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01/03 - 07/03 Actu Musique en ligne

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Mymajorcompany : Ce que personne ne dit. Music Business en vrac #16 | La musique en 2000, Moozar en clair. Débat " Label participatif : Qu'est ce que ça vaut ?" sur Europe. 5 logiciels gratuits pour faire de la musique sans rien y connaî. Après un début de semaine particulièrement stressant , j’ai décidé de jouer la carte détente sur le blog d’un artiste en développement dans un monde en crise. Vous mourrez d’envie de faire de la musique mais vos souvenirs de la méthode rose sont lointains et votre carte bleue fait grève. Pas de panique, vous êtes tombé du bon côté du web. Voici 5 façons de libérer votre créativité… Rebirth 2.0 Les gentils développeurs de Propellerhead Software's avaient déjà eu la bonne idée de distribuer chez Micro application une version light de leur logiciel star Rebirth pour moins de 15€ .

Www.rebirthmuseum.com TuaregAuteur de nombreux logiciels de composition musicale dont la très connue « Hammerhead » sur pc, Bram Boss diffuse légalement sur son site « Tuareg » dans une version à peine limitée. Rubberduck , Drumstation... Pionners en matière de synthétiseurs logiciels, les petits gars de D-Lusion sont depuis passé à autre chose.

Acid Xpress. Un monde sans majors? La lecture de nombreux posts -généralement de provenance outre atlantique- est tout à fait instructive à cet égard. Pour beaucoup, la question se reformulerait ainsi : qui pourrait devenir la sixième Major et quel sera son modèle? The Orchard, label numérique, est plus que souvent cité. Certes, ils n'ont absolument pas la taille critique qui leur permet de se comparer à une major, mais le fait qu'ils connaissent depuis maintenant 13 ans une progression régulière de leurs ventes ne cesse d'intriguer. Au delà de la croissance, un élément nous semble intéressant à relever : the Orchard ne marche pas de la même manière que les Majors et ne ressemble qu'assez peu aux indépendants, tout au moins en mode opératoire.

L'astuce est que The Orchard privilégie la promotion online et à ce titre dispose d'une offre à peu près inégalée. un artiste pourrait (nous n'avons pas essayé) suivre l'ensemble de la progression de ses ventes écoutes et opérations de promotion depuis une interface unique. Les quatre majors du disque intéressées au capital de Deezer - T. Sony Music, Universal Music, EMI et Warner Music. Toutes les majors du disque ont négocié des bons de souscription d’action (BSA) au capital du site de musique en ligne Deezer. Concrètement, il s’agit d’options d’achat sur les parts de la société.

Les majors peuvent exercer (ou non) ces BSA en cas de vente ou d’introduction en bourse de l’entreprise, et encaisser une plus-value substantielle. « Dans le cas de Deezer, cela représente quelques pourcents du capital », indique plusieurs sources proche du dossier. D’ordinaire, les acteurs de la musique donnent le droit d’utiliser leurs catalogues sur Internet en contrepartie du paiement d’un minimum garanti suivi d’un partage de revenu. Mais le chiffre d’affaires des sites de streaming, essentiellement basé sur la publicité, reste trop faible. Et le lancement récent d’offres payantes, dites Premium, n’y changent rien. Du coup, les majors souhaitent surtout être intéressées au capital de ces entreprises.

Serait-ce vraiment surprenant que Spotify ou Deezer remplace l'a. Le Financial Times publie cette semaine un article sur Spotify, dont le co-fondateur Daniel Ek défend le modèle économique attaqué récemment par Warner Music Group. La major américaine reproche aux services de streaming gratuits comme Deezer, Jiwa et Spotify qu'ils ont pourtant autorisé de "cannibaliser" le marché de la vente de musique en ligne. Musically indique à ce propos qu'une étude du cabinet NPD démontre que les utilisateurs de services de musique en ligne gratuits achètent moins de musique en ligne. Spotify s'en défend. "Nous sommes très prometteurs. Nous sommes déjà l'un des plus gros comptes de beaucoup de maisons de disques", assure ainsi Daniel Ek qui se dit "convaincu" que Spotify "prend des pirates et les fait bouger vers un service légal".

