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01/12 - 12/12 Musique en ligne

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Musique et réseaux sociaux : une relation amour/haine ? » Article » OWNImusic, Réflexion, initiative, pratiques. La recommandation, notamment via les réseaux sociaux, occupe une place primordiale dans la manière dont la musique est aujourd'hui partagée. Garrett Goodman dresse un bilan de ces mutations et des outils qui les permettent. Le simple fait d’être un internaute avisé visitant OWNImusic veut dire que vous avez été, d’une manière ou d’une autre, victime de la “musique sociale”. Vous avez peut-être vous même partagé, supporté ou vanté un de vos groupes, chansons ou artistes préférés auprès de tous vos amis virtuels. En faisant cela, vous avez peut-être contribué à la disparition de l’expérience bouleversante, de la frénésie qu’engendre l’écoute d’un concert live. Ou peut-être avez vous simplement partagé une chanson géniale avec vos connexions sur Internet.

Cette musique sociale, cette musique en réseaux, est-elle la meilleure amie des groupes ou leur pire ennemie ? Musique socialisée L’industrie de la musique en ligne commence à prendre un sérieux tournant. Ping flop Cette vidéo est en anglais. Absent aux États-Unis, Spotify passe le cap des 750 000 abonnés. En charge des projets spéciaux chez Spotify, Shakil Khan a annoncé la bonne nouvelle sur Twitter. Le service d'écoute de musique en ligne réunit désormais plus de 750 000 internautes autour de sa formule Premium à 9,99 euros par mois. Neuf mois plus tôt, en mars, la solution payante n'avait séduit "que" 320 000 abonnés en Europe. Une progression d'autant plus remarquable que le service n'est pas disponible aux États-Unis.

Pour inciter les internautes à opter pour un compte Premium, Spotify propose un certain nombre de fonctionnalités exclusives. Ainsi, contrairement à la formule gratuite Free, un abonné à 9,99 euros par mois peut accéder au mode radio, profite d'une écoute sans publicité, peut lire de la musique depuis un téléphone mobile ou en mode hors connexion (PC ou mobile) et peut profiter des contenus exclusifs, comme la bande originale de Tron réalisée par Daft Punk. Gaffe! Upgrade forcé des profils MySpace. MySpace a commencé à upgrader TOUS les profils artistes, de l’ancien MySpace vers le nouveau My__ depuis le 29 novembre.

TOUS les profils vont être upgradés si vous ne l’avez déjà pas fait par vous-mêmes. Et seul un million d’artistes ont upgradé leur profil dans le monde. Si vous n’avez rien fait, vous allez donc vous retrouver avec un profil standard et le thème par défaut. Au mieux, vous aviez un profil très simple, sur un layout d’origine, avec vos informations bien remplies dans leurs cadres, vous vous retrouverez donc sur un profil standard nouvelle version. Au pire, vous aviez customisé votre profil, par exemple avec vandelay. Lionel Tilmont ( @vonbrucken sur Twitter) explique que le code est conservé, mais qu’il ne sert plus à rien ( Par contre, vous ne perdez pas ce qui a été uploadé (photos, etc…). Ça vaut le coup d’aller vérifier…. Plus d’information sur l’upgrade: www.myspace.com/upgrade-profile Illustration photo: “We want more”

iTunes allonge la durée des extraits musicaux à 90 secondes. Mise à jour 2 - Après les États-Unis en décembre 2010, Apple vient également d'allonger la durée d'écoute des échantillons de musique à d'autres pays, incluant la France. Les clients de l'iTunes Store peuvent désormais chaque musique pendant 1 minute 30 , au lieux de 30 secondes auparavant. Cet accroissement de la durée doit permettre aux internautes d'avoir plus de temps pour découvrir un titre, pour éventuellement l'acheter légalement ensuite.

