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Crise

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Les sociétés du CAC 40 vont verser plus de 37 milliards d'euros de dividendes pour 2011. Europe : de la faillite politique à la dictature économique. Paris et Berlin vont proposer de modifier les traités européens. » Crise, référendum grec et petits arrangements européens. C’est la crise. La Grèce se rapproche de plus en plus d’un défaut de paiement. Et les banquiers, dont on connais la légendaire générosité, proposent de réduire gracieusement leur créances de 50%. Faut dire que 50% d’énorme paquet de milliards, ça fait encore une moité d’énorme paquet de milliards.

C’est un peu mieux que rien du tout. Et voilà que cet ***** de Papandréou, qu’il aille se faire voir chez les grecs, vient d’avoir une idée consternante : demander son avis au peuple ! Faire usage de la démocratie en Grèce, c’est tout de même un comble ! Pour faire simple, il y a de quoi s’indigner : un surendetté a t-il le choix de ne pas payer ? Hélas, au risque de déplaire à mes lecteurs bien-pensant, qui ce matin, se sont étranglés de rage en découvrant cette ignoble idée du premier ministre grec, la réponse n’est, en fait, pas si simple.

Même un particulier, s’il est surendetté, peux voir une partie de ses dettes remises. Mais le cas de la Grèce est un peu différent. Flash Eco : FMI : récession mondiale pas ''exclue'' Selon le Fonds monétaire international (FMI), une récession mondiale "ne peut être exclue" en 2012. L'institution a prévenu aujour'hui qu'elle n'excluait pas une récession au niveau mondial en 2012, face à un éventuel retournement de l'activité. "Nous tablons toujours sur une croissance en 2012 même très modeste mais l'activité pourrait se retourner. Un risque de récession n'est donc pas à exclure", a admis Antonio Borges, directeur Europe au FMI lors d'une conférence de presse à Bruxelles. L'institution a par ailleurs exhorté la zone euro à résoudre sa crise de la dette, estimant qu'il est "plus que temps" de trouver une solution, et mis les gouvernements en garde contre des mesures de réduction des déficits excessives qui nuiraient à la croissance.

Prévisions récemment abaissées L'institution a abaissé le 20 septembre dernier ses prévisions de croissance pour l'économie mondiale, estimant qu'elle s'était "considérablement affaiblie" et qu'elle allait poursuivre sa croissance lente. Eurodéputé, je ne vois aucune raison de rassurer les marchés. Pas un jour ne passe sans que l'on entende l'injonction selon laquelle « les politiques doivent rassurer les marchés ».

Mais que font les marchés pour rassurer les politiques ? En tant que responsable politique, les marchés financiers sont pour moi une source d'inquiétude considérable et le moins que l'on puisse dire est qu'ils ne font rien pour me rassurer. Le scandale d'UBS , dans lequel un trader est soupçonné d'avoir fait perdre à son employeur deux milliards de dollars, montre une fois encore que les banques n'ont en rien tiré les leçons de la crise. Le contrôle des risques en interne est toujours aussi laxiste et les produits financiers capables de multiplier la prise de risque, et donc les profits potentiels, toujours aussi populaires auprès des traders. Les économistes montrent que la Grèce est un cas à part dans la zone euro. Depuis la crise de 2008, rien n'a changé Pour des réformes beaucoup plus ambitieuses la séparation des banques de dépôts et de financement de marché,

Il n'y a jamais eu autant de millionnaires dans le monde qu'en 2010. SURVIE DU MONDE OCCIDENTAL, par Nodilor. Billet invité 1/ La France est en faillite avérée. Il est définitivement impossible de rembourser notre dette. Pour la rembourser, il faudrait par exemple 33 années en excédent budgétaire de +3 %. Les schémas les plus optimistes prévoient un retour à un déficit de –3 % au mieux en 2014 en supposant une croissance de 2,5 % que nous n’aurons probablement jamais faute d’argent pour investir en masse et que les taux d’intérêt resteront au niveau actuel ce qui n’est déjà plus vrai avec l’inflation spéculative actuelle et la hausse des taux de la BCE récente. La dette est aujourd’hui de 1600 milliards d’€ et va s’alourdir de 400 milliards d’€ dans les 5 ans à venir ce qui générera un service de la dette qui dépassera les 60 milliards d’€ au taux de 3 %, de 80 milliards d’€ au taux de 4 % qui est plus probable pour la France. Cette situation existait déjà en 2002 comme en 2007. 3/ La stratégie des cupides du marché financier est claire.

