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Négociation

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Comment identifier ses SAVOIR-FAIRE et ses QUALITES. Apprentissage. La proxémie. En fait, notre façon d’occuper l’espace en présence d’autrui est un des marqueurs de l’identité.Pour exemple, notre proximité spatiale est différente selon notre culture. Ce sont donc nos habitudes cultuelles qui nous font prendre différentes places spatiales. Hall a montré qu’il y avait autour de nous une surface, « une bulle », une zone émotionnellement forte ou encore un périmètre de sécurité individuel. Celui-ci est plus important en face de nous que sur les côtés ou par derrière. On peut parler de notion de bonne distance. La dimension de cette bulle personnelle varie selon les cultures. La distance intime (entre 15 et 45 cm) : zone qui s’accompagne d’une grande implication physique et d’un échange sensoriel élevé.

L’hypothèse qui sous-tend ce système de classification proxémique est la suivante : « La conduite que nous nommons territorialité appartient à la nature des animaux et en particulier à l’homme. La distance va être différente selon l’image que l’on se fait de l’autre. Théories de la communication. Contrôler le " feed-back" par les strokes. Le modèle des " strokes " (unité de contact humain : frapper, caresser, toucher) est excellent pour repérer et contrôler aisément les échanges qui construisent la relation.

Les " strokes" sont des stimulations et des signes de reconnaissances. Ils peuvent être de quatre natures…. Inconditionnel positif (dans l'être) : Tu es fabuleux, génial etc…. Les strokes au quotidien Il est facile de constater qu'un nombre important d'échanges dans le monde du travail tournent autour de ces jeux relationnels. Le harcèlement moral,répétition de strokes négatifs Les études de Leymann ont porté sur 2400 salariés suédois entre 1990 et 1996. 3,5 % entrent dans problématiques de harcèlement soit 1 sur 4 ramené à une période de trente ans de travail. 40% des victimes sont harcelées par 2 à 4 individus 30% par un seul. Communication et stratégie relationnelle. A partie du dilemme du prisonnier, une approche mathématique de la relation a été développée. Accueil. La communication.

Découverte - Les neurones miroirs. Théories principales & tests. La signification des gestes pendant l'entretien d'embauche. Mettre la main devant la bouche, se caresser les jambes, se mordiller les lèvres... Autant de gestes que l'on fait fréquemment en entretien d'embauche. Comment peuvent-ils être perçus par un recruteur ? Stephen Bunard, synergologue de renom revient pour nous sur les gestes inconscients que nous pouvons faire pendant un entretien d'embauche et met à mal les idées reçues sur cette gestuelle. Les bras Dans de nombreux cas, les bras croisés sont le signe d'une fermeture, mais ils peuvent tout autant représenter un retour sur soi : une bonne chose pour débuter un entretien.

Ce n'est donc pas un critère d'ouverture ou de fermeture à 100 %. Mettre les coudes sur la table. Quelqu'un qui communique bien est quelqu'un dont les deux mains sont participatives. Les mains Mettre la main devant la bouche signifie un discours qui ne veut pas sortir. Jouer avec un stylo, une feuille. Se gratter de façon mi-consciente c'est gérer une tension. Le conseil à donner serait d'éviter l'auto-décryptage. Le look de l’emploi, ça se prépare… Pour augmenter ses chances d'être recruté, mieux vaut avoir l'air d'être motivé. Et cela passe par une présentation (look, vocabulaire, posture) sans faille. Au risque de choquer les sensibilités, le psychologue David Bernard lève le voile sur ce qui se dit dans les bureaux des recruteurs. Attention, chers lecteurs ! Ce qui suit peut paraître un peu catégorique… On peut bien évidemment être une personne formidable et avoir le cheveu gras. Mais quoi qu'il en soit, croyez-le, c'est avec la plus grande bienveillance que le psychologue David Bernard brise les tabous et vous passe l'info !

Prêt ?... Voici huit conseils de base qu'aucun recruteur ne vous donnera jamais… Pourquoi ? Alors nous prenons les devants pour vous éviter d'être ce fameux candidat auquel on n'explique jamais la « vraie raison » de son échec… 1 - « Ben, c'est qu'est ce que je dis » 2 - Trois mots de vocabulaire Ce qui choque également chez certains candidats, c'est la pauvreté de leur vocabulaire. 4 - La chemise négligée.

Traducteurs et devis : poser des questions et toujours laisser une porte ouverte. If you're new here, you may want to subscribe to my RSS feed. Thanks for visiting! Récemment j’ai eu une demande de devis pour un projet important (40K mots sur 6 mois). J’ai décidé de travailler deux de mes points faibles lors de l’élaboration de ces devis : 1 – la règle « deux oreilles, une bouche » (c’est-à-dire être à l’écoute du client, le faire parler, et parler le moins possible lors des entretiens de vente) 2 – la technique « porte ouverte » (laisser une ouverture pour recontacter le client après avoir soumis un premier devis) Dès que j’ai reçu la demande de devis par mail, j’ai téléphoné au prospect (une personne qui me connaissait déjà par le biais d’un de mes clients). 1 – Vous en êtes où avec le projet ?

2 – Quel est votre process de prise de décision ? 3 – Que recherchez-vous ? J’ai appris notamment que : Je n’aurais pas récolté toutes ces informations précieuses sans avoir écouté le prospect, chose qui est impossible à faire par mail. Vous en êtes où ?