Mise à jour - L'allongement de la durée d'écoute des échantillons est désormais effectif aux États-Unis. Sous certaines conditions, les internautes pourront écouter jusqu'à 1 minute 30 de musique. Sujet du 03 novembre - C'est une bonne nouvelle pour les amateurs de musique. "Nous sommes heureux de vous faire savoir que nous sommes en train de préparer l'augmentation de la durée d'écoute des extraits musicaux de 30 secondes à 90 secondes sur l'iTunes Store aux États-Unis. Pour l'heure, cette évolution du service comporte deux grandes limitations. Allomusic se repositionne face à Deezer & Spotify - Vialet's blog. Lancé fin 2009 comme portail de la musique, le site offre aujourd'hui des abonnements d'écoute en streaming et s'aligne sur Deezer.

Allomusic est un portail d'information musical lancé en mars 2009. Il se définit alors comme « le portail français de toutes les musiques ». Allomusic espérait alors atteindre 1,5 millions de visiteurs uniques d'ici mai/juin 2010, et 3 millions d’ici la fin de cette même année. Objectifs remplis ? Lancé par Philippe Abitbol, Patrick Bruel, Gérard Darmon et Manu Katché, le site se voulait un Deezer associé à une richesse éditoriale et de contenus que le site d'écoute ne proposait pas (et ne propose toujours pas). Le site revendiquait alors une pléthore de services : écoute en streaming, téléchargement de titres, location de places de concerts, vente et échange de matériels neufs ou d'occasion, radios thématiques, forums, blogs, quiz, etc. Allomusic nouvelle version : « on gagne à écouter » Le site est dorénavant structuré par grands styles de musique :

A la découverte de Free All Music - Vialet's blog. Solution de téléchargement sponsorisé de titres MP3 reposant sur Facebook. Lancé début 2010, Free All Music, le concurrent anglophone des français Beezik ou MyFanGroup, et piloté par Richard Nailling, ambitionne d'apporter une véritable alternative – gratuite comme le règle le veut – au téléchargement illégal, le tout reposant sur les sempiternels revenus publicitaires. What else? Me diriez-vous. Des services similaires Free All Music se positionne donc sur le même « marché » que l'Australien Guvera.com ou son confrère américain Music Interactive. Ce projet, propulsé outre-Atlantique par Universal Music nous révèle quelques un de ces principes de fonctionnements. Afin d'améliorer le taux de transformation de visiteurs en utilisateurs du service, Free All Music a opté pour une solution radicale mais aujourd'hui très populaire : seuls les membres de Facebook pourront accéder au site, via le protocole d'identification Facebook Connect.

Le résultat visible sur Facebook : Vers un nouveau modèle ? Pour sauver la musique, tuons l’industrie ? - Chroniques de Samuel Degasne. Samedi 11 décembre 2010 6 11 /12 /Déc /2010 01:00 En juin 99, l’arrivée de Napster (site de téléchargement illégal) avait déjà provoqué une sacrée gueule de bois dans les maisons de disques. Une industrie en proie depuis aux spasmes et dont les tentatives de sauvetage interne équivalent à des rustines éphémères... Décryptage. L’industrie musicale ? Une centaine d’acteurs, subdivisés par secteur, ainsi qu’une armée de stagiaires jouant aux chaises… musicales, justement. Tous ont une problématique commune : s’adapter ou disparaître, dure loi de la sélection naturelle depuis que la musique dématérialisée s’est muée en trouble-fête. Et, preuve que le navire coule, on ne compte plus les anciens salariés partis monter leur structure indépendante : Patricia Bonnetaud (ex-Sony) avec Ladilafé Productions, Anne Lamy (ex-Barclay) avec Havalina Records, Thomas Sandoval (ex-Universal Music) avec Orsono Records, etc.

Faut-il pour autant tuer ces géants industriels ? Riester propose de nouvelles perfusions pour l'industrie du disque. Mise à jour 9/12 : Lionel Tardy nous souligne à l'instant que l'amendement Riester venait d'être rejeté finalement du projet de loi de finances rectificative pour 2010. Le député nous indique qu'il a pour sa part voté contre cet amendement. Autre indication qui marque l'engagement des uns et des autres : Riester et Martin Lalande qui avait corédigé cet amendement étaient absents pour le défendre. Première diffusion 8/12 : Dans un amendement à la loi de finances rectificative pour 2010, le député Franck Riester, accompagné de M. Martin-Lalande ou Dassault notamment, propose de modifier le mécanisme du crédit d’impôt dont bénéficient les producteurs du disque (CCIP, ou crédit d’impôt pour la production d’oeuvres phonographiques).