Il ne s’agit plus de droite ou de gauche. Olivier Blanchard : "Les Etats-Unis n’ont pas de plan crédible pour réduire leur déficit" Paul Jorion décrypte la crise et l'économie. Ça faisait un petit moment que l’idée de vous présenter quelques blogs me trottait dans la tête. On me regarde souvent avec des yeux incrédules lorsque je dis que je n’ai pas la télévision. Encore plus quand j’explique que je ne m’informe pas grâce à des journaux reconnus, mais de préférence en lisant des blogs, ou sur Twitter. Je ne crois pas que les médias traditionnels soient encore, aujourd’hui, les sources d’information les plus pertinentes. De nombreuses personnes me demandant régulièrement d’où je tire mes informations, j’ai donc décidé de vous présenter, de temps en temps, un blog que je considère comme étant une référence.

Aujourd’hui, voici donc le blog de Paul Jorion. Pour découvrir un peu mieux le bonhomme, voici une “interview” donné à l’occasion de la sortie de son dernier livre “Le capitalisme à l’agonie” (Fayard 2011) : L’interview : Et pour rappel, son blog. Ces plans de sauvetage que l’on appelle des « aides » Cette semaine a été le théâtre d’une comédie totalement ubuesque où l’on a pu voir l’Union Européenne demander à « aider » le Portugal et ce pays refuser cette « aide ».

Voilà de quoi relativiser l’emploi du terme « plan de sauvetage » pour les plans européens. Le Portugal au bord du gouffre La situation est proche de l’explosion à Lisbonne. Les taux d’intérêt à long terme approchent 8%. Dans un tel contexte, on pouvait imaginer que José Sócrates accepterait le « plan de sauvetage » européen de 75 milliards d’euros, qui permettrait à son pays de financer sa dette pour plusieurs années. Ce que ces plans disent de l’Europe Tout ceci permet de relativiser le vocabulaire positif utilisé pour présenter ces plans. Ces pays auraient simplement besoin de dévaluer pour restaurer l’équilibre de leur commerce et de leur balance des paiements autrement que par une baisse sauvage des salaires et du pouvoir d’achat de la population. Article initialement publié sur le blog de Laurent Pinsolle. La crise, un secteur en pleine expansion. La crise est finie - L’actu en patates - Blog LeMonde.fr.

SLOVAR les Nouvelles - Expressions libres. Le fondateur du Sommet de Davos s'inquiète d'une possible transformation de la crise économique en "crise sociale" . L'étude IFOP pour la Croix sur la "mondialisation vue par 10 pays " ne peut que lui donner raison ! " Il n'y a de pire sourd que celui qui ne veut pas entendre" affirme un dicton. C'est en résumé ce qu'a déclaré Klaus Schwab, en présentant la 41e édition du Forum économique mondial à Davos : " Nous devons faire attention à ce que cette crise ne devienne pas une crise sociale, ce qu'elle est dans certains pays "- Le Figaro Il faut dire que, comme nous vous l'expliquions hier, la perspective d'une reprise économique tout en conservant un taux de chômage très élevé, est envisageable !

Or, l'exemple de la Tunisie et les très nombreuses manifestations qui se produisent, un peu partout dans le monde, ne rassurent pas les promoteurs et bénéficiaires du libre échange et ... du dumping fiscal et social. " (...) SourcesLa Croix Etude au Format WordCrédit imageTignous. Crise financière et petit matin blême au Bar des Amis » Article » OWNI, Digital Journalism. Une crise mondiale, des millions qui circulent, des États en faillite et une banque centrale qui tente de sauver la mise tant bien que mal: comment en sommes nous arrivés là? Petit matin difficile au Bar des Amis. Café tiède, croissant mou. Il manque 20 centimes pour payer… Et Gérard qui me tient la jambe à propos de la crise financière mondiale : « faut que l’argent circule, ben ouais, faut que l’argent circule, hein ?

