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Politique et Eglise

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Discours aux participants au Congrès promu par le Parti populaire européen. Salle des BénédictionsJeudi 30 mars 2006 Eminents Parlementaires, Mesdames et Messieurs, Je suis heureux de vous recevoir à l'occasion des Journées d'étude sur l'Europe, organisées par votre groupe parlementaire.

Discours aux participants au Congrès promu par le Parti populaire européen

Les Pontifes romains ont toujours accordé une attention particulière à ce continent. L'audience d'aujourd'hui le démontre une nouvelle fois, et s'inscrit dans une longue série de rencontres entre mes prédécesseurs et les mouvements politiques d'inspiration chrétienne. Je remercie M. Actuellement, l'Europe doit faire face à des questions complexes de grande importance, telles que la croissance et le développement de l'intégration européenne, la définition toujours plus précise de politiques communes au sein de l'Union et le débat sur son modèle social.

. - la protection de la vie à toutes ses étapes, du premier moment de sa conception jusqu'à sa mort naturelle; - la protection du droit des parents d'éduquer leurs enfants. © Copyright 2006 - Libreria Editrice Vaticana. Note doctrinale concernant certaines questions sur l’engagement et le comportement des catholiques dans la vie politique. NOTE DOCTRINALEconcernant certaines questions surl’engagement et le comportementdes catholiques dans la vie politique La Congrégation pour la Doctrine de la Foi, après avoir pris, entre autres, l’avis du Conseil pontifical pour les Laïcs, a jugé opportun de publier la présente «Note doctrinale concernant certaines questions sur l’engagement et le comportement des catholiques dans la vie politique».

Cette Note est adressée aux évêques de l’Église catholique, et de manière spéciale aux hommes politiques catholiques ainsi qu’à tous les fidèles laïcs appelés à participer à la vie publique et politique dans les sociétés démocratiques. 1. Un enseignement constant 1. Les sociétés démocratiques actuelles, dans lesquelles, à juste titre, tous sont appelés à participer à la gestion des affaires publiques dans un climat de vraie liberté[4], requièrent des formes nouvelles et plus larges de participation à la vie publique de la part des citoyens, qu’ils soient chrétiens ou non. 2. 3. 4. 5. 6.

Un désarroi non négociable ? Extrait du n° 165 de "Daoudal Hebdo".

Un désarroi non négociable ?

Il me semblait que l’obsession des « principes non négociables », qui avait enflé au point que certains parlaient de « PNN » comme on parle du PIB ou de la TVA, était quelque peu retombée, puisque les premiers mois de la campagne présidentielle s’étaient déroulés sans que les catho-tradis les mettent au premier plan. Mais voici qu’ils sont revenus en fanfare, avec notamment une tonitruante « lettre ouverte aux candidats aux élections », signée de Mgr Aillet et de divers laïcs dont les trois principaux rédacteurs du Salon Beige, Jeanne Smits, directrice de Présent, Jean-Pierre Maugendre, président de Renaissance catholique… Ce texte, révérence gardée pour ses signataires, est irrecevable.

Ils affirment qu’ils voteront « en fonction des principes non négociables », qui sont « un minimum au-dessous duquel nous quittons l’Etat de droit pour entrer dans la barbarie ». Il faudrait raison garder. Pourquoi « théoriquement » ? (1) Bien sûr ce n’est pas vrai. Journal de campagne (5): Des principes non négociables? (I) La cathosphère bouillonne depuis quelques semaines : elle est prise de fébrilité lorsque surgit au détour d’une conversation ou d’un billet la notion de principes non négociables (ici et là, et encore ici et re-là).

Journal de campagne (5): Des principes non négociables? (I)

Il faut d’abord revenir aux sources. La notion de principes non négociables est tirée d’une note doctrinale de la Congrégation pour la doctrine de la Foi, rédigée sous la signature du Cardinal Ratzinger : Si les chrétiens sont tenus «de reconnaître la légitime multiplicité et diversité des options temporelles», ils sont également appelés à s’opposer à une conception du pluralisme marquée par le relativisme moral, qui est nuisible pour la vie démocratique elle-même, celle-ci ayant besoin de fondements vrais et solides, c’est-à-dire de principes éthiques qui, en raison de leur nature et de leur rôle de fondement de la vie sociale, ne sont pas «négociables» La même idée a été reprise par Benoît XVI lors d’un discours devant des parlementaires européens : (à suivre) Like this: