS 10.5 – Gratuit] est désormais sorti en version finale après huit ans de développement. Cet éditeur de partition se présente comme une partition papier et vous pouvez ajouter/déplacer les notes directement sur les lignes des portées. La saisie peut se faire au clavier, à la souris ou même avec un clavier MIDI et les partitions peuvent ensuite être imprimées ou exportées aux formats PDF (exemple), PNG ou SVG. MuseScore gère également le format MusicXML et les fichiers MIDI standards. L'application est multiplateforme et cela se ressent dans l'interface (ou dans les préférences logées dans le menu "Édition" et sans le raccourci clavier usuel), mais celle-ci reste assez agréable et s'avère surtout fonctionnelle.

On pourra la découvrir plus en détail dans ce tutoriel vidéo. MuseScore s'accompagne de musescore.com, un site de partage de partitions. Activision met fin à la série Guitar Hero. Attention bon plan clip : FluidRiver » Article » OWNImusic, Réflexion, initiative, pratiques. FluidRiver propose une solution simple, économique et de qualité pour créer des clip toujours plus originaux. Sebastien Gilles nous parle de son bébé déjà grand. Sébastien Gilles a un sacré parcours dont il nous parlera ci-dessous. Il a fondé FluidRiver en 2009. Une plateforme qui fait le liens entre les secteurs de la musique et les cinéastes. Issu d’un monde étranger à la musique, nous l’avons rencontré pour qu’il nous fasse part de ses observations et nous résume l’état actuel de sa société. Quel est ton parcours professionnel ? J’ai un profil plutôt atypique pour le monde musical, avec un parcours d’ingénieur, de chercheur puis d’entrepreneur en nouvelles technologies, venu sur le tas à la musique par passion.

Après des études d’ingénieur à l’ENSTA, j’ai fait une thèse à l’université d’Oxford en vision artificielle. Les années 2000-2008 m’ont donné le goût d’entreprendre, c’est-à-dire de partir d’une idée et de la réaliser. Quel est le concept de FluidRiver ? Comment ça marche? 10 sites pour écouter de la musique gratuite en ligne. Le week-end, posé devant une bonne bouteille de whisky, ils nous arrivent régulièrement de lancer un fond musical avec des amis. La référence en la matière : Deezer. Site incontournable, il a su s’imposer en précurseur sur le marché de l’écoute musicale gratuite en ligne. Avec tous les problèmes liés au téléchargement illégal de ces dernières années, il a bien fallu trouver des solutions pour pouvoir encore écouter de la musique gratuitement. Et justement, voici 10 sites pour écouter de la musique gratuite en ligne… 1. Grooveshark, bien qu’il ne soit pas récent, est un site que j’ai découvert il y a peu de temps. 2. Le pionnier des services d’écoutes musicales en ligne. 3.

L’idée de Shuffer est l’une des meilleures qui puissent exister : allier tous les blogs musicaux sur une seule et même plateforme ! 4. Mixest est un projet un peu bizarre où vous n’avez pas trop de commande pour diriger vos goûts musicaux. 5. Musicovery propose différents choix d’écoute : par recherche ou par humeur. 10 Online Resources for Free, Legal Music Mashable | The Social Media Guide. Free stuff. Those two words are enough to make one kick up one's proverbial heels and dance out of pure, plasma-searing joy.

And when that free stuff comes in the form of tunes, well, then the dancing becomes quite literal. While we know no one in our illustrious readership would ever steal music (nay! Death before thieving the whiskey and cereal from the gaping maws of those starving musicians!) , we understand that sometimes one just doesn't have the capital to load up on songs on a daily basis. That's why we've gathered 10 resources for scoring tunes online for merely a song. 1). San Francisco-based startup MySpoonful just launched recently, touting itself as “Daily Candy for Indie Music.” It's like having that dude at the record store who always knows about the newest freak folk band in your mailbox — without all the "I can't believe you've never heard of these guys!

" RCRD LBL aims to be the modern version of MTV's 120 Minutes, a show that specialized in new, alternative music. 3). 4). Hadopi, the US needs you ! - Peer2peer - ElectronLibre. Hadopi au royaume des labels indépendants – Interview croisé. Dans la continuité de l’entretien avec Nicolas, gérant du magasin et de la distro en ligne MusicFearSatan, il m’a semblé intéressant de faire un petit sondage de quelque labels français intéressés par la musique saturée pour leur demander ce qu’ils pensaient de ces réformes normalement faites pour les protéger, eux, et les artistes qu’ils signent et de l’état de l’industrie musicale. Aucune concertation au préalable et pourtant un consensus évident autour de ces questions, contrebalancé par un enthousiasme toujours aussi important pour ce qu’ils écoutent et ce qu’ils continuent de proposer.

Petite série de question à Matthias Jungbluth du label Throatruiner (Huata, Plebeian Grandstand, Birds in Row), Colin Manierka du label Maximum Douglas (Appolonia, Kilo, Pretty Mary Dies) et Kevin Pertuisot du label Swarm of Nails (Art of Burning Water, Arms of Ra, Little Girl Terrorist). Est-ce qu’il y a encore une place à donner à tout ça de nos jours ? Après, j’imagine que c’est pas super simple.

Piratage: Mais pourquoi les explications des “contre” sont elles toujours aussi lourdes. On va commencer par ces deux vidéos. Et puis vous me direz si vous pouvez aller jusqu’au bout. Est ce que vous avez pu aller au bout de ces vidéos? Parce que moi non. Et pourtant je suis contre le piratage. Donc à priori je devrais être à l’écoute de ces arguments. Et ben non. Je trouve ça même véritablement triste. Mais le plus pire des pires, c’est ça quand même:Là, on a quand même touché le fond.

Quand on parle de piratage, de musique gratuite sur internet, on a tout de suite une vision un peu romantique des choses, le “tout le monde peut avoir accès à la musique”, “libre accès à la culture”. Et qu’est qu’on montre en face? Je suis contre le piratage. Par contre, pour un artiste, il y a un vrai souci dans le fait de lui prendre son album. Et puis il y a 75 millions de titres déposés à la Sacem (et combien non déposés?) Mais même en dehors du débat Pirates/Pas Pirates, moi tout ce qui m’interesse c’est l’artiste.

Illustration photo “We want more” 6 Reasons Why Major Labels Are Still Screwed. 88% of Shoppers Abandon Items in Online Basket. 10 Online Resources for Free, Legal Music.