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01/10 - 10/10 Musique en ligne

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Hadopi : la France s'est fait "engueuler" par les Etats-Unis. L'information avait déjà filtré sous la plume d'un ingénieur d'Orange qui, en mai 2009, avait expliqué les dangers de l'Hadopi pour le gouvernement français. Elle est aujourd'hui confirmée par Jean-Marc Manach qui, au détour d'un billet passionnant sur un colloque dédié à la cryptographie, cite sur son blog Bug Brother les propos du directeur technique de la Direction Générale de la Sécurité Extérieure (DGSE). En s'obstinant dans la voie de la riposte graduée, la France incite les internautes lambdas à s'armer des mêmes outils de chiffrage de leurs communications que ceux employés par les réseaux criminels, ce qui rend ces derniers difficilement reconnaissables : 'Heureusement pour nous, souligne néanmoins Bernard Barbier, si le chiffre a atteint un très bon niveau et que la crypto est de plus en plus normalisée, elle ne l'est pas forcément correctement, (et) c'est le bazar total' pour ce qui est de son implémentation.

LOI ANTIPIRATAGE : HADOPI - Frédéric Mitterrand vitupère contre Free, actualité Médias 2.0 : Le Point. Pas content, Frédéric Mitterrand. Alors que les premiers mails d'avertissement de la Hadopi ont été envoyés depuis lundi par certains opérateurs télécoms (Bouygues Telecom, Numericable...), Free fait de la résistance. "Le revirement de Free, qui a décidé lundi de ne pas transmettre, à ce stade, à ses abonnés les messages d'avertissement, en violation formelle de ses obligations légales, est inacceptable", juge le ministre de la Culture à travers un communiqué.

La Rue de Valois intime à Free de mettre fin à ce manquement "dans les meilleurs délais". "Un fournisseur d'accès qui ne se conforme pas à ses obligations légales devra donc en supporter les conséquences judiciaires et financières. Un décret précisera incessamment les sanctions prévues dans ce cadre", prévient le ministère de la Culture. L'attitude de Free, bercée d'une culture libertaire, n'est pas une surprise.

Haute Autorité pour la diffusion des œuvres et le brassage culturel sur internet. Airbuzz annonce un premier bilan positif. Lancé le 21 juin dernier, Airbuzz.fr , la plate forme musicale mobile qui se veut équitable, fait son premier bilan. En 3 mois, 10 000 mobinautes se sont déjà connectés et 300 groupes ou artistes y ont créé un profil. Le blog d'un artiste accroché à sa carte bleue dans un monde en crise s'est penché sur le cas Airbuzz... Des chiffres, des chiffres...Dans un communiqué de presse qui m'a été envoyé hier soir, Airbuzz dresse un 1er bilan positif ( Car évidement on ne t'écris jamais pour te dire: « Hey mec on s'est complètement planté !) En s'appuyant sur des chiffres.... 60% des artistes inscrits ont eu au moins un titre téléchargé. 90% des titres téléchargés sont téléchargés gratuitement 300 groupes ou artistes sont inscrits 1500 titres sont disponibls dans la base Airbuzz La plate forme affiche 10 000 visites en 3 mois. uniqué de presse annonce le lancement de cette offre le 30 septembre, mais visiblement l'offre n'est pas encore en ligne.

Airbuzz, combien ça coûte ? Industries créatives et promotion en ligne : quels outils pour la musique ? Voici un évènement ci-dessous organisé par l'Atelier Français, dont le Social Media Club est partenaire. J'animerai cette table, qui s'annonce bien remplie:) Descriptif : Nous sommes aujourd’hui amenés au constat suivant : les dispositifs participatifs ont profondément modifié le rapport entre les industries culturelles, les artistes et les amateurs qui les apprécient. Toute stratégie de web marketing comprend désormais la nécessité d’être présent sur les réseaux sociaux et d’exploiter au mieux les techniques de référencement sur internet. Mais le secteur de la musique a aujourd’hui à disposition de nouveaux outils de promotion en ligne qui ouvrent la possibilité d’engager encore davantage le public dans une relation directe avec les artistes et les labels. Playlive, Noomiz ou MXP4 sont des projets numériques innovants qui dessinent de nouvelles médiations entre l’industrie musicale et ses consommateurs.

Ils ouvrent de nouvelles possibilités pour la promotion des artistes en ligne. Contenus : l’heure du Cloud a sonné » Article » OWNImusic, Réflexion, initiative, pratiques. Benoît Darcy se penche sur l'une des révolutions dans le domaine de l'accès aux contenus, notamment musicaux : le cloud. Nous assistons aujourd’hui à un paradoxe étonnant : le dynamisme le plus fort de l’industrie musicale est ces dernières années observé dans son secteur le plus volatil. Les concerts. Il s’agit presque d’un retour aux sources. On accorde désormais une plus grande valeur à l’écoute de musique reproduite par des humains, sans enregistrement.

