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Reworld Media, le groupe qui inquiète la presse magazine. Alors que l’entreprise tricolore s’apprête à racheter Mondadori France, son management et ses pratiques commerciales provoquent l’hostilité d’une partie du secteur. Jusqu’à présent, il était resté discret. Mais, face au vent de panique provoqué par le potentiel rachat de Mondadori France (Closer, Grazia, Science et Vie, Télé Star…) par son groupe, le président de Reworld Media s’évertue à rassurer les salariés de l’éditeur italien. « Mondadori dispose de beaux titres qui fonctionnent très bien, a expliqué au Monde Pascal Chevalier, le 25 octobre. Et nous sommes les seuls en France à croire dans la presse aujourd’hui, alors que tous les investisseurs se désengagent. » Il n’empêche. Journalistes encouragés à démissionner En 2013, Reworld a racheté Marie France au groupe Marie Claire, puis des magazines comme Gourmand, Papilles ou Vie pratique.

La transformation opérée par le groupe dans les titres qu’il a absorbés n’a pas été indolore pour leurs salariés. Je ne sais pas répondre à cette question. Avec l’annonce en septembre des négociations exclusives entre Mondadori et Reworld Media pour le rachat de la filiale française du groupe italien (Auto Plus, Pleine Vie, Top Santé, Biba, Grazia, Closer, Télé Star, Le Chasseur Français, Science et Vie...), les réactions hostiles se sont enchainées chez cette dernière.

Pascal Chevalier, patron de Reworld Media (Marie France, Be, Le Journal de la Maison, Maison&Travaux, Gourmand, Auto Moto, Télé Magazine...), veut éteindre l’incendie et explique son projet à 3 ans. Entretien exclusif. CB News : Où en est aujourd’hui le processus de rachat de Mondadori France par Reworld Media ? Pascal Chevalier : Cette période de négociations exclusives donne actuellement lieu à une série d’audits. Mais ce qui est le plus important, c’est que nous nous sommes mis d’accord sur les points essentiels, dont le montant de la transaction qui est pour l’heure confidentielle. L’idéal serait d’arriver à la conclusion du deal début 2019. CB News : Concrètement ? Reworld Media. Reworld Media veut exporter Gourmand et Marie France. Le groupe de Pascal Chevalier, qui a racheté huit magazines à Lagardère, poursuit à marche forcée la diversification de ses marques. Après l'Asie, il mise sur le Brésil. Pascal Chevalier veut aller vite, très vite.

Après avoir relancé en ligne Marie France (un magazine racheté au groupe Marie Claire) en France et en Asie, planché sur le potentiel à l'export de Gourmand ou Papilles (rachetés à Axel Springer), le président de Reworld Media teste auprès du marché l'attractivité des huit magazines acquis en avril dernier auprès de Lagardère. Parmi ceux-ci, quelques pépites, comme Auto Moto, leader de son segment, ou Maison & Travaux, champion des magazines grand public consacrés à la rénovation. «Redynamiser de belles marques endormies et activer un maximum de leviers de diversification en un minimum de temps», c'est le credo de la maison. Hors ligne, Reworld Media pousse aussi ses pions à la vitesse grand V. Reworld Media et le belge Rossel favoris pour le rachat des magazines de Lagardère.

Les deux groupes de presse, Reworld et Rossel, ayant décidé la semaine dernière de présenter une offre commune, aurait offert des conditions financières nettement meilleures que celles de leurs concurrents. Une information pour l'heure non confirmé par Lagardère Active qui s'est refusé à confirmer ces informations. "A ce stade rien n'est acquis", a déclaré un porte-parole. Nous étudions les offres ce week-end et nous prendrons nos décisions selon le calendrier prévu", a-t-il dit. Le groupe avait indiqué qu'il se prononcerait fin mars ou début avril. Psychologies pour Rossel La filiale du groupe Lagardère a mis en vente en octobre dix magazines jugés non stratégiques: Auto Moto, Be, Campagne et Décoration, Le Journal de la Maison, Maison & Travaux, Mon Jardin Ma maison, ainsi que Psychologies Magazine et Union, et leurs sites, ainsi que les éditions papier de Première et Pariscope.

Reworld emploie 14 journalistes Avec.