Deezer aussi avait tenté de se défendre en s'affichant plein de fierté comme le premier affilié iTunes de France. Médias & Publicité : Musique : les sites de streamin. Plébiscités par les consommateurs, les sites d'écoute comme Deezer et Spotify ne génèrent pas encore assez de revenus pour payer les avances réclamées par les majors pour céder les droits de leurs catalogues Fini de jouer. La semaine dernière, Apple a franchi le cap des 10 milliards de morceaux vendus sur sa plate-forme de téléchargement iTunes. En dix ans, la firme à la pomme s'est imposée comme le champion incontesté du téléchargement légal de musique dans le monde. Ce dernier prend enfin le relais sur des ventes de CD en chute libre. Mais, depuis deux ans, les consommateurs ont encore changé d'habitude. Mais l'industrie musicale s'impatiente de voir émerger un acteur de la puissance d'Apple sur ce segment et veut mettre au pas les jeunes pousses.

Apple en embuscade Pour évincer les aventuriers qui n'ont pas les reins assez solides, les majors exigent un ticket d'entrée de 2,5 à 3 millions d'euros pour disposer des droits au niveau européen. » Axel Dauchez devient DG de Deezer. Peter Gabriel: "l'industrie musicale est un cadavre", mais rien. Quelques nouvelles du front des starts-up musicales. Le ciel n'est jamais très loin de l'enfer, tout au moins dans le merveilleux des start-up musicales... On peut en effet s'étonner de voir que les jeunes pousses qui étaient deux ou trois ans plus tôt aclamées comme le futur de l'industrie musicale, se retrouvent, juste une demi-douzaine de trimestres plus loin, aux portes du tribunal de commerce, proches du dépot de bilan.

C'était ainsi le cas de Cellaband, qui s'est retrouvé en redressement judiciaire, puis en liquidation ce vendredi... Il semblerait qu'un investisseur soit sur le point de reprendre l'ensemble de la société, mais nul doute que les fondateurs et salariés ont du se faire quelques cheveux blancs dans l'aventure. Est-ce specifique au monde de la musique? Sans doute pas : nombreux sont les exemples de sociétés qui ont approché le dépot de bilan pour ensuite rebondir. Les ventes numériques d'Universal Music peinent à décoller - Num.

Fan Participation and the Democratization of Music | creative de. Posted on 28. Feb, 2010 by refe in MUSIC INDUSTRY A good old fashion sing-a-long. Digital technology continues to transform the music industry. Most believe that this transformation is causing the industry to evolve into something new that will resemble nothing that has come before it. I hope all you wonderful readers have had the opportunity to read through the comments of last month’s Can Music Stand On It’s Own piece. One subject that kept surfacing is the changing role that fans may eventually play in the creation and performance of music. This has already begun in a big way. The future that some are predicting takes these advances even further, imagining instruments that essentially play themselves and computer programs that turn music theory into an automated process. What does this mean for music? Is Fan Participation something new, or something old? Before getting into what all of this may mean for professional artists and the music industry, it’s important to get some perspective.

Spotify defends itself (again) from. The controversy from WMG’s recent comments on free ad-supported music services – as well as NPD’s research on cannibalisation of downloads – continues. Spotify boss Daniel Ek has once again defended his company from such accusations, speaking at a Financial Times conference in London. “What a lot of people in the music industry talk about is cannibalisation – getting the most profitable customers to become free users. That obviously doesn’t work. But we are convinced and seeing a lot of research that actually we are doing the opposite: we are taking pirates and moving them into a legal service.” Ek also says that labels are starting to see the financial returns. “We are already one of the biggest accounts for many of the labels. Like what you’ve read here? Our subscribers get the most important digital music news and analysis delivered to them every morning and full reports every week plus access to a massive archive of data and previous reports.

Why Matthew Ebel Is Leaving SellaBand. KJB de signets graphiques's Tumblelog. [WE spécial #Zik] Le MP3 anachronique | Owni.fr. Ce week-end, l'équipe d'Owni vous propose une sélection d'articles autour de l'évolution de l'industrie de la musique. Internet a joué un rôle important dans la fuite en avant de cette industrie, qui, en dix ans, est passée de l'âge d'or aux temps obscurs. Obscurs parce que soumis à la pression de millions d'internautes qui se sont mis à échanger en masse des oeuvres musicales sous format MP3. Journaliste au Monde Interactif à l'époque des balbutiements de ce format, Olivier Zilbertin revient sur la genèse de ce qui est à présent un état de fait, et ouvre quelques perspectives. Ce week-end, l’équipe d’Owni vous propose une sélection d’articles autour de l’évolution de l’industrie de la musique. Journaliste au Monde Interactif à l’époque des balbutiements de ce format, Olivier Zilbertin revient sur la genèse de ce qui est à présent un état de fait.

Gilles Babinet de Sawndblog propose une réflexion centrée sur l’artiste en 2010. Le MP3 était pourtant loin d’être déjà devenu un standard. Et voici le gramiphone.