C’est pourtant bien l’enregistrement de la musique qui a depuis des décennies façonné son histoire. Tout au moins son évolution. Une histoire jalonnée de révolutions Selon Wikipedia, La première invention permettant l’enregistrement sonore fut réalisée par le français Édouard-Léon Scott de Martinville qui mis au point et breveta en 1857 le phonautographe, appareil qui enregistre le son sans toutefois pouvoir le restituer. Le vinyle fera une bien belle carrière dans l’industrie de la musique. Dans les années 80, arrive le numérique. Accord Sacem/YouTube. Oui, mais… » Article » OWNI, Digital Journalism. L'accord conclu entre le site de partage de vidéos et la société française de gestion des droits d'auteurs dans le domaine de la musique est loin d'être totalement satisfaisant. Après plus trois ans de négociations, la Sacem et YouTube ont conclu un accord rendu public le 30 septembre 2010.

Selon l’article du Monde [1], ce contrat couvre la diffusion en ligne par YouTube du répertoire musical géré par la Sacem et la période du 1er janvier 2006 au 31 décembre 2012. Si l’on ne dispose pas de tous les détails de l’accord, le montant versé par YouTube serait calculé en fonction de la part de marché de YouTube et des montants versés par ses concurrents pour la période 2006-2010, puis en fonction du nombre de vidéos visionnées par jour et des types de formats publicitaires associés pour la période 2011-1012.

Fourniture des données statistiques de visualisation Il faut encore demander l’autorisation des producteurs, voire celle des artistes-interprètes Références 1. 2. 3. 4. 5. ElectronLibre. Musique en ligne : pourquoi l’Adami propose la gestion collective. Lundi 4 octobre 2010 1 04 /10 /Oct /2010 12:12 L’Adami, qui soutient l’idée d’une gestion collective des droits des artistes pour toutes leurs diffusions en ligne, « telle que recommandée par le gouvernement en janvier 2010 », le réaffirme au moment où Emmanuel Hoog mène une médiation pour sa mise en œuvre. « L’hostilité affirmée des principaux producteurs à ce projet nous fait craindre son échec.

Il s’agit pourtant d’un engagement fort repris par le Président de la République » souligne-t-elle en indiquant que « si cette concertation n’aboutissait pas, les artistes comptent sur le Parlement pour que cette proposition ne reste pas lettre morte ». Elle rappelle au gouvernement ses engagements à savoir, en pareil cas, le possible recours à la loi.

Garantir le développement des plateformes Nouvel élan pour la diffusion musicale L’Adami considère que la gestion collective de la musique en ligne apporterait : Un bénéfice pour tous les créateurs Transparence des tarifs et partage rééquilibré. En vérité je vous le dis, la long tail est vraiment une bitch…. Etape 17 | Le fan mode d’emploi. iTunes : un abonnement pour télécharger de la musique en illimité ? Apple va-t-il étoffer son offre musicale en proposant de nouveaux services à ses clients ? D'après une information du New York Post, la firme de Cupertino serait en discussion avec les quatre principaux labels de musique pour lancer dans les prochains mois une nouvelle formule sur l'iTunes Store. Celle-ci prendrait la forme d'un abonnement mensuel permettant d'accéder en illimité à un catalogue musical spécifique.

Selon le quotidien américain, qui s'appuie sur des sources anonymes internes, le service proposerait plusieurs abonnements allant de 10 à 15 dollars (environ 7 à 11 euros). Cela laisse donc supposer que la taille du catalogue dépendra du montant déboursé chaque mois par l'abonné. Il n'est en revanche pas certain qu'un abonnement plus important offre des services ou des fonctionnalités supplémentaires. Surtout, le service d'abonnement serait l'occasion pour Apple de renforcer ses positions dans le secteur de la musique en ligne.

Apple Plots iTunes Music Subscription Service And How To Stop Spotify. (UPDATED) Apple is in serious talks about a music subscription service and once again the major label heads appear ready to do whatever Cupertino asks them to do. iTunes head Eddy Cue has recently been in touch with label execs to "figure out how the partners can move forward," according to the NY Post. The new music service would reportedly be priced in the $10 - $15 range depending access and portability. Subscriptions could be tied to an iTunes in the cloud service, but at least one report suggests that Apple's desire to add subscription music has more to do with stopping a Spotify entry into the U.S. Major Labels Fall Under Apple's Spell Again: Music subscriptions are not new. Rhapsody, Napster and others have been offering them for years with only moderate success. But an iTune's music subscription service appears to sound new and sexy to the struggling labels.