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Native advertising, la pub en open-bar. Aux Etats-Unis, le native advertising a la cote. Ce serait même l’un des «buzzwords» de l’année. Si l’expression est intraduisible en français, le concept est assez simple à comprendre : c’est une version moderne et améliorée du publireportage, destinée aux médias en ligne. Ce sont des publicités déguisées en articles et en vidéos, s’insérant le plus discrètement possible sur les sites web. D’où le nom de «native», qui peut se traduire par «originel» : la publicité ne surgit pas au milieu de la page web, elle se glisse de manière plus subtile et vicieuse, reprenant la maquette et le style du média qui lui sert de support comme si c’était du contenu original. Et tous les médias s’y mettent. Le dernier en date n’est autre que le New York Times. Début janvier, on voyait apparaître pour la première fois sur sa page d’accueil un article entouré d’un cadre bleu avec l’inscription «Payé et mis en ligne par Dell» à côté du titre.

Sports extrêmes. Inquiétude. Pascal Chevalier: « C’est la première fois qu’un acteur du numérique acquiert une activité de presse traditionnelle » L’ex PDG de Netbooster s’attache à bâtir un groupe média tourné vers le « content commerce ». Après le rachat de Marie-France, il acquiert les titres orientés féminins/vie pratique grand public d’Axel Springer. Interview. Pascal Chevalier vient donc d’officialiser l’acquisition des titres de presse du groupe Axel Springer: Télé Magazine, Gourmand, Vie Pratique Féminin, Vivre en Grand, Papilles et les licences de Marmiton et Doctissimo Magazine. Le montant reste inconnu à ce jour, mais l’on sait que PGP (Publications Grand Public) a réalisé 27 millions d’euros de CA en 2012. « Un groupe média alternatif significatif » Pour Pascal Chevalier, ce rachat s’inscrit dans une stratégie de gain de temps, et de capitalisation sur les marques : « Ça fait un an et demi que je veux monter un groupe media alternatif et significatif.

Des sites web à la rentrée, et des box « content commerce » « C’est la première fois qu’un acteur du net rachète une activité presse traditionnelle » Reworld Media acquiert le magazine Marie-France. Pascal Chevalier, Reworld Media : Ce que je vais faire avec Marie France. Pascal Chevalier ex PDG de Netbooster et Co-président de Network Finance a racheté le 26 Janvier Marie France au groupe Marie Claire pour un Euro symbolique (lire ici l’article du JDN) pour l’intégrer dans son nouveau groupe de « Content Commerce » Reworld Media. Pour Viuz, il explique les raisons de ce rachat du titre, aujourd’hui dirigé par Gauthier Normand ancien Directeur Général de la tribune, et détaille les piliers de sa future stratégie. « Tout d’abord je souhaite conserver le Print qui permet de garder une grande légitimité avec les annonceurs ».

Précise Pascal Chevalier. Ensuite nous allons décliner Marie France, 11ème magazine Français mais qui n’avait pas de site web sur l’ensemble des supports numériques (web, newsletter, mobile) et hors média (salons, événements) avec des contenus différents adaptés à chaque format». Dans ce cadre les métiers au sein de l’équipe de 30 personnes seront amenés à évoluer.

Social Mix Media Group. Plus de 10 années d’innovation et de créativité 2013 : L’ensemble des agences du groupe fusionne et devient Nextedia. Le groupe se renomme en Nextedia. 2012 : Le Groupe Come&Stay devient Social Mix Media Group. Les agences Nextdata, NextIdea et Nextpremium rejoignent le groupe. 2011 : L’agence spécialisée dans les réseaux sociaux, Social Mix Media, intègre le groupe. Pascal Chevalier marque son engagement envers la société avec le rachat de 8% du capital. 2010 : Le groupe est lauréat du prix coup de cœur Sage des Champions de la Croissance, délivré par le Magazine L’Entreprise. 2007 : Lancement de l’Institut ConsoWeb®, qui permet à Come&Stay d’affiner régulièrement sa connaissance des habitudes consommateurs. 2006 : Introduction en bourse sur Alternext d’Euronext Paris et développement des activités aux Etats-Unis et dans les pays nordiques. 2000 : Création de Come&Stay par Carole Walter, PDG du groupe.