Pas vrai ? Regard vers son demi (le troisième), regard vers l’horloge. Mon vieux Gérard, l’argent, il a cessé de circuler. . - Ben ouais mais quand même, les chinois, ils bossent plus pour moins cher, du coup… Du coup rien. Tout a commencé il y a quelques années. Du coup, comme les banquiers ont beaucoup prêté, que les taux baissent, que leurs produits financiers ne valent rien tellement ils sont improbables, ils commencent à prendre peur. . - Qu’est-ce que je disais… Attends. Une incantation qui leur permet de gagner, même quand ils perdent. . « Les marchés », ça n’existe pas. Joseph Stiglitz : «L'austérité est une menace pour les démocraties» 148,8 milliards d’euros de déficit pour l’Etat en 2010 - Contes publics - Blog LeMonde.fr. Le déficit de l'Etat a continué de se creuser en 2010, même si, au final, il est inférieur aux dernières prévisions formulées par le gouvernement.

Le solde du budget s'établit à - 148,8 milliards d'euros, selon les chiffres publiés, vendredi 14 janvier par le ministère du budget. C'est donc mieux que les - 149,8 milliards d'euros anticipés en décembre par le gouvernement. Mais c'est moins bien que les - 138,03 milliards enregistrés en 2009. On est loin également de la prévision initiale pour 2010, telle qu'elle figurait dans la loi de finances adoptée fin 2009, et qui faisait état d'un solde négatif de 117,4 milliards d'euros. Cette année, la loi de finances prévoit un déficit de l'Etat ramené à 91,6 milliards d'euros. Jeudi 13 mars, à l'occasion d'un déplacement chez Airbus à Blagnac (Haute-Garonne), Nicolas Sarkozy a réitéré sa volonté de voir inscrite dans la Constitution une règle permettant de fixer un objectif de retour à l'équilibre des finances publiques. Recettes fiscales en hausse. Millionnaires : la France se classe au 3e rang mondial.

La Fed relance la planche à billets. La crise mondial, un préalable à une monnaie mondiale unique ? - Teotl sur LePost.fr. Il est intéressant de constater que l'on tente de sauver des pays surendettés par plus de dette, ce qui est absolument abhérant. La seule réponse logique à cette situation serait une restructuration de la dette, et cela n'importe quel conseiller bancaire de base le sait.Accorder des crédits à un surendetté ne peut conduire qu'à sa faillite, il n'y a pas d'alternative. Maintenant, on peut se demander ce qu'espère le prêteur en agissant ainsi.La finalité pour vous et moi serait le passage de l'huissier avec saisie de tous vos biens ...Ne serait ce pas ce que souhaite le prêteur ? DSK a avancé ses pions en évoquant les Droits de Tirage Spéciaux (DTS) comme alternative, mais ce malin s'est bien gardé de nous dire que le FMI travaille actuellement à la création d'une monnaie mondiale : le BANCOR.Si je vous dis que je trouve que les évènements s'enchaînent un peu trop bien pour être le fait du hasard on va me traiter de parano.

Les Français consomment moins mais s'endettent plus. Source: Banque de France, Insee Du même auteur « C’est Noel, offrez vous un crédit. » Comme chaque année, à la télévision, dans les boites à lettres, dans les grandes surfaces, l’imminence des fêtes se traduit par une intensification des propositions. Facilité de paiement, prêts personnels ou à la consommation, les établissements de crédits rivalisent pour ne pas rater la haute saison de ce business. D’autant que, les ménages confrontés à une stagnation de leur pouvoir d’achat feront, cette année encore, d’avantage appel au crédit pour financer les fêtes. Mais ces prêts financent-ils vraiment des produits durables (automobile, ordinateur, textile) comme le voudrait la théorie économique ? Deux statistiques récemment publiée donnent à voir un paradoxe apparent.

Résultat : en janvier 2005, cette dette couvrait 197 jours de consommation, puis 202 jours, en octobre 2007, à la veille de la crise. La France, comme les Etats-Unis, a donc basculé dans l'économie de l’endettement. "La crise a montré qu'augmenter les hauts revenus, c'était gaspiller de l'argent" Huit millions de pauvres en France : elle a bon dos, la crise.

La crise jette dans la rue huit millions de pauvres, selon le rapport du Secours catholique. Le constat est réducteur pour Christian Jacquiau, économiste critique. Les politiques ne peuvent en effet se dédouaner de leur responsabilités dans le délabrement du tissu social. Le Secours Catholique publie aujourd'hui son rapport annuel « Ressources, crise et pauvreté ».

