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06/09 - 12/09 Musique en ligne

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Interview de Virginie Berger par Girlz in Web. Un marché de la musique en voie de stabilisation. Les ventes de musique sous forme de téléchargement , de streaming ou d'abonnement représente 18 % du marché de la musique enregistrée au 1er semestre 2010, en hausse de 12 % à près de 43 millions d'euros par rapport au premier semestre 2009. Contre 82 % pour les CD et DVD physiques, qui pour la première fois depuis 2002 affichent une hausse des ventes de 2,5 % sur le semestre. Boom des ventes de DVD musicaux Il est tiré principalement par les ventes de DVD musicaux ( + 53,2 %), poussées par des sorties de nouveautés et des promotions sur les fonds de catalogues. Les ventes d'albums sous forme de CD audio, elles, restent en recul de 2 %. En revanche, sur le marché numérique, le téléchargement d'albums, progresse de 47,2 % , soit plus vite que celui de titres à l'unité (+ 33 %), pour dépasser 10 millions d'euros de chiffre d'affaires.

Trop tôt pour déclarer la sortie de crise Il faut encore attendre les six prochains mois pour déclarer que le marché de la musique sort de la crise. Le Snep constate la hausse du téléchargement légal de musique. Face à l'arrivée prochaine d'Hadopi, les ayants-droit tentent de sentir l'avenir du secteur de la musique et de l'audiovisuel. Le Snep a donc tenu à dévoiler ses chiffres de vente du marché pour le premier semestre 2010. Si les ventes physiques de musique continuent de diminuer, la part du téléchargement légal connaît un essor de 12%. Effet Hadopi... ou pas. Le constat est clair. Les ventes d'albums (-2 %) et de titres seuls (-3,8 %) continuent de diminuer sur le marché physique.

Il faut donc croire que malgré le téléchargement illégal, l'offre de musique en ligne permet actuellement à plus en plus d'internautes de consommer de la musique. Pour autant, le débat s'engage dès à présent sur le paysage futur de l'offre légale. Il faut dire que le service d'Apple; iTunes, profite des certaines largesses de l'Union européenne. Un constat que confirme Denis Ladegaillerie, président du Snep. Reste donc à savoir quelles seront les alternatives pour développer des plateformes légales. Musique: hausse des ventes sur le net mais baisse des ventes globales - Belga Economie - Trends-Tendances. Mardi 07 septembre 2010 à 07h56 (Belga) Plus de 9 millions d'albums et de singles ont été vendus en Belgique au premier semestre 2010. Le chiffre d'affaires des ventes de musique s'élève à 70 millions d'euros, ce qui représente une baisse de 4,5% par rapport à l'année précédente.

Les ventes de musique via le net sont, elles, en hausse de 20%, relève mardi la Belgian Entertainment Association (BEA). La part de marché des ventes de musique en ligne sur l'ensemble des ventes de musique est passée de 8 à 11%. Plus de 4 millions de singles (principalement numériques) ont été vendus, ce qui contribue à une augmentation de 7% des ventes. L'artiste belge Stromae a eu un énorme succès avec son tube "Alors on danse" en étant à la troisième place de l'Ultratop 50 des singles.

Un peu moins de 5 millions d'albums ont été vendus, ce qui représente une baisse de près de 8% des ventes, les ventes via internet connaissant toutefois une augmentation de près de 33%. Le rebond du marché du disque se confirme au premier semestre - MEDIAS. Musique en ligne : vers une nouvelle distribution des royalties ? La Cour d'appel de San Francisco vient de rendre une décision qui pourrait transformer le marché de la musique en ligne. Eminem et sa maison de production, FBT, considéraient que les ventes de CD et les ventes de fichiers numériques (chansons, sonneries) ne pouvaient donner lieu à la même répartition.

La justice vient de leur donner raison en leur octroyant 50 % des recettes générées par la vente en ligne. Cette décision pourrait transformer la répartition des richesses issues de la vente de musique en ligne. Une Cour d'appel vient en effet de confirmer que la vente de musique au format numérique (chansons, sonneries) ne pouvait être assimilée aux ventes de CD et devait donc donner lieu à une répartition des recettes différente. Eminem, à l'origine de la plainte contre Universal Music, devrait donc toucher 50 % des bénéfices des ventes de musique numérique à la place des 15 % pratiqués actuellement, pourcentage calqué sur la vente de disques. Source : DegroupNews. "Pour la création", Sarkozy est contre la hausse de la TVA sur les FAI (MAJ) - Numerama. La répartition des revenus dans la musique en ligne pourrait être remise en cause - INTERNET UNIVERSAL MUSIC. La Carte Musique Jeune sera lancée fin octobre selon le SNEP.

