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Violmence/non-violence

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Ecole-nonviolence. Vaincre la Violence. Mohandas Karamchand Gandhi. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Mohandas Karamchand Gandhi

Vous lisez un « article de qualité ». Mahatma Gandhi Mohandas Karamchand Gandhi, en août 1942 Mohandas Karamchand Gandhi (en gujarati મોહનદાસ કરમચંદ ગાંધી (mohandās karamcaṃd gāndhī), API [ˈmoː.ɦən.d̪aːs ˈkə.rəm.t͡ʃənd̪ ˈɡaːn.d̪ʱi ] Écouter), né à Porbandar (Gujarat) le 2 octobre 1869 et mort assassiné à Delhi le 30 janvier 1948, est un dirigeant politique, important guide spirituel de l'Inde et du mouvement pour l'indépendance de ce pays. Il est communément connu et appelé en Inde et dans le monde comme le Mahatma Gandhi (du sanskrit, mahatma : « grande âme ») – « Mahatma » étant toutefois un titre qu'il refusa toute sa vie d'associer à sa personne[1] –, voire simplement Gandhi, Gandhiji ou Bapu (« père » dans plusieurs des langues en Inde).

Gandhi conduisit la marche du sel, célèbre opposition à la taxe sur le sel. Adepte de la philosophie indienne, Gandhi vivait simplement, organisant un ashram qui était autosuffisant. La violence. | Avant d'imprimer ce document | Mise en garde | | Les quatre types d'expériences émotives | Pour explorer d'autres expériences émotives!

La violence

| Des exemples Mon adjointe est colérique. Elle devient facilement très blessante dans ses propos. Il est très intense; cela m’impressionne et je le trouve violent. La violence est synonyme d’agressivité à outrance. De plus, il y a une forme d’abus ou de tricherie dans la violence. Dans l’exemple 2, le parent qui dénigre son enfant abuse de son statut pour le blesser là où il ne possède aucune défense. De même, le conjoint battu ne peut plus donner sa confiance à son partenaire. Nelly3. Les dictionnaires contemporains définissent la violence comme un état, une force intense et souvent destructrice : violence de la tempête, d'un choc, d'un caractère, d'une passion…Par extension, la violence désigne une outrance, une vigueur excessive : la violence d'une expression.

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La violence est aussi un fait, caractérisé par l'abus de la force, dans le but de contraindre quelqu'un contre sa volonté. Elle s'oppose à la conciliation et au dialogue - faire violence à quelqu'un - et donc au droit. Le mot violence a ainsi la particularité de désigner à la fois une manière d'être, une action et la valeur qui s'y rattache : l'intensité et l'usage de la force ainsi que le dommage causé à autrui. C'est dire si la violence se caractérise plus facilement qu'elle ne se définit… B) Le sens juridique Si les violences sont généralement liées à l'emploi de la force physique, suivi d'atteintes physiques durables, certaines ne peuvent cependant être assimilées à des "coups et blessures".

Une sociologie de la violence. Retour Dans toutes les définitions proposées sur la violence, le rapport de force et de domination qu’exerce un individu (l’agresseur) sur un autre (la victime) est le fait principal qui caractérise ce type d’agression. On évitera de décrire le phénomène dont les conséquences sont largement inscrites dans les rapports psycho cliniques des professionnels de la santé repris par les institutions et les responsables des associations qui luttent contre les violences faites principalement à l’encontre des femmes.

Une sociologie pratique de la violence s’occupe principalement de comprendre, du point de vue des stratégies sociales, comment une situation de violence peut exister à un moment donné et de quelle forme de violence il s’agit. L’individu est observé dans un réseau d’échanges et non en tant qu’individualité (approche plus psychologique). Nous retenons dans l’explication de la violence la notion d’altérité propre à la construction de n’importe quelle organisation sociale. Nelly1. VIOLENCE en psychiatrieVIOLENCE de la psychiatrieCe qui fait VIOLENCE à l'hôpital Sirocco "On dit d'un fleuve qu'il est violent parce qu'il emporte tout sur son passage, mais nul ne taxe de violence les rives qui l'enserrent".

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Berthold Brecht. La violence est un thème d'actualité dans notre société. Guerres, attentats, purifications ethniques, famines, intégrismes, violence des jeunes, maltraitances familiales, font partie de notre quotidien. La violence est partout et se trouve banalisée par la médiatisation dont elle fait l'objet. En psychiatrie, la violence occupe également, ces dernières années, une place croissante dans la pratique quotidienne. Certaines situations, qualifiées de "situations de violence" , font l'objet d'un recensement comptable. Au-delà de ces situations particulières, les équipes identifient la violence au quotidien. Une forte demande a abouti à l'inscription, au plan de formation continue, d'actions tournées vers la gestion de la violence dès 1994. (à suivre)