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MANAGEMENT

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RSE : le modèle scandinave est-il le bon ? | L'équation de la confiance. Pour la Commission européenne, la RSE (responsabilité sociale ou sociétale des entreprises) est un concept dans lequel les entreprises intègrent, sur une base volontaire, les préoccupations sociales, environnementales et économiques dans leurs activités : « La responsabilité sociale des entreprises s'étend au-delà du périmètre de l'entreprise jusque dans la communauté locale et implique, en dehors des salariés et actionnaires, un vaste éventail de parties prenantes : partenaires commerciaux et fournisseurs, clients, pouvoirs publics et ONG représentant la communauté locale ainsi que l'environnement. » Dans un monde caractérisé par des investissements multinationaux et des chaînes de production se déployant à l'échelle de la planète, « la responsabilité sociale des entreprises doit aussi dépasser les frontières de l'Europe », souligne encore la Commission européenne.

Cette définition de la RSE est intégrée depuis longtemps par les pays nordiques. La RSE, un engagement multi-dimensionnel. La mise en place d'une politique RSE nécessite l'implication de tous les collaborateurs. C'est un engagement à tous les niveaux de l'entreprise qui doit être opéré dans une démarche de co-construction et de partage.

Pour Mohamed Amine Beddad, consultant formateur, partenaire Hera Consulting, «les collaborateurs sont les premiers concernés par la RSE, puisque celle-ci s’applique aux conditions de travail, à la lutte contre la discrimination, à l'équilibre entre vie familiale et vie professionnelle, au bien-être au travail et à la diversité et la mixité des équipes». Le point. Éco-Conseil : Quelles sont les obligations de l’entreprise en matière de RSE ? Comment intégrer les collaborateurs dans cette démarche ? La RSE est-elle toujours liée aux convictions du chef d’entreprise ? Bon à savoir.

RSE ET DE

Dans quelles régions est-on le plus heureux au travail ? Sans outil numérique, les DRH sont incapables de suivre l'évolution des compétences des salariés. L’Usine digitale : Pour quelles raisons critiquez-vous les fiches de postes réalisées par les entreprises ? Jérémy Lamri : Depuis quatre ans, j’ai dû rencontrer 500 DRH et RRH. Ce que j’ai observé, c’est qu’il existe un gros écart entre la façon dont sont encore conçues les fiches de postes et la façon dont les salariés l’appréhendent. En caricaturant à peine, les RH font du copier-coller, alors qu’elles devraient s'interroger pour chaque poste disponible sur qui elles ont besoin pour ce poste précis dans cet environnement précis. Il y a un signe qui ne trompe pas : pour élaborer la fiche de poste, elles ne vont pas voir l’équipe opérationnelle. Or cela ne suffit plus. De cette manière on n’est plus en phase avec le marché.

Les managers l’ont compris et ont changé de manière d’être avec leur équipe, tandis que les RH continuent comme avant. Que faudrait-il faire alors ? Réfléchir par liste de tâches à faire n’est plus opérant. C’est un enjeu majeur. Cela arrive aux DRH elles-mêmes. Réseau social d’entreprise : comment ne pas faire partie des 90% de projets qui échouent. Les marchés en pleine mutation et la transformation numérique bouleversent les modèles actuels d’organisation et de management des entreprises. Celles-ci tendent ainsi lentement vers des organisations en réseau favorisant la transversalité, l’intelligence collective, l’agilité et l’innovation. L’enjeu ne réside donc pas à transformer l’organisation de l’entreprise mais à la mettre en mouvement. Pour outiller cette dynamique, près de 80% des entreprises du CAC 40 ont déjà lancé un projet de réseau social d’entreprise (RSE). Selon Gartner, 90% d’entre eux se soldent cependant par des échecs.

On peut donc s’interroger : les RSE sont-ils véritablement des "catalyseurs de compétitivité et d’efficacité" ? Quels sont les impacts induits par la mise en place de ces dispositifs? Fluidifier le partage de l’information Développer une culture d’entreprise Soutenir une dynamique d’émulation collective Le projet technologique comme vue émergée de l’iceberg… L’implication des managers, facteur clé. Valérie Vezinhet (SAP) : "60% des métiers qui recruteront en 2030 n'existent pas encore" SAP, en collaboration avec The Boson Project, a réalisé une étude sur le futur de la fonction RH. Valérie Vezinhet, DRH de SAP, en dévoile en avant-première les principaux enseignements.

JDN. D'après l'étude menée par SAP, 73% des personnes interrogées estiment qu'aujourd'hui la fonction RH n'est pas reconnue à sa juste valeur. Pourquoi un tel manque de reconnaissance ? Valérie Vezinhet. Je pense que c'est avant tout lié à un manque de connaissance. Avec la digitalisation des ressources humaines, la fonction RH est devenue un "enabler" qui est au cœur du business. L'étude mentionne l'arrivée de la génération Z sur le marché du travail. "La fonction RH doit repenser l'évolution de carrière qui doit être verticale, mais aussi horizontale" Comme toute forme de diversité, la génération Z a un impact positif sur les ressources humaines.

L'étude met l'accent sur l'apparition de nouveaux métiers et sur l'essor du travail en freelance. La conclusion de l'étude annonce l'avènement d'un DRH 3.0. 3 idées originales pour insuffler une numérique attitude en entreprise. Passer au numérique n’est pas un levier de compétitivité pour relancer la croissance, mais une question de survie. Et c’est là que les ennuis commencent. Car la transition ne se résume pas à installer des ordinateurs, les connecter, et former ses collaborateurs à leur usage. Il s’agit de changer de fond en comble non seulement l’organisation de l’entreprise, mais également sa culture. À quoi bon avoir un compte Twitter, s’il faut demander l’autorisation à son "N + 2" pour publier le moindre message ? Changer de culture est long, très long. 1 Abritez une artiste Entreprise de vente par correspondance traditionnelle, la Camif a été reprise par une équipe qui dirigeait la start-up Matelsom.

Le nouveau PDG a alors l’idée de faire venir en résidence une artiste, Anne-Laure Maison. Surprise de voir des collaborateurs situés à moins de deux mètres s’envoyer des e-mails, Anne-Laure Maison a eu l’idée de matérialiser les déplacements avec de l’adhésif rose apposé sur le sol. Bientôt la fin des files d'attente dans les supermarchés. L'enfer des files d'attente dans les supermarchés sera-t-il un lointain cauchemar ? On le sait, les Français sont allergiques à attendre trop longtemps au moment du passage en caisse. Ainsi, 30% d'entre eux préfèrent même abandonner un achat plutôt que de faire la queue, selon une étude réalisée par Ifop pour Wincor Nixdorf en avril 2014.

Après le drive et le système de file unique, les enseignes de supermarché regorgent d'idées pour réduire le temps d'attente ou bien le rendre plus "agréable". Aujourd'hui des nouvelles solutions sont à l'essai. Depuis le 31 mars, Franprix teste un système d'encaissement mobile dans plusieurs magasins pilotes. Des employés se déplacent avec une "bague scanner" et enregistrent les produits puis facturent facilement les clients avec l'appareil de paiement. La solution du smartphone en vogue D'autres hypermarchés envisagent, eux, une application mobile. Une bonne opération pour les hypermarchés Retrouver un "temps de vie" perdu dans les files d'attente. Tout savoir sur Nestlé - LesEchos Start.

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