Musique : les labels doivent encore transformer l'essai dans le numérique - MUSIQUE. L'Hadopi pourrait être gelée ce soir par le Conseil d'Etat - Numerama. Mise à jour : La décision sera rendue le mercredi 15 septembre. Voir le compte rendu de l'audience. C'est ce mercredi à 17 heures que le Conseil d'Etat se réunit en audience de référé pour examiner le recours exercé par le fournisseur d'accès associatif French Data Network (FDN) à l'encontre de deux décrets relatifs à la riposte graduée, essentiels au fonctionnement de l'Hadopi. Si la juridiction administrative donne raison à l'opérateur, les premiers mails devront encore patienter avant d'être envoyés aux abonnés.

Dans un premier temps, FDN avait attaqué le décret du 5 mars 2010, qui crée le fichier Hadopi et détermine notamment les informations que doivent transmettre les FAI à la Haute Autorité lorsqu'elle leur communique des adresses IP d'abonnés suspectés. Spécialiste du droit public, l'avocat Maxime Moulin nous avait adressé une analyse juridique détaillée pour expliquer pourquoi, selon lui, le vice de procédure est avéré. Musique en ligne : l'Allemagne hésite entre payer et pirater. En Inde, la lutte contre le piratage se fait à coup d'attaques DDOS - Numerama. À chacun sa méthode. En Occident, les ayants droit cherchent la plupart du temps à combattre le piratage des contenus protégés par le droit d'auteur en saisissant les tribunaux. En revanche, la lutte anti-piratage est autrement plus musclée en Inde. En effet, pour contrer la diffusion de fichiers couverts par la propriété intellectuelle, certains studios de cinéma n'hésitent pas à recruter des sociétés dont la mission première est de combattre ce phénomène.

Et cela passe parfois par l'utilisation des attaques par déni de service (DDoS) pour faire tomber les serveurs pirates. C'est le cas de Aiplex Software, une entreprise indienne dirigée par Girish Kumar. Selon le Sydney Morning Herald, la société agit finalement comme un tueur à gages numérique. Engagée par les ayants droit, elle a pour mission de lancer des cyber attaques contre des sites hébergeant des films piratés et qui ne répondent pas favorablement aux exigences des studios de cinéma. Généralement, les pirates coopèrent. BMOL [Bibliothèques Musicales On Line] - Musique de Grenoble et d’ailleurs » LE GRUNGE EN 4 MINUTES … OU PRESQUE.

iTunes Ping Draws Fire From Facebook & Indie Music Community. Ping : un million de membres, et quelques déboires plus loin. Ping, le réseau musical censé apporter à iTunes une dimension sociale, aurait enregistré 1 million d'inscrits (iTunes compte, pour rappel, 160 millions d'inscrits) en deux jours. Dans le même temps, la plate-forme, un "mix entre Twitter et Facebook", pour reprendre les termes de Steve Jobs, essuie ses premières critiques.

L'objectif de Ping ? Selon le PDG de la firme de Cupertino, Ping devrait permettre aux abonnés iTunes de découvrir de nouveaux artistes, de suivre l'actualité de ses chanteurs favoris et de "réseauter" musique avec ses amis. L'abonné, qui met à disposition son profil, est disposé à être suivi par ses followers et peut, bien entendu, suivre l'actualité de ses amis et laisser des commentaires sur leurs choix musicaux. Bref, Ping reprend les fonctions classiques des réseaux sociaux à la mode, Facebook et Twitter en tête. Côté potes, il n'est pas chose aisée de créer sa liste d'amis. Laissons du temps au temps. The Ping Problems: Is Apple To Blame, Or The Music Labels? Coming Soon: iTunes App Downloads To Pass Music. Nouvelle stratégie d’Apple: ne pas s’adresser aux early adopters ? » Article » OWNI, Digital Journalism. Steve Jobs ne s'intéresse pas uniquement aux geeks fondus de gadgets : il vise maintenant aussi le marché des personnes réticentes aux nouvelles technologies, trop souvent délaissé.

Une théorie voudrait nous faire croire que, pour s’assurer le succès d’un nouveau produit technologique, il faut d’abord s’adresser aux early adopters. Ce terme, traduit en français par “premiers adopteurs”, désigne toute la population qui veut absolument posséder le dernier gadget technologique dès son lancement. Ici peuvent se ranger toutes les personnes qui font la queue devant un Apple Store ou une boutique Orange/SFR/Bouygues le jour du lancement d’un nouveau téléphone. Les early adopters vont ensuite être les premiers, enthousiastes, à montrer à leur entourage ce nouvel objet, ce qui pourra tendre à inciter une plus grande population à l’acheter.