NetBooster SA (ALNBT.PA Paris) Insider: Pascal Chevalier. Pascal Chevalier (NetBooster) : « la Bourse comme élément de gestion de la croissance » La presse féminine, laboratoire de "l'information" publicitaire.

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Site e-commerce : 7 conseils pour optimiser le contenu web. Votre site e-commerce manque de contenus ? Découvrez 7 bonnes pratiques éditoriales pour le rendre plus vendeur... Exemples à l'appui. Pendant que, sur son blog,Valvert tente de réfréner (avec raison) les lubies e-commerçantes de certains Français, voici quelques astuces de rédaction web pour la (re)prise en main du contenu de votre site e-commerce. Contenu web : Avertissement 1 Le contenu de votre site e-commerce, ne se limite pas à un logo, à des photos produits aussi belles soient-elles et à des promotions en veux-tu en voilà ! C’est aussi du texte, pas aussi présent que sur un site d’infos bien entendu, mais du texte quand même. Contenu web : Avertissement 2 Les consommateurs liront les contenus web de votre site e-commerce pour se rassurer et vous tester. Exemple avec le site Dino et Dino Contenu web : Avertissement 3 Les consommateurs en ligne sont devenus très avertis. Contenu web : Avertissement 4 Contenu web : Avertissement 5 Profitez aussi des espaces vides sur vos fiches produits.

CLEENG. E-commerce : générer du trafic pour 2013 grâce à une stratégie contenu. Pour une stratégie de visibilité e-commerce passe actuellement par une stratégie de contenu. En effet, pour se faire connaître et créer un trafic qualifié, il est de votre devoir de parler de vous et de vous mettre en valeur sur le web. 1.Constat e-commerce Pour un e-commerçant, survivre sur le web correspond à générer toujours plus trafic qualifié. Or il devient de plus en plus difficile d’attirer des internautes qualifiés et en grand nombre.En effet, en tant que e-commerçant, nous recherchons un trafic générateur de CA et le moins cher possible ce qui est de nos jours un vrai casse tête.D’après le Journal du Net, en France, un site e-commerce réalise en moyenne 900 000 euros de chiffre d’affaires. 2.Créez une stratégie de contenu pour une visibilité e-commerce réussie En conclusion, afin de vendre de manière optimale sur le web, il est important que vous bloguiez, parliez de vous et de vos produits.

Soyez sympa Partagez ;-) Améliorer la performance e-commerce par le brand content. De la presse en ligne au content-commerce. La presse change de métier, d’éditeur en ligne elle devient content-commerçant en s’inspirant des meilleures pratiques du ecommerce. Les questions qui animent aujourd’hui les éditeurs de la presse en ligne me rappellent celles que les ecommerçants se posent chaque jour : qui sont mes clients ? Quelles sont leurs besoinsssssssssss ? Quelles offres de contenu et de services ? Comment les faire payer ? Comment les fidéliser ? Etc. A tel point qu’on hésite plus à parler de CRM, de KPI, de webanalyse, de taux de transformation et de parcours clients ! La cible La presse en ligne a largement répondu aux premières questions (me semble-t-il). Le lecteur opportuniste recruté par les réseaux sociaux ou les moteurs de recherche, il représente des volumes de Visiteurs Uniques, de Pages Vues et de visites importants – plus de deux lecteurs sur trois – mais il lit peu de pages par cession et n’est pas sensible à la marque.

L’offre A l’équation vient s’ajouter la variable du pricing. Le Paiement. Pascal Chevalier - Network Finances. Equipe et gouvernance - Network Finances. Des « serial-entrepreneurs » expérimentés et impliqués Network Finances bénéficie de l’expérience éprouvée d’entrepreneurs ayant eux-mêmes développé avec succès des activités dans l’univers d’Internet. L’équipe de gestion est présidée par trois personnalités reconnues du monde Internet : Comité d'investissement Le Comité de sélection est constitué, outre les 3 membres de l’équipe de gestion, d’entrepreneurs reconnus dans l’Internet : Vincent Berger (Actenys), Michael Copsidas (LeGuide.com, 1001stages.com, EcoGeste), Pierre-Antoine Durgeat (SNV, DisMoiOu, Novacodex), Alexis Vernes (Vernes & Associés), Gabriel Viellard (SNV, Mappy et Adventori), Didier Kuhn (ScreenTonic/Microsoft), Holger Wiemann (Prisma, Leguide.com, TrendMedia), James Rebours (Photoways, SEGA), Fabrice Métayer (Kernix), Sylvain Génevée (Geny Editions), Jean-Michel Dudebout (TéléLangue), Patrick Hannedouche (Juste à temps), Bertrand Fredenucci (Bain & Co, Baobaz), Julien Braun (Publicis, BlogBang)