Que souhaite modifier Franck Riester ? Ce dépoussiérage avait été aussi soutenu par le rapport Zelnik, du nom du producteur de Carla Bruni comme le rappelle un câble de Wikileaks. Mesure n°7 du rapport Zelnik Quelle modification ? Que propose Riester ? Nouveau cycle de formation : Musique et Internet. L'actualité professionnelle Disque 10 avril 2014 Disquaire Day 2014 : le programme et le catalogue ! Le 19 avril, partout en France, c’est la fête des disquaires indés. La 4e édition du Disquaire Day organisée par le Calif, débarque dans 235 boutiques, avec près de 300 vinyles concoctés pour l’occasion. L’occasion d’aller faire un tour, ou de découvrir ces boutiques tenues par des passionnés.

Récompense 8 avril 2014 Mathieu Boogaerts, Gesaffelstein...La CSDEM a remis ses Prix de la création musicale Hier soir, le 7 avril, la Chambre Syndicale de l’édition musicale (CSDEM) a remis ses 4èmes prix de la création musicale. Rencontre 8 avril 2014 Le management responsable du spectacle [MAJ : podcast disponible] Le 7 avril, l’Irma, le Map et la Bellevilloise organisaient une table ronde à Paris sur le développement durable et le management responsable dans le milieu du spectacle. Publication 7 avril 2014 Focus : quand la data locale se mondialise Voir tous les articles. Deezer signe un partenariat avec Amazon.fr et Starzik.com. La musique doit-elle être gratuite ? How To Get A Free Tubeify Account. Le temps des grenouilles.

Si j'en crois les statistiques de visites de ce blog , vous êtes nombreux à fréquenter ces colonnes numériques alors que je n'y écris plus grand chose. 3 articles en Novembre! Mon dieu ! Mais où donc passé ma productivité légendaire ? Comme je vous l'avez déjà expliqué, il se trouve que je suis déjà bien occupé par le lancement d'un nouveau projet web. D'autre part , après quelques années d'épinglage en règle de l'industrie musicale, j'ai décidé de prendre un peu de recul.

Il y a quelques jours en discutant avec Hugo Amsellem ( Industriemusicale.com) , je me suis dis que je vous devais tout de même des explications plus consistantes sur ce silence embarrassant. Plutôt que de me lancer dans un méa culpa digital ou une tirade numérique, je vais vous raconter une petite histoire Deux jeunes filles se promènent cheveux au vent sur la plage de Cannes … Quand soudain, elles entendent une toute petite voix. Le première esquisse un sourire et dit : « Certainement pas ! Bilan - Les 50 meilleurs clips de 2010.

10 Success Strategies for DIY Musicians, Managers & Promoters. Make It In Music Dailies. Gerd Leonhard: Facebook to re-do the content business (says Zuckerberg)… | MIDEMBlog. 15 Reasons Twitter Rocks for Musicians - Amp Music Marketing. I’m probably biased by my own personal recent adoption of the medium (I got an Android phone), but it seems to me that the micro-blogging tool has come of age in the past six months. Twitter has gone mainstream – no longer seen as the preserve of a tech nerd elite with millions of followers (a la @StephenFry) or the crazed world of teenage fandom (a la @JustinBieber), it has been embraced by your grannny and your granddaughter and your local politician. Most notable is that traditional media are now hooked, with everyone from major TV stations, talk show hosts and politicians tweeting their way through the day.

And speaking of the media, in an article in the UK Guardian, that newspapers editor Alan Rusbridger outlines some reasons why adopting Twitter is important for the ‘fourth estate’. In this post I apply Rusbridger’s arguments to the music business to highlight why musicians should be using the medium (original content from the article is in italics). Not all things. Indie Music Tech: Mobile Music Creation Made Easy with Sound Trends. Secrets of the "New Music Industry" that the "Old Music Industry" Doesn't Want to Know. This week's news that the feds seized 82 websites based on allegations of copyright infringement demonstrated that government website seizures can silence innocent speech.

