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03/05 - 09/05 Actu Musique en ligne

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Nouveau logo hadopi en grand. C'est cet après midi que Hadopi se réunissait pour une conférence de presse afin de nous présenter, tenez vous bien... son nouveau logo ! Waouhouuuhoouuuu ! Je suis heureux de voir l'argent de mes impôts dépensé de la sorte... Effectivement, il devenait urgent de le changer ce logo car celui-ci était une véritable insulte à la propriété intellectuelle... En effet, l'ancien logo, en plus d'avoir un joli nez de clown (ridicule) avait été dans sa version initiale, réalisé avec une police de caractère "piratée". Bel exemple pour la jeunesse :-D Enfin, le mal est réparé et le nouveau logo a été dévoilé (voir entête de ce post) On dirait un logo de pompes funèbres... Mais trêve de blabla, mis à part ce relooking graphique, qu'avait donc de si important à annoncer l'Hadopi aux journalistes ?

Et bien pas grand chose... Et must of the must de l'annonce, Hadopi s'occupera (en plus du p2p) du streaming... Du coup, je suis super déçu... [Source] Vous avez aimé cet article ? Quels obstacles restent attendus sur la route de l'Hadopi ? - Nu. L'information la plus attendue délivrée par l'Hadopi lundi soir est qu'il sera "techniquement possible" d'envoyer les premiers e-mails d'avertissement à la fin du mois de juin, mais que dans les faits la procédure sera suspendue à la réunion d'au moins deux conditions : La publication des décrets qui définissent l'infraction de négligence caractérisée, et la procédure à suivre devant la commission de protection des droits de l'Hadopi ; L'autorisation de collecte des adresses IP par la CNIL.

Les dossiers n'ont été déposés à la CNIL que la semaine dernière, et la Commission dispose jusqu'à quatre mois (deux mois renouvelables) pour rendre son avis. Il y a aurait dû y avoir une troisième condition, mais passons sur la publication des fonctionnalités pertinentes des moyens de sécurisation, puisque comme nous l'avions révélé, l'Hadopi est décidée à passer outre. Elle avertira les internautes de leur obligation de protéger leur accès à Internet sans leur dire comment. 1. 2. L'Hadopi va-t-elle s'attaquer aussi aux streaming, newsgroups et. Dans le ventre d’Hadopi... - Peer2peer - ElectronLibre.

Journée Mondiale contre les DRM le 4 mai 2010 | Ligue ODEBI. Carte musique : des quotas pour éviter la domination d'Apple - T. Des subventions gouvernementales pour la musique en ligne, oui, mais à condition de respecter des quotas. Le ministère de la Culture s’inspire de la politique agricole commune (PAC) en matière de création artistique. La Carte musique, qui doit être lancée fin juin, sera soumise à des quotas pour que ni Apple avec son service iTunes, ni le site Deezer, ne raflent une grande partie des aides d’Etat. Un seul acteur ne pourra bénéficier de plus de 30% du budget total alloué à cette carte. Ce pourcentage peut encore évoluer en fonction des derniers arbitrages interministériels. Financées pour moitié par le gouvernement, ces cartes réservées au 12-24 ans seront payées 5, 10 ou 25 euros mais leurs valeurs faciales sera deux fois plus importantes. Un même acheteur ne pourra disposer d’un crédit supérieur à 50 euros par an.

La part gouvernementale devrait resprésenter un peu plus de 20 millions d’euros au total. Le disque plonge. Haque année, l'Ifpi (International Federation of Phonographic Industry) dresse le bilan des ventes mondiales de musique enregistrée. Avec un chiffre d'affaires global de 17 millions de dollars, celui de 2009 fait apparaître un repli de 7 % du marché global, déjà en recul de plus de 8 % l'année précédente. Alors que les disquaires se raréfient dans le monde, la musique en ligne représente aujourd'hui plus de 12 millions de titres, vendus sur quelque 400 plates-formes officielles de téléchargement. Le numérique à la rescousse Et si les ventes de CD continuent de baisser, le téléchargement payant de fichiers numériques, lui, progresse de 9 % et représente désormais un quart des ventes de musique enregistrée : une valeur dix fois supérieure à ce qu'elle était en 2003, équivalente à 4,3 millions de dollars.