Ce modèle a été théorisé en sociologie sous le nom de “cycle de vie d’adoption de technologie” et se présente comme sur le schéma suivant : Prenons un exemple. Comment Apple a réinventé la musique. Ping n'est accessible qu'à partir d'iTunes, le logiciel multimédia d'Apple, et esquive donc le passage obligé par le web. Stratégie risquée, mais la firme à la pomme adore les solutions propriétaires. iTunes, lancé en 2001, a connu un succès immédiat, malgré les éternelles récriminations de certains, lui reprochant son modèle fermé, ses DRM (Digital Rights Management, quasiment abandonnés depuis), ces verrous numériques empêchant d'écouter les morceaux sur d'autres lecteurs MP3 que l'iPod.

Car iTunes sert essentiellement à cela: asseoir la suprématie de l'iPod, numéro mondial des ventes de baladeurs numériques. Et ça marche ! Pour la première fois, le grand public peut très facilement, sans abonnement, télécharger de la musique encodée proprement. Consumérisme et mythe du musicien Il s'agit pourtant de tout autre chose: Frank Zappa, dans l'ouvrage "The real Frank Zappa book" (1989), avait déjà imaginé un tel service. On le voit, notre rapport à la musique s'est modifié en profondeur. Amazon s’offre la boutique musicale Amie Street - Business sur L'Informaticien.

Manœuvres d’été dans le « cloud » : Spotify en terrain miné (3/4) - Web 1,2,3 - ElectronLibre. Manœuvres d’été dans le « cloud » : aux frontières de la copie privée (4/4) - Web 1,2,3 - ElectronLibre. Aujourd'hui, le gagnant c'est... spotify. Le 1er Septembre fut-il un jour comme un autre? Peut être pas. Et peut être qu'il serait au contraire opportun de marquer cette journée d'une pierre blanche pour ceux que l'avenir de la musique dématérialisée intéresse. Car c'est ce jour là qu'Apple n'a finalement... rien annoncé. Mieux encore, la firme Californienne a fait aveu d'échec, Steve Jobs reconnaissant que les majors n'avaient pas voulu accepter les conditions commerciales qu'il leur a proposé concernant le lancement de son offre Lalatunisée et cloudisée...

Spotify dispose donc momentanément d'une opportunité, avec l'absence de challenger. Reste que la route sera longue avant que la domination de Apple ne soit sérieusement entamée, et mine de rien, la pomme croquée commence à placer ses pions afin de rattraper le terrain perdu : après l'acquisition de Lala.com, c'est à présent l'annonce de Ping qui représente un mouvement significatif. Music Business en vrac #25 | Yes Men, Reverbnation, 720° et toujours spotify. Musique en ligne : enfin un vrai challenger pour Apple ? Twitter power: how social networking is revolutionising the music business | Media. In decades gone by, misunderstood teens with questionable personal hygiene would gather in cramped independent record stores to share excitement about new music, enthuse about rare singles and discover other lost souls with a passion for southern Californian cowpunk.

But with the number of independent record stores in terminal decline and the boundaries of the internet limitless, online music social networks have sprung up to meet the demands of gregarious music lovers who want to share ideas and loves. Tuesday sees the launch of The Pic-Nic Village, a new social networking site created by Pete Lawrence, founder of the Big Chill festival, which will be funded and run entirely by its users – the most recent of a wave of music social networking sites that is revolutionising the way people discover music. The new social network Meanwhile Ping, launched last week and based on iTunes, has already attracted more than 1 million users, according to Apple. Reportage - The music industry’s new business model. Something strange has happened to pop music since I began reviewing it in the late 1990s. In the past, how you listened to music played second fiddle to what it sounded like.

Only finger-sniffing audiophiles cared whether you listened to Nirvana’s Nevermind in 1991 on vinyl, cassette or CD. To everyone else the point was the album itself. No longer. Nowadays the format of music, the way it’s sold or listened to, overshadows everything else. MP3 players, internet streaming services, MySpace, mobile phones: music is everywhere. Good news for listeners but perplexing for record companies, who are seeing revenues from recorded music dry up as the old ways of doing business crumble.

It’s symptomatic that the most significant album of the modern age, the 2000s equivalent of Nirvana’s Nevermind, should be Radiohead’s In Rainbows, whose importance lies not so much in the excellence of its songs as in the ground-breaking way it was sold – or not sold. The talk of creative freedom is beguiling. Spotify Poetry.