There are at least two major problems with Apple's hypothesis that the labels are choosing to ignore. Apple savonne la planche à Spotify ? Le lancement de Spotify a été reporté à plusieurs reprises aux États-Unis. La start-up suédoise qui espère lancer son service d’ici la fin de l’année, peine à finaliser les négociations notamment avec les majors.. Et il semble qu’en coulisse, Apple fasse le nécessaire pour les dissuader. La firme de Cupertino doute que ce type de services puisse générer des revenus significatifs pour les maisons de disque. Selon elle, le seul impact que cela pourrait avoir, c’est de faire baisser les ventes de musique en ligne. Quand on connait l’importance d’iTunes outre-Atlantique… Spotify arrive de plus à un mauvais moment, le « gratuit financé par la publicité » ne fait plus rêver les majors.

Et c’est sans doute pour cela que les négociations patinent. [INTERVIEW] Oxmo Puccino, rappeur geek. Thounds - What music are you thinking? Trent Reznor et Daft Punk innovent en matière de BO en ligne - Tendance. Ce n'est pas nouveau, les labels et distributeurs proposent déjà l'achat de leur BO en ligne depuis plusieurs années via un site dédié (ou juste une page) :TWILIGHT ECLIPSE a proposé sur son site ( un blog avec une boutique et des vidéos, THE DARK KNIGHT ( a aussi sa boutique avec quelques news, l'écoute en streaming et des vidéos de sessions d'enregistrement.

Tout cela demeure tout de même prévisible. Même AVATAR, film qui s'annonçait révolutionnaire, ne l'est pas sur la toile, en proposant une boutique, le teaser, avec comme seuls bonus (dans la rubrique "Extra") la possibilité de charger des Widgets et d'écouter le thème en streaming. Deux cas proposent une visibilité inédite de la BO grâce à l'expérience de deux artistes de l'industrie musicale (plus en avance que l'industrie cinématographique en matière de promo numérique).

THE SOCIAL NETWORK - Trent Benoit Basirico. Steve Albini, l’underground est un sport de combat - A la recherche des sons perdus - Blog LeMonde.fr. "Ici dans le monde réel, nous devons payer pour nos disques. Et nous nous faisons exploiter par l'industrie musicale, qui utilise des bouffons comme toi pour nous manipuler. Nous concevons la musique comme quelque chose ayant de la valeur, et la méthodolgie comme une part non-négligeable, voir cruciale de l'esthétique d'un artiste.

Tu ne "comprends" pas ça parce que tu est financé par une industrie qui ne gagne rien à voir des artistes exister en dehors d'elle, ni quand on choisit des disques dont on a envie plutôt que ceux qu'on nous dit d'acheter. (...)Les artistes qui survivent grâce à la hype sont souvent les créatures des critiques musicaux. Cependant, ils ne font pas de musique classique et intemporelle, de celle qui survit aux modes et inspire des générations de fans et d'artistes. Il existe des artistes à Chicago qui font précisément cela, mais tu n'écris pas sur eux.

Tu gardes ton ardeur pour les soldes promotionelles de l'année. Shellac - Prayer to God Shellac - Squirrel Song. Why We're Less Happy With Music Now Than Ever: The Paradox of Reversible Decisions. At their core, BitTorrent and LimeWire are a flight simulators, not a piracy machines. Their appeal is in their ability to let fans preview their music decisions, not solely because they enable fans to download music for free, without paying for it. That they don't buy the music once they have it is a consequence of the process, not the end result.

Fans have always desired to hear music before they buy it. Too many have bought lackluster albums and felt burned. To this day, file-sharing remains the most hassle free, easy-to-use method of previewing music before it's bought. Whether music is purchased through iTunes or a big-box retailer, the decision is irreversible. That means that they also made a bad decision. These days, it would be a hard argument to say more fans are using file-sharing programs to preview music than they are to avoid paying for it. Decisions And Revisions From a set of fine art reproductions, students were allowed to choose one. Stuck With It As it turns out—yes. Analog audio tape cassette nostalgia - tapedeck.org. Tapedeck.org is a project of neckcns.com, built to showcase the amazing beauty and (sometimes) weirdness found in the designs of the common audio tape cassette. There's an amazing range of designs, starting from the early 60's functional cassette designs, moving through the colourful playfulness of the 70's audio tapes to amazing shape variations during the 80's and 90's.

We hope you enjoy these tapes as much as we do! The compact audio cassette medium for audio storage was introduced by Philips in 1963 under the name Compact Cassette. Although there were other magnetic tape cartridge systems at the time, the Compact Cassette became dominant as a result of Philips' decision (in the face of pressure from Sony) to license the format free of charge.

It went on to become a popular (and re-recordable) alternative to the vinyl record deck during the 1970s. During the 1980s, its popularity grew further as a result of the Sony Walkman, with cassette sales overtaking those of LPs.