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Zelnik

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Web : L'idée d'une «taxe Google» suscite l'ironie à. La presse anglo-saxonne oscille entre scepticisme et amusement devant l'idée de la commission Zelnik de taxer les revenus publicitaires sur le Net.

Web : L'idée d'une «taxe Google» suscite l'ironie à

En France, les spécialistes jugent la chose infaisable en pratique. « Absurde », « complètement aveugle à l'essence même d'Internet, où une compagnie peut avoir son siège aux Etats-Unis, son administration en Irlande et ses serveurs partout dans le monde ». Cité dans l'édition internationale de l'hebdomadaire allemand Spiegel, le Financial Times Deutschland est plus que sévère à l'encontre de l'idée d'une taxe sur les revenus publicitaires en ligne, soutenue par Nicolas Sarkozy.

Cette taxe, encore floue, ne concernerait, selon ses promoteurs au sein de la commision Zelnik, que les «grands acteurs» du web, comme Google, Yahoo, Microsoft ou... Facebook, cité aussi dans le rapport. «Les vautours de la culture française» Du côté des médias spécialisés, la réaction oscille également entre amusement et critique. « Sacre bleu ! Comment Nicolas Sarkozy a-til réussi à endormir la presse avec s. Ah le moins que l’on puisse dire c’est que ça buzz …La taxe Google de Nicolas fait les choux gras de la presse, elle fait un carton niveau discussion de comptoir.

Comment Nicolas Sarkozy a-til réussi à endormir la presse avec s

C’est vrai que c’est drôle, ridicule même comme le souligne le Kosciusco Morizet qui a le droit de l’ouvrir. C’est même tellement énorme qu’on se demande si c’est une bêtise sortie en toute conscience et destinée à faire passer ce sur quoi tout le monde semble faire l’impasse : Nicolas Sarkozy a appelé au FILTRAGE DU NET ! … et ça étrangement, dans la presse c’est loin derrière … La taxe Google n’est pas prête de voir le jour, rien qu’en cela, elle ne mérite pas que l’on s’y intéresse réellement, même si le gouvernement avait l’indécence de faire perdre du temps aux parlementaires avec cette ânerie, elle serait de fait caduque car inapplicable et provoquerait surement des mesures de rétorsion économique de la part des américains. Téléchargements : subventionner l'internaute, une bonne idée? Une femme écoute de la musique Remis le 6 janvier dernier à Frédéric Mitterand, le rapport Zelnik, intitulé Création et Internet, envisage la création d’une carte Musique en ligne pour soutenir les achats de musique par les jeunes internautes (15-24 ans).

Téléchargements : subventionner l'internaute, une bonne idée?

Une fausse bonne idée. 50% du coût de la carte est pris en charge par l’Etat, soit environ 20€, et 50% par le jeune internaute qui, ô miracle, bascule ainsi dans la légalité. Cela pourrait concerner un million d’utilisateurs. La carte permettrait à un jeune qui ne dispose pas de carte bancaire de payer pour ses téléchargements ; elle serait utilisable sur un portail de référencement de l’offre en ligne. L’internaute subventionné.

Deux objections peuvent être formulées. La seconde porte sur le prix de la carte. Se posent donc des questions de coûts d’application, avec un effet de révision des comportements probablement très faible. On refuse la licence globale, mais on met le doigt dans le pot de confiture Le financement reste incertain.