Dans une trentaine de pays, la vente par téléchargement payant a même connu une croissance à deux chiffres. La France traîne la patte Susan Boyle contre Jackson. Médias & Publicité : Le marché français de la musiqu. Les ventes physiques et numériques ont progressé de 8 % en France au premier trimestre 2010, pour atteindre 128,6 millions d'euros.

Le rebond, enfin. Au premier trimestre 2010, le marché français de la musique a progressé de 8% pour atteindre 128,6 millions d'euros, a révélé mardi matin le Syndicat national de l'édition phonographique (Snep). Cette performance inédite après plusieurs années de forte baisse doit beaucoup à la reprise des ventes de supports physiques. En effet, ces dernières représentent toujours l'essentiel du marché, générant 105,5 millions d'euros de chiffre d'affaires pour les éditeurs. Fait nouveau, elles ont progressé de 4,3% sur la période. Moins important en valeur (23,1 millions d'euros), le numérique a également été moteur de croissance grâce à une hausse de 28,7% des ventes. «La situation reste fragile même si nous commençons à tirer les fruits de nos investissements sur le numérique», tempère David El Sayegh, directeur général du Snep.

Le marché de la musique enregistrée se redresse en France, selon. Le marché du disque gagne 8 % de croissance au 1er semestre 2010. Publié le mardi 11 mai 2010 Version imprimable Musique enregistrée Les chiffres clés du marché de la musique enregistrée au 1er trimestre de l’année 2010 (ventes gros éditeurs H.T. nettes de retours et remises) Au cours du premier trimestre 2010, le marché de gros de la musique enregistrée a représenté 128.6 millions d’euros, dont : 105.5 millions d’euros pour le marché physique (+4.3 %), 23.1 millions d’euros pour le marché numérique (+28.7 %). Aujourd’hui, le chiffre d’affaires de la musique enregistrée est composé par les ventes physiques à hauteur de 82 % et par les ventes numériques à hauteur de 18 % (contre respectivement 85 % et 15 % au premier trimestre 2009).

LES VENTES PHYSIQUES DE MUSIQUE ENREGISTREE : 105.5 millions d’euros (+ 4.3 %) (Ventes gros H.T., nettes de retours, remises et ristournes) Pour la première fois depuis 2005, le marché physique connaît une progression. Pour le marché audio : +3.8 % pour le marché vidéo : +8.7 % Enfin le poids du streaming passe de 7 % à 11 %. Le numérique pèse 18% du marché de la musique en France. Le marché de gros de la musique enregistrée (physique et numérique) a progressé de 8% en France au premier trimestre 2010 par rapport à la même période de l'an dernier, a indiqué mardi le Syndicat national de l'édition phonographique (Snep) lors d'une conférence de presse. Les chiffres présentés par le Snep font état d'une augmentation de 4,3% des ventes physiques (-16% pour les singles mais +4% pour les albums et +8,7% pour la vidéo) et d'une envolée de 28,7% du numérique (-21,8% pour la téléphonie mobile mais +26,9% pour les abonnements, +50,5% pour le téléchargement internet et +103% pour le streaming).

C'est la première fois depuis 2005 que les producteurs enregistrent une hausse du marché au premier trimestre. Le marché de gros, à 128,6 millions d'euros, est cependant loin d'avoir retrouvé son niveau de 2002 (305 millions d'euros pour le physique). Quelques chiffres de l’industrie musicale | Zik’n'Blog. Je ne peux m’empêcher de commencer ce billet par le résultat du sondage effectué par Ad Hoc Recherche auprès de plus de 500 Québécois durant la période du 10 au 23 février 2010 qui révèle que 15% (il y a 5 ans en parlait de 8%) des Québécois affirment que la majorité de la musique qu’ils possèdent provient de téléchargement gratuit. Dans ce sondage, il n’est pas précisé s’il s’agit de musique piratée ou obtenue légalement (oui oui, c’est possible) ni si la musique possédée est écoutée régulièrement (ben oui des fois on télécharge mais on n’écoute jamais). Je n’aime tellement pas les sondages… Il y a aussi l’expansion qui révèle que Le numérique pèse 18% du marché de la musique en France .

Mais il y a surtout deux analyses plutôt intéressantes que je souhaitais aussi vous faire part concernant la part reversée aux artistes par rapport aux ventes ou aux diffusions sur internet. Pour finir, Bidibule a mis à jour son comparatif de labels participatifs que tout le monde attendait. Le streaming gagne ses galons de source de revenus pérenne. Selon les chiffres rendus publics cette semaine par le SNEP, sur le marché de gros de la musique enregistrée au premier trimestre 2010, le streaming connait une très forte croissance en valeur et représente sur la période, hors abonnement, près de 3 % des ventes globales et 11% des ventes numériques.

Même gratuit et financé par la pub, il devient incontestablement une source de revenus pérenne. Prié de préciser les raisons qui selon lui expliquent la hausse du marché de gros hors taxe de la musique enregistrée en France au premier semestre 2010 (+ 8 % en valeur, à 128,6 M€), le SNEP évoque la bonne tenue des ventes de CD (les ventes de gros ont progressé de 4,3 % en valeur, malgré une baisse du marché de détail de 7 % sur la période) mais aussi une restructuration du marché numérique (+ 28,7 % en valeur sur la période) autour de modèles de revenus pérennes. Le streaming, même gratuit et financé par la publicité, en fait incontestablement partie aujourd'hui. Plusieurs millions d'écoutes. Michael Robertson veut révolutionner la radio. L'américain Michael Robertson a toujours été un incorrigible fomentateur de ruptures technologiques et économiques, dont l'industrie de la musique et des médias devrait avoir appris, depuis plus de dix ans, à suivre les pérégrinations, pour mieux se projeter dans l'avenir.

Son prochain objectif : révolutionner la radio. Le site Mp3.com, lancé à la fin des années 90 par l'américain Michael Robertson, ne préfigurait-il pas ce qu'est devenu dix ans plus tard MySpace ? Et que dire de Mp3tunes, son service de stockage déporté de la bibliothèque musicale des internautes sur des serveurs Internet, qui préfigure depuis cinq ans déjà tous les services de « cloud computing » que des acteurs majeurs de l'Internet, comme Apple et Google, s'apprêtent à lancer désormais ? Aussi sa dernière initiative, Byo.fm, devrait-elle questionner non seulement les acteurs de l'industrie musicale mais plus encore, ceux de l'industrie des médias en général, et de la radio en particulier.

Refonte numérique. Mediasic s'est retiré sur la pointe des pieds. Alors que Myspace est devenu l’endroit où il ne faut surtout plus être sous peine de se faire étiqueter digital has been , les temps sont durs pour ses clones français. Hitmuse, Nomajors, Soundtribes ont déjà passé l’arme à gauche. A son tour Mediasic, la plate forme communautaire musicale qui rêvait de partager ses revenus publicitaires avec les artistes s'est retiré du web sur la pointe des pieds . Après deux ans d’aventure, Mediasic a donc fermé ses portes. Selon ses fondateurs, le trafic généré ne permettait même pas de maintenir «le paiement des serveurs et des différents services. Pour ceux qui auraient besoin de se rafraichir la mémoire , voilà ce que l'on pouvait dire de mediasic il y a quelques mois :

100 services de musique en ligne au banc d’essai | B comme BoxSo. 100 ? Oui 100. Je vous arrête tout de suite, le banc n’est pas le mien. Oui y-a des limites. C’est l’observatoire de la musique qui s’y est collé. Dans son Etat des lieux de l’offre de musique numérique. Un document fort instructif qui tente de dresser un panorama presque exhaustif des services qui permettent d’écouter, partager, acheter de la musique. Il y en avait 92 dans l’étude précédente déjà présentée ici : 92, le nombre de sites de musique en ligne Etats des lieux de la musique en 2009 Avant de les décrire, l’observatoire fait un état des lieux du marché numérique : la consolidation, l’arrivée de nouveaux entrants (les grands de l’informatique, du web genre google, les petits nouveaux à la spotify) et s’interroge assez justement sur la capacité des français à suivre dans la bataille de titans qui s’engage.