Le constat est sans surprise. Après une baisse observée en 2007, le nombre de situations aidées par le seul Secours Catholique en 2009 a augmenté pour la seconde année consécutive. « La crise a frappé durement l’économie des pays européens et au moment où nous publions ces statistiques, la politique de rigueur impose des coupes budgétaires qui toucheront également les familles les plus modestes et les dépenses sociales », peut-on lire en introduction de ce rapport accablant.Accablant... pour le politique. La France compte huit millions de pauvres. Pire encore. (source : Secours Catholique) Des économistes lancent un cri d’alarme sur la dette américaine. Le virus mutant de la crise. 1.- Vous affirmez que l’on ne doit pas confondre le capitalisme et le marché. Quelle est la différence entre l’économie capitaliste et l’économie de marché ? On a en effet souvent tendance à confondre ces deux notions.

Or elles ne sont pas synonymes. Le marché, pris au sens théorique du terme, est un mode de coordination, mais il n’est pas le seul. Au sens strict du terme, une économie de marché utiliserait uniquement le « marché » comme mode de coordination. La notion de capitalisme me semble, quant à elle, bien plus riche, et en même temps beaucoup plus rigoureuse.

La première séparation nous indique que la crise est une possibilité permanente dans le capitalisme. Si la crise reste, dans la plupart des cas, une simple possibilité, c’est bien parce qu’existent des institutions et des conventions qui limitent l’incertitude issue de cette séparation. Le capitalisme est à la fois une notion de théorie et une notion qui a un ancrage historique important. De fait, rien n’est réglé. SLOVAR les Nouvelles - Expressions libres. Doit-on partager le travail ou le chômage ? La question, loin d'être anodine, pourrait être en ces temps de chômage de masse à la base d'un choix de société pour le futur ! Dans le cas du FMI, on a une solution : Mettre fin rapidement aux "privilèges scandaleux" des salariés en CDI ! Quelle est l'analyse du FMI sur la situation du chômage ?

Le FMI s'inquiète de la situation et écrit dans un chapitre des "Prévisions économiques mondiales" semestrielles : " ... / ... Et quelle sont ses suggestions proposées dans son rapport ? Le FMI propose tout simplement aux pays " ... / ... où le marché du travail est plus protégé (Allemagne, Espagne, France et Italie), que "certaines mesures devraient être prises pour s'attaquer aux conséquences négatives de marchés du travail coupés en deux" entre titulaires d'un CDI et d'un CDD !

Comment ça fonctionne le contrat de travail unique (CTU) ? " ... / ... Pour une approche sans ambiguïté, le CTU n’est pas une idée d’inspiration patronale. Le rascisme pour sortir de la crise. En ces temps de crise, toutes les formes de racisme semblent ressurgir sur la place publique, comme un corollaire logique aux tensions sociales qui énervent les relations entre les hommes. Le moindre fait divers est porté haut sur la place publique, érigé en exemple, généralisé et facteur de troubles susceptibles d’engendrer la violence. On évoque des lois contraignantes, on remet en question la liberté d’expression, on fait des amalgames osés, on prétend devoir rétablir l’ordre, et surtout on stigmatise certaines communautés.

Cette stigmatisation qui apporte la peur, et qui engendre le racisme. A côté de ces faits, nos gouvernants, qui prêchent l’amour et le respect des autres et qui voudraient même parfois les imposer de force, semblent ne pas comprendre ce racisme, et encore moins son origine : la preuve en est qu’ils ne traitent pas ce problème de manière préventive mais répressive. Caleb Irri. Utes.ch - Les millionnaires ne connaissent pas la crise - Econom. Ouverture d'une enquête sur une possible entente des grands hedg. La situation financière explosive de la Grande-Bretagne - LeMond. La livre sterling attaquée. En slip devant les hedges funds. Crise économique: le pourquoi du comment. Après les subprimes, les options ARM. Ceci n’est pas un plan de rigueur! Plan de sauvegarde ou sketche de Coluche ? Conjoncture : Les dépenses publiques se sont envolée. Oui, une rigueur qui ne casserait pas la croissance c’est possib. Il n’y a pas et il n’y aura pas de reprise économique.

Crise : Christine ri-gole.