Netbooster : une nouvelle aventure pour Pascal Chevalier ? COME&STAY : l'ex PDG de NETBOOSTER entre au capital. Portrait d’Entreprenaute : Pascal Chevalier, NetBooster. Pascal Chevalier (Network Finance 2) : "Le fonds Network Finance 2 débutera ses investissements en 2012" L'ancien dirigeant de Netbooster, qui a misé personnellement dans Planet.fr, revient sur son activité d'investisseur avec le fonds Network Finance 2. JDN. Vous avez récemment investi à titre personnel dans le portail Planet.fr. Quelles ont été vos motivations ? P. Chevalier J'ai investi un million d'euros dans le Groupe Planet.fr ce trimestre via ma holding personnelle. Le groupe édite FemmesPlus.fr, Planet.fr, Medisite.fr et PlanetGolf.fr et est cotée en bourse. Quelles sont vos activités depuis votre départ de Netbooster en avril ? Mes activités se concentrent principalement sur l'accompagnement et le conseil de sociétés et principalement auprès de celles dont je suis actionnaire comme Come&Stay, Mobile Network Group et Lead Media Group qui sont des sociétés françaises également cotées en bourse dont l'activité principale est le marketing à la performance.

Quelle est la particularité de Network Finance et quelles sont ses ambitions ? Femmes Plus - Au coeur de vos envies. Combien gagnent les patrons du Web français : Pascal Chevalier (Netbooster) Google : Disparition de sites de référencement. Plusieurs sociétés, dont le but est de référencer des sites web dans les moteurs de recherche, ont été désindexées de Google, sans avertissement ni explication. La désindexation signifie que les sites ont été purement et simplement supprimés de la base de données de Google, ce qui veut dire qu’en cas de recherche sur ce moteur, le site n’existe pas. Bien sûr, le site existe toujours, et est toujours référencé chez les autres moteurs. Les sociétés touchées, Netbooster, CVFM, Absolute Référencement, Ability Référencement apparaissent comme l’avant-garde d’une vague de suppressions en France de sites qui utilisent le référencement par flux XML. Cependant, la France n’est que le deuxième pays touché par ces désindexations, puisque plusieurs sociétés aux Etats-Unis ont subis le même sort.

Le problème viendrait apparemment d’une technique employée par les sociétés visées. «La Tribune» devrait continuer de paraître en octobre. Médias & Publicité : Pascal Chevalier, invité du Buzz Média Orange-Le Figaro. Invité du Buzz Média Orange-Le Figaro, Pascal Chevalier est le PDG de NetBooster. Créé en 1998, ce groupe indépendant de communication interactive compte quelque 440 collaborateurs. NetBooster avait annoncé en 2008 une perte de 1 million d'euros ; le groupe a réalisé 15 millions d'euros de marge brute en 2009 pour un bénéfice net de 300 000 euros. «Il y a eu un double effet conjoncturel, souligne Pascal Chevalier. 2008 a été une année difficile.

Il a fallu restructurer face à une baisse très significative de l'activité. En 2009, il y a eu l'effet inverse avec une reprise de l'activité, notamment en fin d'année, ce qui nous a permis d'annoncer des résultats qui sont repassés dans le vert en 2009. NetBooster est l'un des pionniers en France du référencement sur Internet. NetBooster, qui s'est introduit en Bourse en 2006, vient de procéder à une nouvelle augmentation de capital de l'ordre de 4 millions d'euros.

Pascal Chevalier, Reworld Media : naissance d’un géant du «Content Commerce» Reworld, le nouveau projet de Pascal Chevalier, acquiert Emailing Network. Cours action REWORLD MEDIA - MLREW - Bourse en direct - VotreArgent.fr. REWORLD_MEDIA_PARIS_439-546-011_Infogreffe.pdf. REWORLD MEDIA.