Suit un rappel assez juste sur le modèle économique de la musique en ligne (ou plutôt l’absence de modèle). La vente de musique en 2009 Pas de surprise. Oui voilà. Jean-Sébastien Zanchi | Qui oserait dire qu’il achète autant de. Jean-Sébastien Zanchi ? C’est mon nom. Plutôt qu’utiliser un pseudo, je préfère mon nom, histoire d’assumer tout ce que je dis et d’être le plus transparent possible. Question d’honnêteté. Good Karma ? Mon blog autour de la musique. J’ai vraiment débuté ça dans mon coin et il a pris des tournures insoupçonnées (toute proportion gardée). J’y fais essentiellement des comptes-rendus de concert, des chroniques et du nouveau va arriver tout bientôt, mais c’est encore un secret. Si tu ne devais garder qu’une chronique ? Peut-être le live report du concert de Cocoon. Comment découvres-tu la musique aujourd’hui ?

Il y a plein de manières de découvrir de la nouvelle musique : Internet (forcément), les concerts, les agences de promos, mais mon canal principal reste bizarrement mes amis. La musique gratuite sur le net c’est le bien ou le mal ? Les deux. Un truc qui te parait évident et que personne ne voit dans l’industrie musicale aujourd’hui? Très franchement, je ne vois pas trop. Nouvel état des lieux de l’offre de musique numérique. Publié le jeudi 6 mai 2010 Version imprimable Musique enregistrée Cette cinquième étude s’appuie sur une grande diversité d’opérateurs intervenant dans la distribution/diffusion de contenus musicaux puisque le recensement porte sur 18 boutiques généralistes, 15 boutiques spécialisées, 10 portails, 12 radios et 19 services de streaming, 10 sites communautaires, 5 sites éditoriaux, 4 sites de création/remix et 7 sites web player.

Ces 100 services ont été sélectionnés, en fonction de leur représentativité dans le paysage internet français, leur degré d’innovation ou leur singularité. Le panel Itunes, AmazonMP3, Napster, Rhapsody, Emusic, Virginmega, Fnacmusic, Musicme, Qobuz, Starzik, Airtist, Lala, Amiestreet, My Mojo (ex Spiral Frog), Qtrax, We7, Cellfish, Thumbplay. Conclusion Une offre appauvrie ? Type de contenu Le titre et l’album restent le type de contenu en croissance, notamment dans les boutiques en ligne. La fin des sites web ? Prédiction sur le marché de la musique... révisions après. Plusieurs pays, la Hollande, l'Angleterre, et à présent la France, viennent de faire état d'un arrêt de la baisse des ventes dans la musique. Excellente nouvelle, qui est assez conforme à ce que nous avions pronostiqué, à quelques points -majeurs certes- dans notre post, " pourquoi la chute du marché de la musique va maintenant s'accélérer " vieux à présent de près de sept mois. A mi parcours de l'année (à peu près), il est intéressant de faire notre auto-critique et de tacher de voir ce qui y est juste et ce qui ne l'est pas.

Voici donc les dix prédictions initiales . c'est même d'une hausse dont il s'agit en France, aux UK mais pas aux USA. Celle-ci reste difficilement explicable et le SNEP est guère dissert sur ce point. . {*style:<b><i>Plus que vrai </i>... </b>*} : pas beaucoup de signaux déterminants, mais encore une fois, le streaming devient plus qu'un ennemi du mp3, que personne ne regrettera vraiment. , il est déja largement en baisse, selon l'ensemble des études sur le sujet. . Google poursuit une maison de disques qui hésitait à poursuivre. Playdio + Spotify = Legal Full Songs For Podcasts. Le Transistor » Tribune libre » Ecoute ça, tu vas aimer.

Revue de presse, revue de blogs de la semaine. Music and Tech Recap - April 2010 Edition | creative deconstruct. Musique Business en Vrac #22 | DiY, Arnaque 2.0 et revenus du st. Gotsky - Hypo & Nobuko Hori & Sawako - Sic Slac. Gotsky - Wax Taylor - Say Yes. Discograph. The Josephine Wiggs Experience – Bon Bon Lifestyle | Random Song. Marion Cotillard se lance dans la poésie avec David Lynch.