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Tunisie

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International : La fronde de Sidi Bouzid contre le pouvoir islamiste. Des heurts ont éclaté dans cette ville déhéritée où avait débuté la révolution.

International : La fronde de Sidi Bouzid contre le pouvoir islamiste

La réponse des habitants de Sidi Bouzid à la répression policière jeudi peut rappeler certains épisodes de la révolution tunisienne, les tirs à balles réelles sur les manifestants en moins. Jeudi midi, à l'appel de plusieurs partis d'opposition, une centaine de manifestants a fait part de sa colère au gouverneur de la ville, représentant d'un pouvoir en place (une coalition dirigée par les islamistes d'Ennahdha, NDLR), qu'ils accusent de n'avoir rien fait depuis la révolution pour améliorer la situation sociale.

«Où sont les droits de Sidi Bouzid? Où sont les droits des martyrs?» , scandaient les manifestants qui ont tenté de franchir les grilles du gouvernorat, devant lequel s'était immolé Mohammed Bouazizi le 17 décembre 2010. Un homme d'une vingtaine d'années a été touché à l'aine, quatre autres personnes importunées par les gaz, alors que plusieurs manifestants ont été interpellés. Conditions sociales. Orange a tout faux. Dans une enquête très fouillée, Owni montre que Orange a du verser sa dîme au clan Ben Ali pour s'implanter en Tunisie.

Orange a tout faux

Orange avait-il le choix ? Sans doute non. Toute entreprise souhaitant s'implanter en Tunisie devait en passer par là. Orange n'a pas aimé l'article, ce qui est parfaitement compréhensible, car l'image en prend un coup. Les termes de leur réplique sont pesés au millimètre : "Orange est présent en Tunisie depuis 2009 via une participation de 49% dans Orange Tunisie et considère cet investissement sur le long terme. C'est clairement de l'intimidation, car si le mot plainte n'est pas écrit, il est sous-jacent. Par contre, le service communication a lourdement merdé. Mais non, le premier réflexe, c'est de nier en bloc et de tenter d'étouffer.

Massacre à huis clos en Tunisie : Plus de 50 tués la nuit dernière - Le Jura Libertaire. Massacres : plus de 50 morts à Kasserine Thala, Feriana, Regueb, Meknassi De violents affrontements se sont poursuivis entre la nuit de samedi et ce dimanche matin ayant entrainé plus de 50 morts dans les villes de Thala (16), Kasserine (22), Meknassi (2), Feriana (1) et Reguab (8).

Massacre à huis clos en Tunisie : Plus de 50 tués la nuit dernière - Le Jura Libertaire

Les forces spéciales et des milices parallèles (escadrons de la mort) ont utilisé des balles réelles pour venir à bout des manifestations qui ont duré jusqu’à l’aube de la matinée d’aujourd’hui. Des témoins sur place ont qualifié ce qui s’est passé de «massacre des civils». Les forces spéciales ont tiré sur les cortèges funèbres et empêché les cérémonies d'ensevelissements.

Kalima a appris que la police a tiré à balles réelles sur le cortège funèbre d’un manifestant tué par balles, obligeant à l’abandon du cercueil de ce dernier sur la route menant au cimetière. Les mêmes sources ont fait état de trois cadavres jetés dans l’oued proche de l’hôpital régional de Kasserine. Radio Kalima, 9 janvier 2011. Tunisian Girl Sings during demonstration - Amal Mathluthi. Mass demonstration over women's rights in Tunisia. Tunisie : importante défaite des islamistes lors des élections estudiantines. Une étudiante se rendant en niqab à la Faculté des Lettres de la Manouba.© AFP C'est un raz-de-marée progressiste qui a déferlé sur les universités tunisiennes à l'occasion des élections au sein de leurs conseils scientifiques.

Tunisie : importante défaite des islamistes lors des élections estudiantines

Le syndicat étudiant islamiste UGTE, proche d'Ennahdha, ne remporte que 34 sièges sur 284, contre 250 pour l'Uget, affilié à la principale centrale syndicale du pays (UGTT). Tunisie : bataille autour de la liberté d’expression. Kiosque de presse (Thierry Brésillon) Mercredi, les députés d’Ennahdha ont présenté une proposition de loi visant à criminaliser l’atteinte au sacré après avoir échoué lundi, à faire inscrire dans la Constitution cette limitation de la liberté d’expression.

Tunisie : bataille autour de la liberté d’expression

Une semaine décidément riche pour la Constituante, où les six commissions s’apprêtent à remettre leur copie. Les positions et les clivages se clarifient. Jusqu’à quand le gouvernement tunisien va-t-il tolérer les appels au meurtre? Lundi 26 mars 1 26 /03 /Mars 11:35 GillesJacob Lellouche* écrit – Le gouvernement actuel, qui a été mis en place au nom de la démocratie et de la dignité permettra-t-il que des enfants terribles dictent leurs lois et sèment la terreur dans notre pays?

Jusqu’à quand le gouvernement tunisien va-t-il tolérer les appels au meurtre?

A vous messieurs qui nous gouvernez, à vous qui représentez la majorité parlementaire, à vous qui avez la légitimité populaire, la Tunisie est blessée, la Tunisie est à terre, la Tunisie est moribonde, allez-vous laisser une bande de traine savate, une bande «repris de justesse», menés par des prédicateurs débordant de haine, de bave venimeuse, animée par une soif de sang, donner l’estocade à notre pays? C’est un Tunisien ordinaire qui s’adresse à vous aujourd’hui, un Tunisien comme 11 millions d’autres, un Tunisien qui ne rêve que de paix et de prospérité pour son pays.