But let's take a broader view for a moment. The domain seizure debacle, the COICA Internet censorship bill, ACTA, and many other short-sighted efforts to eliminate copyright infringement all depend on (a) the traditional entertainment industry's yowling wail that "piracy" on the the Internet is injuring the livelihoods of artists and (b) the US government's chronically uncritical acceptance of those complaints. But the new services catering to musicians are struggling to tell their side of the story — a story that turns out to be substantially more optimistic and instructive. Jeff Price, CEO of TuneCore, posted a fantastic six-part series titled "The State of The Music Industry & the Delegitimization of Artists" that surfaces this new perspective that desperately needs to be heard in the debate. The takeaway? People say the music business is suffering, but it's NOT. - SteveMartin.com.

And the MidemNet Lab 2011 finalists are… Automatic Payments for Your Music? : Thu, 02 Dec 2010 : Music Industry Newswire™ Music Industry Newswire COLUMN: Imagine a world in which you receive money every time your music is played. There are firms that appear to be working to make this dream a reality. Representatives of Soundmouse, Landmark, ASCAP and APM spoke about the intriguing possibilities on a panel presented by the California Copyright Conference. Titled “Digital Recognition Technologies: How Do They Work and How Are They Being Used?”

The evening event focused on the software and machinery being used to identify music tracks by their digital signature. As mentioned in prior columns, there are two basic methods of audio recognition: watermarking and fingerprinting. With watermarking, data is embedded into a song file. Although inaudible, the identifying data is accessible by computer. With fingerprinting, there is nothing added to the file. Whatever the process, the companies state they can prove that their systems work. Landmark Digital Services In 2005, Broadcast Music Inc. WikiLeaks : la loi Hadopi intéresse au plus haut point Washington. LE MONDE pour Le Monde.fr | • Mis à jour le L'ambassade des Etats-Unis à Paris s'est intéressée de très près à la loi Hadopi (qui sanctionne les internautes coupables de téléchargements illicites), car en France, comme ailleurs, la majorité de la musique et des films piratés sont américains.

Les diplomates ont d'abord suivi les diverses péripéties parlementaires autour du projet de loi avec étonnement, qualifiant le comportement des députés français de "théâtre de l'absurde". Ils sont alors entrés en relation avec un conseiller juridique du ministre de la culture, qui leur racontait le cheminement du projet et tentait de les rassurer sur la victoire finale.

L'ambassade travaillait aussi en liaison constante avec les grandes associations de l'industrie américaine du show business, notamment la MPAA (Motion Picture Association of America) et la RIA (Recording Industry Association). Pourtant, les Américains ont du mal à imposer leur point de vue aux Espagnols. Yves Eudes. Hadopi : le plafond des 50 000 IP flashées chaque jour est atteint.

Google prépare une série de mesures pour contrer le piratage en ligne. Dans la lutte contre le téléchargement illicite, l'industrie du divertissement déploie des efforts tous azimuts. Si les ayants droit n'hésitent pas à saisir la justice ou intervenir au niveau du législateur pour essayer de limiter le piratage en ligne, ils cherchent aussi à rallier les professionnels du net à leur cause. Et dans ce domaine, les ayants droit devraient pouvoir davantage compter sur le soutien actif de Google.

La société américaine a annoncé jeudi sur son blog dédié aux affaires publiques qu'elle allait faire davantage d'efforts en faveur de la propriété intellectuelle. Parfois considérés comme le maillon faible de la lutte anti-piratage, les moteurs de recherche - dont la mission est de référencer tout le contenu disponible en ligne - ne sont en effet pas toujours très enclins à modifier manuellement leur index ou leur algorithme de classement. "Il y a plus d'un billion d'URL uniques sur le web et plus de 35 heures de vidéos mises en ligne sur YouTube chaque minute.